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jeudi 15 octobre 2009

Sortie d'une BD sur le Kazakhstan : Ex-Patria


L'Histoire

Le Kazakhstan, ça vous dit quelque chose ? Pas vraiment, non ?

Pourtant quand Nicolas et Thida ont eu l’opportunité d’aller vivre là-bas un an, ils n’ont pas hésité une seconde. Depuis le temps qu’ils attendaient de s’expatrier, peu importait le pays. Et puis le Kazakhstan, en cherchant bien, c’est quand même la Route de la Soie, l’ex-URSS et l’Asie centrale mystérieuse.

Sur place le dépaysement fut évidemment au rendez-vous : le pays, la langue, la culture et les gens, tout était à découvrir… et une nouvelle vie a commencé pour le jeune couple, simple et
heureuse, enfin débarrassée des habitudes et des soucis français. Mais bientôt les changements que le Kazakhstan apporte à leur quotidien et à leur relation vont prendre une forme de plus en plus inattendue et finir par révéler les vraies raisons de leur
départ.

A mi-chemin entre carnet de voyage et journal intime Ex-patria explore le petit monde des expatriés et les petits tourments de la trentaine.


L’auteur

Nicolas Journoud est né en 1978. Après quelques années en fac de biologie et quelques mois aux Beaux-Arts de Saint-Etienne, il publie ses premiers carnets de voyage et part au Canada, au Cambodge, au Japon et en Amérique latine pour ramener d’autres histoires à raconter. Il habite depuis 2006 au Kazakhstan où il a tour à tour travaillé comme professeur de bande dessinée, graphiste et directeur artistique, tout en continuant à voyager.



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Exercices de la KSOR: plus de 5.000 hommes engagés à l'étape finale

MOSCOU, 15 octobre - RIA Novosti. Plus de 5.000 hommes participeront à l'étape finale des exercices de la Force collective de réaction rapide (KSOR) de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) programmée pour le 16 octobre au Kazakhstan.

Les présidents arménien, kazakh, kirghiz, russe et tadjik observeront la dernière étape des exercices qui se déroulent sur le polygone kazakh Matyboulak, à 200 km à l'ouest d'Almaty, depuis le 2 octobre.

"916 Russes dont 823 militaires participeront aux exercices", a appris RIA Novosti d'une source au Kremlin. Il s'agit entre autres de la 31e brigade autonome de parachutistes (611 personnes) et du groupe opérationnel du commandement des Troupes aéroportées (12 personnes). L'armée de l'air russe y dépêchera seize avions dont neuf Il-76, cinq Su-24 et deux Tu-22MZ, quatre hélicoptères Mi-8 et 200 hommes. 93 personnes représenteront les ministères russes des Situations d'urgence et de l'Intérieur.

Le Kazakhstan dépêchera plus de 1.500 hommes, l'Arménie, 105, le Kirghizstan, 86, le Tadjikistan, 3 et la Biélorussie y enverra deux observateurs.

Les unités de la KSOR s'entraîneront à éliminer une unité ennemie lors d'une attaque, à effectuer un débarquement, à bloquer et éliminer des bandes ayant pris le contrôle d'une usine chimique, à libérer des otages et à mener des opérations de sauvetage et de recherche dans les montagnes.

Retour d'expérience de "Un projet pour le Kazakhstan"

L'équipe de "Un projet pour le Kazakhstan", regroupant dix-sept lycéens et étudiants de la région de Pontoise, accompagnés par quatre adultes, dont un natif de Karaganda sont partis pour une dizaine de jours dans un orphelinat de Kapchagay afin de contribuer à sa rénovation.
Elle vous invite à partager son expérience unique et ses souvenirs en vous invitant à une grande soirée, samedi 17 octobre, à partir de 19h, dans les salles de l'église Saint Pierre des Louvrais, place de la Paix, à Pontoise (95). Au menu de la soirée : images, récits et témoignages, questions, présentation d'objets d'artisanat kazakh et des projets de collaboration à venir.

Dans le cadre de la soirée, le photographe Arthur Dressler présentera son nouveau livre avec les images du Kazakhstan. Une présentation du nouveau projet de « Village ethnique à Paris » guidé par les ethnologues Natalya Vshivtseva et Gala Suvorova pouraait également avoir lieu (à confirmer). Ce projet permettra au parisiens de découvrir en 2010 l'originalité et la diversité de la culture kazakhe.


www.eurokaz.org

Conférence des Russes d'Asie Centrale

DOUCHANBE, 15 octobre - RIA Novosti. Une conférence régionale des Russes d'Asie Centrale aura lieu à Douchanbe les 15 et 16 octobre, a annoncé à RIA Novosti une source informée au sein de l'ambassade de Russie au Tadjikistan.

"Plusieurs questions seront examinées, notamment la structuration des communautés russes de l'étranger, la consolidation des liens entre les compatriotes, l'organisation des manifestations consacrées au 65-ème anniversaire de la victoire dans la Grande Guerre mondiale, la dynamisation du rôle des jeunes compatriotes, le développement des médias régionaux des Russes résidant en Asie Centrale, le maintien de l'espace ethnoculturel russe, la situation de la langue russe et de l'enseignement, ainsi que la défense des droits et les intérêts légitimes des compatriotes", a indiqué la source.

Les délégués des organisations de Russes résidant au Kazakhstan, au Kirghizstan, en Ouzbékistan, au Turkménistan prendront part à la conférence, ainsi que des représentants du Conseil de la Fédération de Russie, du ministère russe des Affaires étrangères et de l'Agence fédérale russe pour la CEI, les Russes de l'étranger et la coopération humanitaire. Grigori Karassine, vice-ministre russe des Affaires étrangères est également attendu à la conférence.

