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vendredi 23 octobre 2009

Retraitement par Areva de concentrés miniers des mines d'uranium du Kazakhstan

Des concentrés miniers des mines d'uranium du Kazakhstan sont expédiés au Havre (France) afin d'y être traité et converti en uranium appauvri par la société Areva. Une fois traité, cet uranium appauvri est réexpédié par bateau en Russie pour y être enrichi à Tomsk afin d'être utilisable pour fabriquer d'autres combustibles nucléaires, selon une déclaration faite à l'AFP par Mr Henri-Jacques Neau, directeur délégué de la logistique d'Areva.

Eurokaz selon source AFP du 23/10/2009

Union douanière: 90% des droits à l'importation reviendront la Russie

MOSCOU, 23 octobre - RIA Novosti. La Russie pourrait recevoir plus de 90% des taxes à l'importation qui seront perçues dans le cadre de l'Union douanière, a déclaré aux journalistes un responsable du ministère russe du Développement économique Alexeï Likhatchev.

Le 1er janvier 2010, un tarif douanier commun sera introduit sur le territoire de l'Union douanière constituée de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan. Le premier juillet, les trois pays se doteront d'un Code douanier.

"La question de la distribution des revenus est discutée très activement. Il n'est pas exclu que plus 90% des droits prélevés soient versés au budget russe. Cette proportion est fondée sur une analyse macroéconomique et reflète la part des marchés de consommation des trois pays", a indiqué M. Likhatchev.

Le responsable a ajouté que le mécanisme de distribution des revenus devait être approuvé d'ici le 1er juillet 2010 et que les proportions devaient être basées sur les statistiques obtenues au cours des premiers mois de fonctionnement du tarif douanier commun.

Toshiba étudie une coentreprise de métaux rares avec le kazakh Kazatomprom

Tokyo (awp/afp) - Le conglomérat industriel japonais Toshiba a indiqué vendredi qu'il envisageait la création d'une entreprise conjointe pour exploiter des métaux rares au Kazakhstan avec le groupe public local d'énergie Kazatomprom, afin de sécuriser son approvisionnement. Les deux sociétés ont signé une lettre d'intention en vue de coupler leurs activités dans ce domaine, en utilisant l'expertise de Kazatomprom dans la partie amont (mines, traitement) et de Toshiba en aval (fabrication de produits de haute valeur ajoutée).

"La demande de métaux rares augmente, ces derniers étant utilisés dans un large éventail de produits avancés, comme les moteurs de voitures électriques et hybrides", a souligné vendredi Toshiba. "Il est devenu plus impératif que jamais d'assurer un approvisionnement stable", a-t-il poursuivi

Toshiba et Kazatomprom se connaissent bien et collaborent déjà dans le champ nucléaire, pour l'approvisionnement en uranium, dans le cadre d'un accord bilatéral Japon-Kazakhstan signé par les gouvernements des deux pays. Kazatomprom est en outre un des actionnaires minoritaires de la filiale américaine de Toshiba, Westinghouse, concepteur de réacteurs nucléaires.

Toshiba et Kazatomprom, qui étudient aussi les possibilités de travailler plus étroitement ensemble dans le domaines des métaux rares liés à l'énergie atomique, ont décidé d'élargir ce champ d'investigation conjoint à d'autres ressources.

Kazatomprom (25.000 salariés) est l'opérateur national du Kazakhstan chargé des exportations d'uranium et des produits dérivés, des métaux rares, du combustible destiné aux centrales électro-nucléaires et des équipements spécialisés. Kazatomprom a également des partenariats dans le domaine de l'exploitation de l'uranium avec le numéro un mondial de l'énergie nucléaire, le français Areva.

La Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (Quatrième Commission) a ouvert, cet après-midi, son débat général sur les utilisations de l’espace extra-atmosphérique à des fins pacifiques, la plupart des délégations appelant au renforcement de la coopération internationale dans ce domaine sous les auspices des Nations Unies.

La délégation de la Chine, en particulier, a souhaité que la communauté internationale intensifie ses efforts pour bâtir un « ordre spatial harmonieux ». Elle a rappelé que l’an dernier son pays et la Fédération de Russie avaient proposé conjointement à la Conférence du désarmement de Genève un projet de traité sur la prévention et le déploiement d’armements dans l’espace. Le Japon a indiqué qu’il souhaitait accélérer ses efforts diplomatiques en vue de parvenir à l’élaboration de règles appropriées aux activités spatiales.

La délégation suédoise, qui s’exprimait au nom de l’Union européenne, s’est félicitée du nombre croissant de pays participant aux activités spatiales. Elle a toutefois fait observer que cela pourrait aussi représenter un risque. C’est dans ce contexte, a-t-elle ajouté, que l’Union européenne a proposé un projet de code de conduite pour les activités spatiales.

