L'Iran a repris ses échanges de pétrole avec des pays de la mer Caspienne et livrera la première cargaison à des acheteurs dans le Golfe persique d'ici une vingtaine de jours, a rapporté lundi le quotidien anglophone local Tehran Times, citant le directeur du département des affaires internationales de la Société nationale iranienne du pétrole, Mohsen Qamsari.
M. Qamsari a précisé dimanche que le commerce reprenait après une interruption de près de cinq mois.
Des responsables du ministère iranien du Pétrole avaient déclaré que les échanges de pétrole n'étaient pas dans l'intérêt national de l'Iran, ce qui avait provoqué leur interruption, selon le journal.
Dans le cadre des accords conclus, l'Azerbaïdjan, le Turkménistan et le Kazakhstan fournissent du pétrole à l'Iran, et l'Iran vend une quantité équivalente de pétrole dans le Golfe persique pour le compte de ces trois pays enclavés.
Selon le journal, l'un des bénéfices de ces accords d'échange pour l'Iran est que cela lui évite d'avoir à construire davantage d'oléoducs pour acheminer du brut des champs pétroliers situés dans le sud de l'Iran vers le nord du pays.
L'été dernier, une moyenne de 90 000 barils de pétrole par jour ont été échangés grâce à ce mécanisme en Iran et la capacité devrait atteindre 300 000 barils par jour d'ici cinq ans, selon Tehran Times
M. Qamsari a précisé dimanche que le commerce reprenait après une interruption de près de cinq mois.
Des responsables du ministère iranien du Pétrole avaient déclaré que les échanges de pétrole n'étaient pas dans l'intérêt national de l'Iran, ce qui avait provoqué leur interruption, selon le journal.
Dans le cadre des accords conclus, l'Azerbaïdjan, le Turkménistan et le Kazakhstan fournissent du pétrole à l'Iran, et l'Iran vend une quantité équivalente de pétrole dans le Golfe persique pour le compte de ces trois pays enclavés.
Selon le journal, l'un des bénéfices de ces accords d'échange pour l'Iran est que cela lui évite d'avoir à construire davantage d'oléoducs pour acheminer du brut des champs pétroliers situés dans le sud de l'Iran vers le nord du pays.
L'été dernier, une moyenne de 90 000 barils de pétrole par jour ont été échangés grâce à ce mécanisme en Iran et la capacité devrait atteindre 300 000 barils par jour d'ici cinq ans, selon Tehran Times
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