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jeudi 8 octobre 2009

Carmen meets Borat : retour sur un film offensant

Eurokaz : Pour ceux qui doutaient encore de la supercherie !

Regardez : Carmen meets Borat : retour sur un film offensant
Diffusion: Dimanche 1er novembre à 22:20 sur Planète

«Carmen meets borat» n'est pas la suite du film à succès sorti en 2006 mais un retour sur l'envers du décor de ce long-métrage. Si Borat relève du genre comédie en mettant en scène Sacha Baron Cohen, la plaisanterie s'est révélée de très mauvais goût pour les personnes visées, les habitants de Glod en Roumanie. S'attendant à un documentaire sur leurs situations difficiles, ils découvrent une invective contre leurs conditions, portant ainsi atteinte à leur image.

Diffusé dimanche 1er novembre à 22:20 sur Planète, ce documentaire revient sur la réalité d'un tournage. Les coulisses de Borat c'est l'histoire de Carmen, 17 ans, habitante de Glod, rêvant d'un autre avenir. Quand Borat et son équipe de tournage arrivent chez eux, le père et le grand-père de la jeune fille participent à la réalisation de ce qu'ils pensent être un documentaire. Barrière des langues oblige : le sujet du film n'est ni compris, ni évoqué.
La vérité ne tarde pas à tomber, levant ainsi le voile sur une moquerie. Les habitants découvrent que le film situe Glod au Kazakhstan et les qualifie de «voleurs, avorteurs».

S'en suit un procès intenté par le grand-père et le père de Carmen à la Twentieth Century Fox exigeant un dédommagement de 30 millions de dollars. Glod se met ainsi à rêver d'une vie meilleure, mais des tensions éclatent entre les villageois qui doutent des avocats et du père de Carmen, craignant que celui-ci s'accapare l'argent en cas de victoire.
A travers ces 85 minutes de documentaire, la parole est donnée aux personnes offusquées par 90 min d'un film à visée comique.

Maureen Delorme
Télécâble Sat Hebdo
jeudi 8 octobre 2009

ONU : Rapport de la troisième commission : Antidotes contre la drogue

L'« axe sinistre » que forment les drogues, la criminalité transnationale organisée et le terrorisme n'a pas de meilleur antidote que la « trilogie santé, justice et sécurité », a affirmé le Directeur exécutif de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC), M. Antonio Maria Costa, cet après-midi, devant la Troisième Commission, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles.

« Les drogues peuvent être contenues en améliorant la santé et il peut y avoir justice là où il y a eu crime et la sécurité peut prévaloir sur la terreur », a ainsi déclaré M. Costa, ouvrant sur une note d'optimisme le débat général de la Troisième Commission sur la prévention du crime et justice pénale, ainsi que sur le contrôle international de la drogue.

M. Costa, qui a demandé une augmentation des fonds alloués à l'UNODC au titre du budget ordinaire de l'ONU, a invité les États Membres à « envoyer les toxicomanes dans des hôpitaux et non en prison », les exhortant également à ne pas les pénaliser. Le Directeur exécutif de l'UNODC a en revanche estimé que la légalisation des drogues ne saurait être une solution viable.

L'UNODC, a-t-il ajouté, participe à la promotion d'alternatives à l'emprisonnement et dirige des efforts tendant à l'amélioration du traitement des prisonniers, en particulier en matière de prévention du VIH/sida.

Dans un échange de vues avec les États Membres, M. Costa a observé que la perception de la toxicomanie différait d'un pays à l'autre. Il a demandé à ce que l'on traite les toxicomanes comme des gens qui ont besoin d'aide et, qu'au contraire, l'on fasse preuve de plus de sévérité envers les trafiquants, où qu'ils vivent....

Mme BYRGANYM AITIMOVA (Kazakhstan), qui s'exprimait au nom de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC), a affirmé que le problème des drogues illicites demeurait l'un des soucis mondiaux fondamentaux, qui ne pouvait être traité séparément du terrorisme ainsi que d'autres formes de crimes et devait faire l'objet d'une approche intégrée. À ce jour, a-t-elle dit, 250 millions de personnes, soit près de 6% de la population mondiale, consomment des drogues, les revenus de leur trafic atteignant 320 milliards de dollars. Les États membres de l'OTSC demeurent particulièrement préoccupés par la production de drogues en Afghanistan, ainsi que par le trafic d'héroïne à travers leurs frontières, a-t-elle dit, précisant que cette situation représentait une menace pour la paix et la sécurité régionale et internationale. La route septentrionale de l'Afghanistan reste une des routes majeures du transport de l'héroïne, a-t-elle affirmé.

