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dimanche 14 juin 2009

Accord entre des pays d'ex-URSS sur une force de réaction rapide


Plusieurs pays d'ex-URSS ont signé dimanche un accord pour la mise en place d'une force commune de réaction rapide, a indiqué le président russe Dmitri Medvedev à l'issue d'un sommet de l'Organisation du Traité de sécurité collective (ODKB) à Moscou.
«Je voudrais dire que des décisions sérieuses ont été prises (au sommet), qui visent à améliorer les mécanismes de sécurité collective et à renforcer considérablement le potentiel de l'Organisation», a-t-il dit lors d'un point presse. «Le principal résultat du sommet est la signature de l'accord sur les forces de réaction rapides communes de l'ODKB», a-t-il ajouté.

Le texte signé réglemente «les principales caractéristiques du travail des forces concernées, en l'ocurrence des questions d'affectation, d'effectifs et d'utilisation», a-t-il dit sans plus de détail.
Cette signature était attendue, le principe de la mise en place de cette force ayant déjà été établi lors d'un précédent sommet le 4 février à Moscou.
L'ODKB, un groupement régional que Moscou espère utiliser comme contre-poids à l'Otan, est composé de la Russie, du Bélarus, de l'Arménie, du Kazakhstan, du Kirghizstan, du Tadjikistan et de l'Ouzbékistan.

L'accord de dimanche n'a toutefois pas été signé par l'Ouzbékistan et par le Bélarus, a précisé M. Medvedev. Le président bélarusse Alexandre Loukachenko avait fait savoir dans la matinée qu'il boycottait le sommet de l'ODKB en réponse à l'attitude de la Russie dans le conflit qui oppose les deux pays au sujet des produits laitiers bélarusses.
Evoquant cette absence, M. Medvedev a regretté que le dossier «technique» du lait n'ait pas été traité de manière bilatérale et que M. Loukachenko ne lui ait pas téléphoné à ce sujet avant d'annuler sa visite.

Agence France-PresseMoscou

Une bourse de matières premières au Kazakhstan, en attendant la Côte d’Ivoire

La société spécialisée, ACE Audit Control & Expertise, présente dans 21 pays africains, vient d’être mandatée par le Kazakhstan pour doter le pays d’une Bourse de matières premières et espère reproduire le schéma en Côte d’Ivoire.

Ce projet pour le Kazakhstan bénéficie d’un appui de la Banque mondiale et va s’étaler sur deux ans. Période au cours de laquelle, la compagnie, qui fournit des services financiers dans le secteur des matières premières, notamment dans les filières agricoles en Côte d’Ivoire, devra « formuler et mettre en application un plan d’action complet intégrant les aspects légaux et de régulation, l’identification des contrats innovants et l’organisation pratique et technologique de la bourse ».

Pour André Soumah, Président de ce groupe, une filiale de Financial Technologies India dont le siège se trouve à Genève, « le choix du groupe ACE par les autorités du Kazakhstan tient à l’expertise réelle de notre groupe ». Toute chose qui pourrait constituer un atout non négligeable pour cette compagnie qui nourrit l’espoir de se voir confier la conduite et, éventuellement, la gestion d’un projet similaire d’une vraie bourse des matières premières notamment sur le café et le cacao, en Côte d’Ivoire.
lesafriques.com