UNESCO.org le 31-03-2009
Quatre pays d'Asie centrale n'ont pas encore atteint leurs objectifs de financement pour l'éducation et l'alphabétisation y reste un défi. Le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan ont publié leur rapport national d'évaluation à mi-parcours concernant l'Éducation pour tous (EPT). En termes de financement de l'éducation, ces quatre pays n'ont pas encore atteint l'objectif établi par le Forum mondial sur l'éducation en 2000 qui s'élève à 6 % du produit intérieur brut (PIB).
Le rapport national de mi-parcours fait le point sur les progrès réalisés dans chacun des six objectifs de l'EPT, engagements auxquels 164 pays ont réaffirmé leur soutien au Forum mondial sur l'éducation en 2000 à Dakar. Ce rapport souligne les réussites, les difficultés restantes et les moyens possibles d'atteindre les objectifs de l'EPT d'ici à 2015.
Principales conclusions des rapports d'évaluation de l'Asie centrale :
· Les quatre pays ont vu augmenter le nombre d'inscriptions aux programmes d'Education et de protection de la petite enfance (EPPE). Toutefois, l'accès à ces programmes reste limité et les groupes les plus défavorisés sont les familles pauvres, les groupes vivant dans des régions reculées, les minorités ethniques et les enfants handicapés.
· Les « paiements informels des familles » aux écoles sont devenus fréquents et ont eu des effets négatifs sur la qualité de l'éducation, en particulier pour les enfants des familles pauvres et de celles à faible revenu.
· Le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan ne disposent pas d'une définition claire des compétences de la vie courante et de l'éducation fondée sur ces compétences. Ces domaines ne font pas partie de leurs normes nationales en matière d'éducation.
· L'éducation non formelle (ENF) nécessite davantage de soutien. Par ailleurs, il faudrait une législation qui réglemente la qualité des services éducatifs non formels.
· L'alphabétisation reste un défi en Asie centrale. Aucun de ces quatre pays n'évalue les niveaux d'alphabétisation et, par conséquent, on ne connaît pas les niveaux d'alphabétisation des groupes les plus vulnérables. L'alphabétisation fonctionnelle, qui englobe les compétences essentielles et les compétences de la vie courante, ne bénéficie pas d'une large reconnaissance.
Quatre pays d'Asie centrale n'ont pas encore atteint leurs objectifs de financement pour l'éducation et l'alphabétisation y reste un défi. Le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan ont publié leur rapport national d'évaluation à mi-parcours concernant l'Éducation pour tous (EPT). En termes de financement de l'éducation, ces quatre pays n'ont pas encore atteint l'objectif établi par le Forum mondial sur l'éducation en 2000 qui s'élève à 6 % du produit intérieur brut (PIB).
Le rapport national de mi-parcours fait le point sur les progrès réalisés dans chacun des six objectifs de l'EPT, engagements auxquels 164 pays ont réaffirmé leur soutien au Forum mondial sur l'éducation en 2000 à Dakar. Ce rapport souligne les réussites, les difficultés restantes et les moyens possibles d'atteindre les objectifs de l'EPT d'ici à 2015.
Principales conclusions des rapports d'évaluation de l'Asie centrale :
· Les quatre pays ont vu augmenter le nombre d'inscriptions aux programmes d'Education et de protection de la petite enfance (EPPE). Toutefois, l'accès à ces programmes reste limité et les groupes les plus défavorisés sont les familles pauvres, les groupes vivant dans des régions reculées, les minorités ethniques et les enfants handicapés.
· Les « paiements informels des familles » aux écoles sont devenus fréquents et ont eu des effets négatifs sur la qualité de l'éducation, en particulier pour les enfants des familles pauvres et de celles à faible revenu.
· Le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan ne disposent pas d'une définition claire des compétences de la vie courante et de l'éducation fondée sur ces compétences. Ces domaines ne font pas partie de leurs normes nationales en matière d'éducation.
· L'éducation non formelle (ENF) nécessite davantage de soutien. Par ailleurs, il faudrait une législation qui réglemente la qualité des services éducatifs non formels.
· L'alphabétisation reste un défi en Asie centrale. Aucun de ces quatre pays n'évalue les niveaux d'alphabétisation et, par conséquent, on ne connaît pas les niveaux d'alphabétisation des groupes les plus vulnérables. L'alphabétisation fonctionnelle, qui englobe les compétences essentielles et les compétences de la vie courante, ne bénéficie pas d'une large reconnaissance.
Contact: efa@unescobkk.org
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