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Les délégations suivantes se sont exprimées au cours de ce débat général: Thaïlande au nom de l’Association des Nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE), Uruguay (au nom du MERCOSUR), Suède (au nom de l’Union européenne), Cuba, Kazakhstan, Inde, République arabe syrienne, Soudan, Chine, Pakistan, Colombie, Philippines, Sainte-Lucie, Jamahiriya arabe libyenne, République populaire démocratique de Corée (RPDC), Japon et Indonésie.
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COOPÉRATION INTERNATIONALE TOUCHANT LES UTILISATIONS PACIFIQUES DE L’ESPACE

Le rapport du Comité des utilisations pacifiques de l’espace extra-atmosphérique (A/64/20)dresse le bilan de la cinquante-deuxième session de cette instance qui s’est tenue aux Nations Unies, à Vienne, du 3 au 12 juin 2009. Il fait aussi la synthèse des travaux de ses organes subsidiaires, le Sous-Comité scientifique et technique et le Sous-Comité juridique.

Le document aborde un grand nombre de questions, l’une des plus critiques étant le problème posé par les débris spatiaux. Il évoque aussi le recours à des systèmes spatiaux pour la gestion des catastrophes, les évolutions récentes des systèmes mondiaux de navigation par satellite ou l’utilisation des sources d’énergie nucléaire dans l’espace. Le rapport évoque aussi l’espace et l’eau, l’espace et les changements climatiques ou encore la coopération internationale visant à promouvoir l’utilisation de données d’origine spatiale pour le développement durable.

DEBAT GENERAL
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Mme BYRGANYM AITIMOVA (Kazakhstan) a rappelé que le cosmodrome de Baïkonour se trouvait sur son territoire, celui-ci contribuant à développer la coopération internationale dans le domaine spatial. Ceci montre l’importance qu’attache son pays à ce domaine, a-t-elle dit, ajoutant que son Gouvernement offre des bourses d’études pour ses étudiants dans les plus grandes universités du monde. Le Kazakhstan a pour but de disposer d’un vivier d’ingénieurs spatiaux hautement qualifiés susceptibles de permettre au pays de jouer un rôle important dans l’avenir des programmes spatiaux internationaux et régionaux. En matière de coopération internationale, elle a rappelé la signature d’un traité bilatéral entre le Kazakhstan et la France lors de la récente visite du Président français, M. Nicolas Sarkozy. Elle a relevé que le rapport du Président du COPUOS, M. Arcévalo Yepes, recommandait le développement de la coopération régionale et interrégionale, ainsi qu’un usage élargi des installations et équipements spatiaux en faveur du développement. En conclusion, elle a appelé les États disposant d’une capacité spatiale à prévenir une escalade militaire dans l’espace.
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Rapport complet : ONU

Le Kazakhstan dévoile un nouveau plan de réformes en faveur des droits de l'homme

A partir d’une analyse approfondie de la législation actuelle du pays, ce Plan propose un certain nombre de réformes. Le Ministre des Affaires Etrangères du Kazakhstan, Mr Kanat Saudabayev, a déclaré que ce document constituait « un outil inestimable » dans le processus de démocratisation du pays.

Astana, le 22 octobre: Le Plan d’Action de la République du Kazakhstan en faveur des Droits de l’Homme pour la période 2009-2012 a été présenté la semaine dernière à Varsovie lors d’une réunion de l’OSCE.

Le Ministre des Affaires Etrangères et Secrétaire d’Etat Kanat Saudabayev a estimé que ce Plan « était un outil inestimable qui allait permettre de faire progresser la législation du Kazakhstan et son application dans le sens d’une plus grande protection des droits fondamentaux de chaque individu.»

Le plan consiste en une étude détaillée de la législation en vigueur au Kazakhstan en matière de Droits de l’Homme. Les 23 chapitres reprennent chacun un droit spécifique, la législation correspondante au Kazakhstan et son analyse comparée avec les principales conventions internationales applicables et en particulier avec les directives de l’OCDE.

Lors de la présentation d’un rapport préliminaire au début du mois de septembre, le ministre Saudabayev avait souligné le rôle moteur du Kazakhstan dans le développement d’une société civile en Asie Centrale et avait ajouté que « le Kazakhstan, en adoptant ce plan, joue un rôle pionnier dans la zone post-soviétique ». En effet, il va permettre de renforcer substantiellement le caractère démocratique du pays. Mais selon le Ministre, « l’édification d’un système démocratique est un processus continu qui exige du temps pour produire des résultats significatifs ».

Le Plan d’Action en faveur des Droits de l’Homme a été salué par la Communauté Internationale et les organisations de défense des Droits de l’Homme. Le représentant des Nations-Unies au Kazakhstan, Mr. Haoliang Xu, a déclaré que ce Plan était « le fruit d’une coopération réussie entre le gouvernement kazakh, les Nations-Unies et d’autres organisations partenaires comme l’Ambassade de Grande-Bretagne, l’Ambassade des Pays-Bas et le Bureau de l’OSCE à Astana. Mr Xu a reconnu le rôle positif joué par les autorités kazakhes dans l’élaboration de ce Plan. Il s’est aussi dit persuadé que son application allait « contribuer à la mise en place d’une politique meilleure et plus efficace » au Kazakhstan et allait « renforcer l’Etat de droit et le respect des droits humains fondamentaux et des libertés en général. » Pour conclure, il s’est dit convaincu que ce Plan d’Action allait « permettre au dialogue entre la société civile et le gouvernement kazakh de franchir une nouvelle étape ».
Communiqué de presse de www.kazakhstanlive.com