Après la conférence une résolution devrait être adoptée, un représentant des pays de l'Asie Centrale au Conseil mondial de coordination des Russes de l'étranger sera élu.

Pékin et Moscou soutiennent un commerce régional sans dollars

La Russie, la Chine et les pays d'Asie centrale regroupés au sein de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), dont le sommet annuel s'est tenu hier à Pékin, envisagent de se passer du dollar pour leurs échanges commerciaux, notamment de pétrole. Cette proposition, qui devrait faire l'objet d'une discussion plus formelle d'ici à la fin de l'année lors d'un sommet financier de l'OCS au Kazakhstan, a de quoi alimenter la rumeur récurrente d'un effort concerté des rivaux des Etats-Unis pour faire perdre au dollar son rôle dominant. Rumeur relancée récemment par un article du quotidien britannique « The Independent » (démenti par les gouvernements concernés) selon lequel les monarchies arabes, la Russie, la Chine, mais aussi la France (?!), le Brésil et le Japon conspiraient pour remplacer le dollar par un panier de monnaies, l'euro, le yen et le yuan, sur le marché du pétrole.

Portée limitée

Le projet évoqué hier à Pékin peut d'autant plus faire couler de l'encre qu'il émane d'une organisation qui essaye de s'affirmer face aux Etats-Unis sur le plan géostratégique et sécuritaire en un embryon d'Otan oriental. Mais, si cette proposition peut provoquer quelques émotions à Washington ou ailleurs, elle n'a toutefois qu'une portée très limitée. En effet, les échanges entre la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Tadjikistan, l'Ouzbékistan et le Kirghizstan ne représentent qu'une minuscule portion, inférieure à 0,3 %, du commerce international. D'ailleurs, même si l'ensemble des exportateurs de pétrole demandaient à ne plus être payés en billets verts, cela ne représenterait qu'une goutte d'eau comparé au montant des réserves de dollars détenues par les principaux pays de la planète, qui confèrent au billet vert son statut. En outre, facturer le pétrole en rouble ou en yuan conduirait inéluctablement à une hausse de ces devises, affaiblissant au passage la compétitivité russe ou chinoise,… ce qui ne fait certainement pas partie des plans de Pékin (mais correspond aux demandes répétées des pays occidentaux).

Financement d'infrastructures

Peinant à trouver sa raison d'être sur le plan économique depuis sa création en 2001 (quoique Pékin soit le deuxième fournisseur et le sixième client de Moscou tandis que la Russie est le huitième débouché des Chinois et leur cinquième fournisseur), l'OCS a aussi annoncé hier le lancement d'un fonds commun pour le financement d'infrastructures dans l'énergie (les membres de l'OCS disposent de la moitié des réserves prouvées de gaz de la planète et d'un sixième de celles de pétrole), les transports et les télécommunications. Le montant de la participation de chacun sera déterminé ultérieurement. Et, si les membres de l'OCS, où l'Iran, l'Inde et le Pakistan disposent d'un siège d'observateur, se sont dits déterminés à « approfondir la coopération mutuelle » et à « coordonner les mesures anticrise », ils n'ont divulgué aucun détail. Même la ligne de crédit de 10 milliards de dollars offerte en juin par Pékin aux pays d'Asie centrale pour les aider à surmonter la récession n'a fait l'objet d'aucune confirmation officielle.

Yves Bourdillon, Les Echos (www.lesechos.fr) le 15 octobre 2009

L'OCS tente de stimuler les échanges transfrontaliers

Les nations du bloc qui comprend la Chine et cinq autres pays d'Eurasie s'est engagé le 14 octobre à accroître les échanges transfrontaliers et d'explorer l'utilisation partagée de leurs monnaies.

Lors du 8e Sommet annuel des premiers ministres à Beijing, les Etats membres de l'Organisation de la Coopération de Shanghai (OCS), la Chine, la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan, ont discuté de renforcer leurs liens économiques. Le Sommet inclue des représentants de pays observateurs, dont la Mongolie, le Pakistan et l'Iran ainsi que le pays invité, l'Afghanistan. Présidé par le Premier ministre chinois Wen Jiabao, la réunion a créé "une occasion unique d'échanger les opinions et d'élaborer un plan spécifique", a-t-il dit.

L'accord a également appelé les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales de ces pays de se rencontrer plus tard cette année au Kazakhstan pour explorer l'utilisation des monnaies de chacun des Etats membres lors des échanges entre les pays du groupe. "Toutes les parties ont convenu de faciliter le commerce, de compléter l'infrastructure frontalière de chaque pays et d'améliorer l'efficacité du travail des douanes pour faciliter l'écoulement des produits de base dans les différents pays de la région", a déclaré le Premier ministre chinois Wen.

Selon les experts, un aspect clé qui doit être amélioré pour les échanges commerciaux transfrontaliers parmi les pays du bloc, c'est le "goulot d'étranglement" dans les transports. Le volume commercial de la Chine avec le Tadjikistan, par exemple, a atteint 470 millions de dollars au premier semestre de 2009. Il ne représentait qu'environ 69 millions de dollars il y a cinq ans, selon le ministère du Commerce. Mais ce chiffre pourrait augmenter si les deux pays étaient reliés par une ligne ferroviaire, a déclaré Zhang Ning, analyste à l'Institut de Russie, de l'Europe de l'Est et du Centre d'études centre-asiatiques de l'Académie chinoise des sciences sociales. Zhang a ajouté que la Chine dispose d'une liaison ferroviaire avec le Kazakhstan, la seule connexion à tous les États membres eurasiens de l'OCS.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne