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vendredi 29 octobre 2010

Pas de pic pétrolier en vue

(AOF / Funds) - "Face à la crainte toujours présente d'un pic de la production mondiale de pétrole, nous restons fermement convaincus que la production mondiale ne montre pas de signes de fléchissement dans un futur proche. Nous pensons que la récente hausse des cours du pétrole résulte directement de l'éventualité de nouvelles mesures de détente quantitative et de l'affaiblissement du dollar qui en résulte, plutôt que d'une amélioration notable de la demande ou d'une éventuelle insuffisance de l'offre", affirme Natixis.

"Malgré la baisse continue de la production de certains des principaux gisements mondiaux (la production des champs de Mer du Nord et du Mexique diminue, dans chacun de cas, de 150.000 à 200.000 b/j chaque année) la production des pays non-affiliés à l'Opep devrait augmenter d'environ 300.000 b/j en 2011, selon les projections de l'Opep. Cette croissance de la production concerne essentiellement de nouveaux gisements dans les pays en développement, bénéficiant souvent d'investissements et de financements chinois."

"La Chine importe déjà d'importantes quantités de pétrole en provenance de l'Angola, du Soudan et de la Libye et devrait, au cours des prochaines années, se fournir auprès d'autres producteurs africains tels que le Gabon, le Nigéria, le Niger et le Cameroun. Au Ghana, le nouveau champ de Jubilee, qui pourrait contenir 1,8 milliard de barils et devrait produire jusqu'à 240.000 b/j à l'horizon 2014-2015, devrait entrer en production en décembre."

"Selon l'Opep, la hausse de la production de GNL (+400.000 b/j en 2011) viendra s'ajouter à la hausse de la production de pétrole des pays non membres. En conséquence, en 2011, la demande journalière adressée à l'Opep pourrait être inférieure à son niveau de production actuel."

"[-73]· plus long terme, plusieurs projets majeurs devraient contribuer à la hausse de la production mondiale. D'abord en Irak, où les compagnies pétrolières internationales se sont engagées à accroître la production des principaux gisements irakiens et à la porter de 2,3 millions de barils/j actuellement à plus de 12,5 millions de barils/j au cours des deux prochaines décennies. Si le contexte politique et le manque d'infrastructures rendent cet objectif difficile à atteindre, il est toutefois réaliste de tabler sur une production de 5 millions de barils/j minimum."

"Au Brésil, le développement de champs pré-salifères off-shore devrait permettre de porter la production de 2 millions de barils/j actuellement à plus de 4 millions de barils/j au cours de la prochaine décennie. Au Kazakhstan, le gisement de Kashagan a connu de nombreuses difficultés depuis sa découverte en 2000, mais selon certaines informations, la production pourrait commencer en 2012, et sans doute atteindre les 1,5 million de barils/j sur une période de 10 ans."

"Au-delà de ces projets conventionnels, d'autres projets visent à développer la production de pétrole à partir du gisement de schistes bitumineux. Dans le Nord Dakota, la production extraite du gisement bitumineux de Bakken a atteint environ 200.000 barils/j, illustrant le large potentiel d'utilisation des techniques de fracture horizontale dans des gisements contenant à la fois du pétrole et du gaz naturel."

"Ces projets ne représentent qu'une partie de la hausse attendue de la production au cours de la prochaine décennie. Au sein de l'Opep, qui dispose actuellement d'environ 6 millions de barils/j de capacités inutilisées, les pays producteurs investissent largement dans le développement de nouveaux champs pétroliers. Alors que la demande des pays développés devrait être globalement stable au cours des prochaines années, nous ne voyons donc pas comment nous pourrions être confrontés à une insuffisance de l'offre mondiale de pétrole au cours de la prochaine décennie, même si la demande des pays en développement continuait à augmenter de 1 à 1,5 million de barils/j par an, selon le rythme observé au cours des dernières années."
Sur www.sicavonline.fr le 29 octobre 2010

OMC: Minsk insiste sur l'adhésion commune des pays de l'Union douanière

MINSK, 29 octobre - RIA Novosti

Minsk insiste sur l'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) de la Biélorussie, de la Russie et du Kazakhstan en tant qu'Union douanière, a annoncé vendredi lors d'une conférence de presse à Minsk le vice-ministre biélorusse des Affaires étrangères Andreï Evdotchenko.