La représentante a souligné les efforts entrepris tous azimuts et l'interaction des organes compétents de ces pays dans la lutte contre le trafic. Quotidiennement, on assiste à des opérations chaque fois plus importantes dans le cadre de l'opération Canal 2009 organisée entre ces pays. Une saisie de trois tonnes de drogues a permis à Alma Ata l'ouverture officielle d'un centre de lutte contre le trafic des drogues. Les pays de l'OTSC travaillent ensemble, depuis 2007, dans le cadre d'un projet pilote établi à travers un mémorandum signé par tous les pays de la région à Tachkent, en Ouzbékistan. L'OTSC participe activement à un certain nombre de réunions et de séminaires traitant de différents thèmes afférents à la lutte contre ce trafic. La représentante a salué la contribution des forces de sécurité de l'ONU dans ce contexte en Afghanistan. L'OTSC appuie également la volonté des États Membres de l'ONU à prévenir et lutter contre ce phénomène et estime qu'il faut avoir une approche très sévère de la situation pour résoudre ce problème qui constitue une menace pour toute l'humanité, a-t-elle souligné.....

Mme ZOYA KOLONTAI (Bélarus) a évoqué la déclaration faite auparavant par le Kazakhstan, au nom de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC), en soulignant que l'élimination du crime organisé pouvait seulement être réalisée par le biais d'une politique de partenariat. Cette année, pour la première fois, le rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) sur le développement humain avait inclus un chapitre consacré à ce problème. De manière claire, les États Membres ont exprimé le désir d'améliorer la coordination internationale en formant un partenariat contre le commerce humain et l'esclavage du XXIe siècle, a-t-elle dit.

La représentante a affirmé que le Bélarus se proposait d'aller plus loin et avait, à cet effet, proposé une résolution qui intégrait un certain nombre de propositions pour des efforts conjoints, comme celle d'un plan d'action global. Ce plan ne résoudra pas tout, mais fera de la traite des êtres humains un crime, a-t-elle expliqué. Elle a précisé en mentionnant que ce type de crime touchait largement les enfants....

Lire le rapport complet sur un.org

Construction de l'oléoduc kazakh : comment Dunkerque a joué des coudes

Comme nous l'annoncions sur notre site économique mardi, la France et le Kazakhstan vont travailler main dans la main à la construction d'un oléoduc de 700 km, devant relier l'Azerbaïdjan au Nord de la mer Caspienne. Une aubaine pour les entreprises dunkerquoises, qui ont su se démarquer dans ce dossier.

Le label « Made in Dunkerque » estampillé sur des tubes parcourant la steppe du Kazakhstan ? L'idée fait son chemin et du côté de l'agence de développement Dunkerque Promotion, on se félicite déjà du travail accompli. « Depuis le mois de juin, explique Chrsitian Fraud, directeur, à l'initiative de la société Europipe, contactée par la société SPIE CAPAG, filiale d'Entrepose Contracting (groupe Vinci ), la filière tube" du Dunkerquois s'est constituée pour proposer une solution française au client kazakh, KMG (la compagnie pétrolière nationale). » ArcelorMittal, GTS Industries, Europipe, Eupec, SDV se sont ainsi positionnées pour constituer un « groupement ponctuel d'entreprises ». Un long travail de concertation a été engagé avec le ministère de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi, appuyé par Michel Delebarre, président de la communauté urbaine de Dunkerque, pour aboutir à une proposition, présentée au client lors du voyage présidentiel de Nicolas Sarkozy, mardi, au Kazakhstan.

Démarrage fin 2011 ?

La proposition a donné lieu à la signature d'un accord pour l'étude de cette infrastructure. « Si, au terme de cette étude, un accord commercial est trouvé, poursuit Christian Fraud, cet oléoduc - qui reliera l'immense champ pétrolier de Kashagan, en mer Caspienne, à Bakou, en Azerbaïdjan - permettrait aux entreprises du Dunkerquois de disposer d'une activité ponctuelle importante, représentant un équivalent de douze mois de travail pour Europipe, six pour GTS Industries, près de dix-huit pour Eupec. » Le marché permettrait à ArcelorMittal de réaliser 350 000 tonnes d'acier, avec une activité portuaire induite de près de 700 000 tonnes, sans compter les emplois concernés. On a parlé de plusieurs milliers possibles. Si un accord commercial est trouvé, l'activité réelle pourrait débuter fin 2011, pour une durée de douze à dix-huit mois de travaux.

Un marché 2 milliards d'euros, dont 1,2 pour les entreprises françaises : la nouvelle tombe aussi à pic pour le moral des entreprises locales, en cette période de crise. « C'est la preuve que si l'on se bat, on peut obtenir des marchés et créer de l'émulation », se félicite le directeur de Dunkerque Promotion, chargé par les entreprises retenues de communiquer sur le sujet.

