La première chute d'un Proton-M dans l'histoire de la Russie s'est produite le 27 mai 1993. En raison d'un deuxième étage défectueux, la fusée-porteuse n'est pas parvenue à mettre en orbite le satellite russe de télécommunication "Gorizont-39".
Le 16 novembre 1996, Proton-K doté du booster d'accélération D-2 a placé en orbite circumterrestre la station interplanétaire russe Mars-96 d'une valeur de 300 millions de dollars. En raison d'un incident lié au booster d'accélération, la station a chuté de son orbite et est tombée dans l'océan Pacifique.
Le 5 juillet 1999, la soudure défectueuse du toit d'un groupe turbopompe sur l'un des quatre réacteurs du deuxième étage de la fusée Proton-K a provoqué la chute du satellite de communication militaire Radouga-1, entraînant une détérioration des relations russo-kazakhes. Les débris de la fusée, qui avaient chuté sur la région kazakhe de Karaganda, s'étaient abattus sur le toit d'un immeuble. Astana avait interdit pour deux mois tous les tirs de "Protons" jusqu'au remboursement de 271.000 dollars à titre de dommages et intérêts écologiques et matériels.
Le 27 octobre 1999, un autre satellite de communications Express-A, lancé par un Proton-K, s'était abattu sur la région kazakhe de Karaganda, en raison du premier étage défectueux de la fusée. Astana avait obtenu 407.000 de dollars de dommages et intérêts.
Le 28 février 2006, en raison d'une panne du booster d'accélération Breeze-M, la fusée Proton-M avait échoué à mettre en orbite le satellite arabe de communication ArabSat-4A.
Le 6 septembre 2007, la fusée Proton-M s'était écrasée avec le satellite japonais de communication JCSat-11 à 40 km de la ville kazakhe de Jezqazghan suite à un tir raté, arrosant ses environs de carburant hautement toxique. Ce jour-là, le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev se trouvait dans la ville. Le Kazakhstan a alors exigé 60,7 millions de dollars à la Russie. L'accident avait été causé par une panne du système de direction du deuxième étage.
Le 15 mars 2008, un Proton-M a échoué à orbitaliser un satellite américain de communication AMS-14. L'accident était dû à une panne moteur du booster d'accélération Breeze-M.
Le 16 novembre 1996, Proton-K doté du booster d'accélération D-2 a placé en orbite circumterrestre la station interplanétaire russe Mars-96 d'une valeur de 300 millions de dollars. En raison d'un incident lié au booster d'accélération, la station a chuté de son orbite et est tombée dans l'océan Pacifique.
Le 5 juillet 1999, la soudure défectueuse du toit d'un groupe turbopompe sur l'un des quatre réacteurs du deuxième étage de la fusée Proton-K a provoqué la chute du satellite de communication militaire Radouga-1, entraînant une détérioration des relations russo-kazakhes. Les débris de la fusée, qui avaient chuté sur la région kazakhe de Karaganda, s'étaient abattus sur le toit d'un immeuble. Astana avait interdit pour deux mois tous les tirs de "Protons" jusqu'au remboursement de 271.000 dollars à titre de dommages et intérêts écologiques et matériels.
Le 27 octobre 1999, un autre satellite de communications Express-A, lancé par un Proton-K, s'était abattu sur la région kazakhe de Karaganda, en raison du premier étage défectueux de la fusée. Astana avait obtenu 407.000 de dollars de dommages et intérêts.
Le 28 février 2006, en raison d'une panne du booster d'accélération Breeze-M, la fusée Proton-M avait échoué à mettre en orbite le satellite arabe de communication ArabSat-4A.
Le 6 septembre 2007, la fusée Proton-M s'était écrasée avec le satellite japonais de communication JCSat-11 à 40 km de la ville kazakhe de Jezqazghan suite à un tir raté, arrosant ses environs de carburant hautement toxique. Ce jour-là, le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev se trouvait dans la ville. Le Kazakhstan a alors exigé 60,7 millions de dollars à la Russie. L'accident avait été causé par une panne du système de direction du deuxième étage.
Le 15 mars 2008, un Proton-M a échoué à orbitaliser un satellite américain de communication AMS-14. L'accident était dû à une panne moteur du booster d'accélération Breeze-M.
Source : La Russie d'aujourd'hui
Le 13 décembre 2010 sur http://larussiedaujourdhui.fr
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