"Nous disposons d'encore un document important, à savoir la décision des chefs des gouvernements des pays de l'Union douanière (Russie, Biélorussie, Kazakhstan, ndlr) d'adhérer à l'OMC comme territoire douanier uni", a indiqué le responsable biélorusse.

En juin 2009, la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan ont annoncé leur volonté de faire candidature commune en tant qu'Union douanière à l'adhésion à l'OMC, avant de revenir sur cette décision en octobre. L'Union douanière a été mise en place le 1er janvier 2010. Les chefs d'Etat des trois pays ont convenu de poursuivre les négociations séparées avec l'OMC tout en concertant leurs positions aux négociations.

La Russie est en négociation avec l'OMC depuis 1993, plus que tout autre pays. Moscou a réglé 95% des différends avec les membres de cette organisation et a terminé ses négociations bilatérales avec 60 pays membres, Astana avec 22 pays et Minsk avec une dizaine.

Le premier ministre russe Vladimir Poutine a annoncé mi-octobre 2010 que dans son adhésion à l'Organisation mondiale du commerce Moscou agissait conformément aux engagements et aux accords conclus avec les autres membres de l'Union douanière.

Chine : départ de Jia Qinglin pour une visite dans quatre pays

Jia Qinglin, le président du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), est parti de Beijing vendredi matin pour effectuer une visite d'amitié en Syrie, en Pologne, en Oman et au Kazakhstan.

Cette visite durera du 29 octobre au 11 novembre.

Jia Qinglin fait ce voyage à l'invitation du Front progressif national de la Syrie, du Sénat polonais, du Conseil consultatif d'Oman et de la Chambre basse du parlement kazakh.

Source: xinhua, le 29 octobre 2010

Le Tout-Paris se met à table avec un autocrate

    Il y a des chefs d'Etat qui savent trouver les mots justes quand il le faut. «Je soutiens monsieur Sarkozy de tout mon cœur dans toutes ses réformes !» a clamé mercredi soir à Paris le président kazakh, Noursoultan Nazarbaïev, devant une bonne partie de l'élite politico-industrielle française qui, bien sûr, l'a applaudi à tout rompre. Il est vrai qu'à plus de 70 ans, celui qui se considère comme le seul, unique et tout puissant «Chef de la nation» est loin d'imaginer prendre un jour sa retraite. Il est vrai aussi que le Kazakhstan ne peut que se féliciter du soutien appuyé de la France sur tous les dossiers qui lui tiennent à cœur : diplomatique (le pays accueille en décembre le sommet de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe dont il assure la présidence tournante grâce, notamment, à l'appui de Sarkozy), mais aussi et surtout économique.

    «Tolérance». En visite officielle à Paris, Nazarbaïev a ainsi accordé, dans la seule journée de mercredi, pour plus de 2 milliards d'euros de contrats aux industriels français qui faisaient la queue pour obtenir leur part du pactole. Alstom a emporté 295 locomotives, Eurocopter 45 hélicoptères, Astrium un centre d'assemblage et de test de satellites, et Areva une co-entreprise de fabrication de combustible nucléaire !