Alors, Dunkerque et le Kazakhstan, bientôt jumelés ? L'information semble évidemment prématurée. Plus probable, en revanche, la visite à la fin de l'année du client kazakh dans la cité de Jean Bart. Un bon début.

lavoixdunord.fr

Kashagan: accord franco-kazakh pour la construction d'un oléoduc

ASTANA, 8 octobre 2009 (AFP) - Un consortium d'entreprises françaises dirigé par Spie-Capag (groupe Vinci) a signé mardi à Astana avec le Kazakhstan un protocole d'accord pour la construction et la pose d'un oléoduc pour transporter le pétrole du gisement géant de Kashagan au port kazakh de Kuryk. Ce texte, signé en présence des présidents kazakh Noursoultan Nazarbaïev et français Nicolas Sarkozy, prévoit des "négociations exclusives" pendant un an avec le consortium français (Spie, Manesmann-France, Europipe, GTS, Arcelor-Mittal), a-t-on appris auprès de la présidence française. Le montant total de ce contrat est estimé à environ 2 milliards d'euros, dont 1,2 milliard reviendrait aux entreprises françaises si les négociations aboutissent, a-t-on précisé de même source. "La construction de cet oléoduc s'inscrit dans le cadre de l'exploitation, en cours de développement, du gisement géant offshore de Kashagan", indique dans un communiqué Entreprose Contracting, maison mère de Spie-Capag. D'après cette société, l'oléoduc de 761 km reliera Eskene (nord de la mer Caspienne, au Kazakhstan) au port de Kuryk, à l'ouest du Kazakhstan. De là, le pétrole pourra être transporté vers Bakou, la capitale de l'Azerbaïdjan pour être exporté vers l'Europe en contournant la Russie. D'importantes retombées sont attendues pour les entreprises françaises dans la région de Dunkerque (nord), estimées par l'Elysée à "1.000 emplois durables avec des pics de 3.000 à 4.000 sur une courte période". Selon ces estimations, ce contrat devrait assurer quelque 3.000 emplois "pendant quelques mois" à Arcelor-Mittal, qui produit l'acier destiné à l'oléoduc, et plus de 600 à GTS Industrie (plaques, tôles) pendant six mois. "Cet oléoduc va créer beaucoup d'emplois ici et en France", s'est lui-même réjoui Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse qui a suivi la signature de l'accord, et "par ailleurs assurera la sécurisation de notre approvisionnement énergétique". Une fois à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, le pétrole acheminé rejoindra l'actuel oléoduc BTC, qui relie Bakou au port turc de Ceyhan, via la capitale géorgienne Tbilissi, sans passer par le territoire russe. "Nous avons besoin de ce +pipe+ pour transporter la future production du champ de Kashagan. Une partie de la production passera par la Russie. Il est important de pouvoir diversifier les sources d'exportation avec un autre +pipe+", a indiqué à la presse le directeur général du groupe Total Christophe de Margerie, en marge de la signature. "Cela va contribuer à arroser l'Europe et à s'assurer que le marché fonctionne", a commenté M. de Margerie. Le champ de Kashagan constitue l'une des plus grosses découvertes pétrolières au monde depuis les années 1960, et une fois mis en service, il permettra au Kazakhstan de doubler sa production de brut. Selon un accord signé il y a un an, ce gisement sera exploité par un consortium composé notamment de la société d'Etat kazakh Kazmunaigas et des groupes italien ENI, français Total, américain ExxonMobil et anglo-néerlandais Shell, tous actionnaires à hauteur de 16,81%.

jeudi 8 octobre 2009 sur fondation-prometheus.org

Un nouvel uniforme pour la Force Collective de Réaction Rapide de l'OTSC

MOSCOU, 8 octobre - RIA Novosti. Le président Dmitri Medvedev a approuvé le nouvel uniforme de fabrication russe pour la Force collective de réaction rapide (KSOR) de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC), qui entame à la mi-octobre une phase active d'exercices au Kazakhstan.

"Nous avons rempli nos engagements, c'est un bel uniforme", a estimé le commandant suprême après l'avoir examiné.

Les explications ont été fournies par le ministre de la Défense Anatoli Serdioukov. "En choisissant la couleur, sur quoi vous guidez-vous?", a demandé le président. "Sur la couleur du terrain où l'on doit faire appel à la Force collective: un désert montagneux. La couleur que nous choisie à l'aide de technologies numériques sera la moins visible", a annoncé le ministre. Les effets sont rangés dans un havresac.

Selon le colonel Sergueï Tchesnokov, le nouvel uniforme sera fabriqué à Saint-Pétersbourg et fourni à la Force collective aux frais de la Russie.

Chaque lot se compose de six composantes vestimentaires: sous-vêtements qui restent toujours secs grâce à l'utilisation de matériaux modernes, sous-vêtements chauffants, combinaison isolante, vestes et pantalons d'été, de demi-saison et d'hiver. La version hiver a été fabriquée en utilisant un isolant synthétique de dernière génération.