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vendredi 22 avril 2011

Déçu par l'Occident, l'Ouzbékistan se tourne vers la Chine

L'Ouzbékistan a décidé d'ouvrir son économie et ses ressources minières à la Chine plutôt qu'aux pays occidentaux, prompts à la critique sur les droits de l'homme et la démocratie, a déclaré vendredi un membre du gouvernement ouzbèke.
"Nous avons besoin d'un marché fiable pour nos matières premières, où personne ne fera de remarques politiques désobligeantes, et qui paiera au prix mondiaux du marché", a dit Rustam Azimov, premier vice-Premier ministre ouzbèke, lors d'une conférence de presse.

Ces déclarations interviennent alors que l'Ouzbékistan et la Chine ont conclu une série de contrats, parmi lesquels des projets d'investissement d'une valeur de 5 milliards de dollars, lors de la visite en début de semaine du président Islam Karimov à Pékin.
Les documents prévoient aussi la construction d'un troisième tube sur le gazoduc déjà en exploitation Turkménistan-Chine, qui traverse l'Ouzbékistan et le Kazakhstan, ce qui devrait porter le volume de gaz vendu à la Chine à 55 milliards de m3 par an.
Alors qu'il vend à la Chine de l'uranium, des métaux non-ferreux, du coton et du gaz, l'Ouzbékistan obtiendra en échange des technologies pour moderniser ses infrastructures vétustes et construire de nouvelles usines, selon M. Azimov.

A l'inverse, les pays de l'Union européenne n'offrent pas de telles opportunités et "il y a eu des tentatives de certains d'entre eux de faire chanter l'Ouzbékistan (...) et d'imposer des sanctions", a-t-il ajouté. Les relations avec l'Union européenne (UE) se sont tendues après le massacre d'Andijan (est) en mai 2005, qui a conduit Bruxelles à imposer des sanctions, levées unilatéralement en 2009.
Tachkent ne coopèrera pas avec "l'UE en général, mais avec certains pays de l'UE qui respectent l'Ouzbékistan sur une base bilatérale", citant notamment l'Allemagne.

"L'UE doit comprendre que l'époque du 'professeur et de l'élève' est révolue", a ajouté M. Azimov.
Sur www.lesechos.fr le 22 avril 2011

Quel est le navigateur le plus utilisé selon les pays ?

Il y a quelque chose de politique dans l'utilisation des navigateurs et leur répartition géographique. Ce qu'on ne peut pas percevoir avec les chiffres habituels de part de marché, mais que les savantes cartes de BrowserRank permettent d'éclairer. Les chiffres provenant de StatsCounter.

Ainsi vous doutiez-vous qu'Opera était le navigateur le plus utilisé dans certains pays ? Bon au Kazakhstan, en Géorgie, Ukraine et en Biélorussie, mais quand même ! Chrome a également connu un démarrage fulgurant dans certains pays ; Tunisie, Arménie et Philippines, où il se rapproche des 50 % de parts de marché, alors qu'il peine à atteindre les 15 % en Occident. Il est également intéressant de voir que quasi-tout l'ancien bloc soviétique est passé majoritairement sous Firefox, faut-il y voir une réminiscence de la haine du grand capital ?
Il en est de même que l'Asie du Sud-Ouest, à quelques exceptions près, dont celle notable de la Chine où étonnamment domine IE.


Côté navigateur mobile, la disparité géographique a plutôt une cause sociale. Les anciens parcs mobiles bon marché sous Symbian qui dominent encore largement poussent en avant Opera Mobile et le navigateur propriétaire de Nokia. Et quasi-uniformément sur les continents africain, asiatique et d'Amerique du Sud. En Europe, on voit que la fulgurante progression d'Android qui domine déjà aux Etats-Unis est freinée par une belle résistance d'Apple. A suivre dans les mois qui viennent, mais si la tendance actuelle se poursuit, la carte ci-dessous se colorera progressivement de rose.
Si vous êtes un amateur de chiffres, BrowserRank met ses cartes à jour toutes les semaines ! Avec en colonne droite la description bien pratique des évolutions. Un site qui mérite de figurer parmi vos favoris.
Par Pierric Marissal sur www.commentcamarche.net le 22 avril 2011

Réunion des officiers militaires de l'OCS à Shanghai

Des officiers militaires des pays membres de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) se réuniront à Shanghai le 25 avril pour examiner les moyens de coopération de l'OCS en matière de défense et dans les secteurs de la sécurité.

Des sources du Bureau de l'Information du ministère chinois de la Défense nationale ont révélé vendredi que les chefs des Forces armées des pays membres de l'OCS feront le bilan des expériences de la coopération passée et exploreront d'autres voies pour la coopération future.

Cette réunion, la première du genre depuis la création de l'OCS il y a 10 ans, est un événement important pour la défense et la coopération sur la sécurité de l'OCS cette année.

De plus, cette réunion permettra de faire respecter les accords passés lors du dernier sommet de l'OCS à Tachkent, capitale de l'Ouzbékistan.

Fondée en 2001, l'OCS compte aujourd'hui six pays membres, qui sont la Chine, la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan.

Sur http://french.cri.cn le 22 avril 2011