    On comprend pourquoi ils arboraient tous une mine réjouie le soir, lors de ce dîner de gala organisé par un lobbyiste franco-américain, Felix Marquardt, dans les salons de l'hôtel d'Evreux, place Vendôme à Paris. Tous, ils étaient tous là : les stars du show-biz (Régine, Patricia Kaas, Gérard Depardieu), des lettres (Hélène et Emmanuel Carrère d'Encausse), de la politique (l'ex-ministre des Affaires étrangères Roland Dumas, le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant), et bien sûr les frères et sœur ennemi(e)s de l'énergie (les patrons de Total, Christophe de Margerie, d'Alstom, Patrick Kron, de GDF Suez, Gérard Mestrallet, d'Areva, Anne Lauvergeon...). Tous à trinquer à la santé de cet «îlot de stabilité et de tolérance dans une région en proie aux extrémismes». Et tant pis pour le régime autoritaire (dont Roland Dumas se félicitait d'avoir rédigé la Constitution), tant pis pour l'avenir incertain du pays (la succession de Nazarbaïev risque d'être une partie difficile)…

    Gisements. L'essentiel est d'avoir la main sur un des plus importants gisements de pétrole, d'uranium (un possible substitut au Niger pour Areva ?), de silicium, de chrome, d'or et d'argent de la planète. Pour y parvenir, la France est prête à tout, et notamment à des transferts de technologies massifs. Nazarbaïev a donc de bonnes raisons de soutenir et remercier Sarkozy qui lui propose non seulement les investissements mais aussi les technologies. «Ce que personne d'autre ne nous propose», a souligné le président kazakh.

    Par Alexandra Schwartzbrod sur www.liberation.fr le 29 octobre 2010

    jeudi 28 octobre 2010

    20e anniversaire de la signature de la Charte de Paris : allocution du Ministre



    Allocution de Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes à l'occasion du 20e anniversaire de la Charte de Paris :Monsieur le Président de la République du Kazakhstan,
    Monsieur le Président de la République,
    Monsieur le Vice-Chancelier,
    Messieurs les Ministres,
    Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
    Mesdames et Messieurs,

    Je suis ravi de vous accueillir au Quai d'Orsay pour célébrer, avec vous et plusieurs hautes personnalités, le vingtième anniversaire de la Charte de Paris pour une Nouvelle Europe.

    Je veux en premier lieu saluer M. Noursoultan Nazarbaev, Président de la République du Kazakhstan et Président en exercice de l'OSCE. M. le Président nous sommes honorés de votre présence.

    Souvenons-nous du monde il y a vingt ans. Souvenons de ce formidable élan et de ce formidable espoir : l'Europe sortait d'un long cauchemar, les murs tombaient, les peuples séparés se retrouvaient enfin. L'unification de l'Allemagne marquait le début de l'unification du continent européen tout entier. C'est cet extraordinaire moment, cet extraordinaire espoir, que le Charte de Paris pour une nouvelle Europe consacrait en ouvrant, je cite, une « nouvelle ère de démocratie, de paix et d'unité » de Vancouver à Vladivostok.

    Ce printemps de la grande Europe fut voulu par des dirigeants politiques visionnaires, parmi lesquels Mikhaïl Gorbatchev, entouré d'une nouvelle génération, dont vous étiez, M. Nazarbaev. M. Gorbatchev regrette de ne pas être parmi nous aujourd'hui et a voulu s'associer à cet évènement en nous faisant parvenir un message qui vous a été distribué. Quinze ans auparavant, le Président Giscard d'Estaing et ses homologues avaient, en signant les accords d'Helsinki, créé les conditions de la réunification allemande et de la percée des années 90. Le Président Giscard d'Estaing nous fera l'honneur de nous dire quelques mots sur son rôle fondateur et je l'en remercie. L'unification allemande et l'unification européenne eurent aussi deux éminents architectes, Monsieur Genscher et Monsieur Dumas, que je salue et qui nous donneront leur témoignage.

