Les exercices militaires de l’OTAN se poursuivent en Géorgie, sur fond de crise avec le voisin russe.
Un voisin fermement opposé à l’organisation de tels exercices à proximité de sa frontière.
L’OTAN par la voix de son porte-parole, assure qu’il s’agit d’un entraînement vital pour de opérations futures des troupes de l’OTAN et des Nations Unies
Mais le choix de la Géorgie comme terrain d’entraînement est vécu comme une intimidation par le gouvernement russe, après le violent conflit de l’été 2008 entre les deux pays.
Dans le même temps, la Géorgie accuse Moscou de poursuivre ses tentatives de déstabilisation, et d’être notamment à l’origine d’une mutinerie d’un régiment de l’armée géorgienne, survenue 7 jours auparavant.
Pour l’heure, les exercices se poursuivent, malgré la polémique. A l’origine, 19 pays devaient y participer. Mais 5 d’entre eux, parmi lesquels l’Arménie, le Kazakhstan et la Serbie, ont finalement refusé d’y participer, face à l’opposition russe.
Ces opérations militaires doivent se prolonger jusqu’au 3 juin.
Un voisin fermement opposé à l’organisation de tels exercices à proximité de sa frontière.
L’OTAN par la voix de son porte-parole, assure qu’il s’agit d’un entraînement vital pour de opérations futures des troupes de l’OTAN et des Nations Unies
Mais le choix de la Géorgie comme terrain d’entraînement est vécu comme une intimidation par le gouvernement russe, après le violent conflit de l’été 2008 entre les deux pays.
Dans le même temps, la Géorgie accuse Moscou de poursuivre ses tentatives de déstabilisation, et d’être notamment à l’origine d’une mutinerie d’un régiment de l’armée géorgienne, survenue 7 jours auparavant.
Pour l’heure, les exercices se poursuivent, malgré la polémique. A l’origine, 19 pays devaient y participer. Mais 5 d’entre eux, parmi lesquels l’Arménie, le Kazakhstan et la Serbie, ont finalement refusé d’y participer, face à l’opposition russe.
Ces opérations militaires doivent se prolonger jusqu’au 3 juin.
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