L'ONU a hautement apprécié "l'excellente coopération" entre la Russie, la Chine et l'Iran qui a permis d'empêcher la disparition de la grue de Sibérie, a déclaré Claire Mirande, responsable du Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), citée mercredi par les médias occidentaux.
"L'avenir de la grue de Sibérie semble bien meilleur grâce aux efforts de la Chine, de l'Iran, de la Russie et du Kazakhstan", a annoncé Mme Mirande à l'occasion de la réunion annuelle du PNUE qui se déroule sur l'île indonésienne de Bali.
Chaque année, ces grands oiseaux gracieux quittent leurs nids en Sibérie pour couvrir jusqu'à 5.000km avant d'arriver en Chine ou en Iran afin d'y hiberner.
Mme Mirande a également indiqué qu'au cours des années 2003-2009, le programme international du PNUE a permis "d'assurer la conservation et la réhabilitation de 16 zones humides, d'environ 7 millions d'hectares, sur les deux principales routes de migration".
La grue de Sibérie est un oiseau extrêmement rare, dont la population se chiffre à 3.000/3.500 individus. Il est considéré comme une espèce "en danger d'extinction".
"L'avenir de la grue de Sibérie semble bien meilleur grâce aux efforts de la Chine, de l'Iran, de la Russie et du Kazakhstan", a annoncé Mme Mirande à l'occasion de la réunion annuelle du PNUE qui se déroule sur l'île indonésienne de Bali.
Chaque année, ces grands oiseaux gracieux quittent leurs nids en Sibérie pour couvrir jusqu'à 5.000km avant d'arriver en Chine ou en Iran afin d'y hiberner.
Mme Mirande a également indiqué qu'au cours des années 2003-2009, le programme international du PNUE a permis "d'assurer la conservation et la réhabilitation de 16 zones humides, d'environ 7 millions d'hectares, sur les deux principales routes de migration".
La grue de Sibérie est un oiseau extrêmement rare, dont la population se chiffre à 3.000/3.500 individus. Il est considéré comme une espèce "en danger d'extinction".
MOSCOU, 24 février - RIA Novosti