    Le printemps européen de 1990 fut aussi et surtout le fait de personnalités courageuses et indépendantes, qui, souvent au péril de leur vie ou de leur liberté, ont su s'opposer à l'ordre établi et à la fracture européenne. Ils l'ont fait précisément en s'appuyant sur les accords d'Helsinki, je pense bien sûr à Andreï Sakharov, mais aussi à tous ceux, intellectuels, artistes, militants humanitaires et des Droits de l'homme, qui ont contribué à déchirer le rideau de la méfiance et de la division et a affirmer la centralité de que l'OSCE appelle la la « dimension humaine ».

    La Charte de Paris a traduit cet élan et affirmé le lien entre démocratie, liberté individuelle et sécurité collective.

    Elle constate que le gouvernement démocratique est, je cite, le « seul système de gouvernement » valable et acceptable. Elle le définit comme « le gouvernement qui repose sur la volonté du peuple, exprimée à intervalles réguliers par des élections libres et loyales », et qui est fondé sur « le respect de la personne humaine et de l'Etat de droit ».

    Elle fonde ainsi le concept de sécurité globale et indivisible qui constitue l'apport essentiel du continent européen.

    Plus significatif encore, la Charte de Paris a enraciné l'idée d'un destin commun à notre civilisation européenne. Elle demeure une étape décisive de la formation de ce patrimoine commun de valeurs qui constitue le cœur de notre identité et de notre héritage.

    La Charte de Paris a donc ainsi ouvert la voie à un nouveau dialogue pan-européen. Alors que la chute du rideau de fer marquait la fin d'un tête-à-tête quasi-exclusif entre les deux superpuissances, les Etats européens affirmaient leur volonté de mener tous ensemble, sur un pied d'égalité et indépendamment de leurs choix idéologiques, des discussions portant sur un champ plus large que jamais auparavant. Les questions politiques, militaires, écologiques et humanitaires ont désormais pu être évoquées de manière pragmatique et régulière. La Charte de Paris a, au fond, remis l'humain au cœur des relations entre Etats. Elle a permis aux Etats naguère divisés en blocs de formuler ensemble des objectifs communs sur la transparence des activités militaires ou les rapports de l'Etat avec les citoyens. Le traité sur les Forces conventionnelles en Europe qui est contemporain de la Charte jetait ainsi les fondements d'un véritable régime de sécurité collective.

    Nos invités nous donneront dans un instant leur éclairage et leur lecture, dont nous avons tant besoin pour préparer l'avenir. Je voudrais pour ma part dire d'un mot pourquoi le message de la Charte de Paris est toujours d'actualité et ce que nous attendons du Sommet d'Astana.

    La promesse de la Charte de Paris, c'est celle d'un continent européen, « libre, réuni et en paix ». Je crois que c'est cette promesse que nous nous devons d'accomplir, c'est elle qui doit constituer la feuille de route de nos travaux. Tel est le sens de l'idée, évoquée par le Président de la République, d'un espace commun, économique, humain et de sécurité étendu aux dimensions du continent. Les principes définis, par consensus, je le souligne, au sein de l'OSCE sont là pour nous guider dans cette ambition. La réaffirmation de l'adhésion de l'ensemble des 56 Etats participants à l'OSCE à cet « acquis sécuritaire » devrait donc être notre premier objectif pour le Sommet d'Astana.

    Naturellement, la réaffirmation des principes ne prend son sens que si nous sommes également prêts à les appliquer en pratique. Trop de conflits sont restés sans solution au cours des vingt années écoulées depuis la Charte de Paris. Nous aurions tort de croire que ces conflits sont , selon l'expression consacrée, « gelés » et, tort, a fortiori, de nous y résigner, l'expérience de l'été 2008 le montre. Je crois au contraire que le Sommet d'Astana doit nous offrir l'occasion de progresser vers leur règlement, qu'il s'agisse des conflits en Géorgie, en Moldavie ou entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan.

    Pour y parvenir, il est essentiel de renforcer la confiance. Là aussi, l'« acquis » de l'OSCE nous sera précieux. L'OSCE a réussi a mettre au point, un régime, unique au monde, en matière de confiance, de transparence et de réduction des armements conventionnels. Ce régime, dont les bases ont été jetés alors que l'Europe était encore divisée en blocs militaires, doit naturellement évoluer. Il ne doit pas disparaître. Au contraire, il doit être modernisé. C'est un troisième objectif que nous devons nous fixer pour le Sommet d'Astana.

    Telles sont les raisons, puisées dans la Charte de Paris, pour lesquelles la France a soutenu dès le départ, vous le savez M. le Président Nazerbaev, l'idée d'un Sommet de l'OSCE à Astana. Je ne doute pas que sous votre direction, M. le Président, celui-ci lancera un nouveau processus vers la réalisation de la vision de la Charte de Paris.

    Je vous remercie de votre attention et donne maintenant la parole au Président Giscard d'Estaing, signataire de l'Acte Final de Helsinki, que j'invite à nous éclairer de son expérience.

    Communiqué publié sur http://www.diplomatie.gouv.fr/ le 28 ocotbre 2010


    Kazakhstan : le FMI revoit à la hausse le PIB 2010

    Le Kazakhstan va connaître une croissance plus importante que prévu en 2010, avec une hausse de 5,4% de son Produit intérieur brut (PIB) contre 4% prévu jusqu'ici, a estimé jeudi le Fonds monétaire international.

    Selon un rapport du FMI, l'économie du Kazakhstan est portée d'une part par l'embellie économique de la Russie et d'autre part par la hausse des prix des matières premières, cette ex-république soviétique d'Asie centrale regorgeant de minerais et de pétrole.

    "L'amélioration en Russie aide la région, en particulier les importateurs de pétrole et de gaz grâce au commerce (...) et les exportateurs de pétrole et de gaz bénéficient de prix plus élevés sur les hydrocarbures", relève le FMI.
    Le Kazakhstan, la plus grosse économie d'Asie centrale, a été touché de plein fouet par la crise mondiale à partir de 2008. Son système bancaire s'est notamment retrouvé à genoux, alors que les prix des hydrocarbures plongeaient.

    Après des taux de croissance flirtant avec les 10% pendant des années, le PIB kazakh n'avait ainsi augmenté que de 1,1% en 2009.

    Selon le rapport du FMI, le Kazakhstan devrait connaître un taux de croissance supérieur à 5% en 2011 : "Les prévisions pour 2011 sont positives d'une manière générale. Le baril de pétrole devrait rester autour de 80 USD en 2011, (...) et donc les exportateurs de pétrole et de gaz devraient avoir des taux de croissance similaires à ceux de 2010".

    Publié sur www.lesechos.fr le 28 octobre 2010

    Le Kazakhstan, un nouvel eldorado

    Un brin provocateur, il se présente en tant que « descendant d'Attila, avec des idées pacifistes ». Noursoultan Nazarbaïev est à la tête de la principale économie d'Asie centrale, un pays grand comme toute l'Europe occidentale, regorgeant de pétrole et de minerais.
    La visite, cette semaine à Paris, du président du Kazakhstan a suscité un engouement peu habituel, sans doute parce qu'il fut un peu rapidement catalogué parmi les autocrates qui héritèrent des débris du bloc soviétique, dont on mesurait mal le potentiel économique.
    Deux milliards d'euros de contrats ont été signés, les richesses du pays encore largement inexploitées font espérer bien d'autres opportunités. Depuis 2008, un « partenariat stratégique » unit la France à ce pays que Claude Guéant, secrétaire général de l'Élysée, a présenté comme « un îlot de stabilité et de tolérance dans un environnement stratégique » menacé par la poussée islamiste en Asie centrale. C'était en présence des plus éminents patrons du CAC 40, à l'occasion d'un Dîner de l'Atlantique, organisé par Félix Marquardt, ancien directeur de la communication de l'International Herald Tribune.
    Par Pierre Rousselin le 28 octobre 2010 sur http://blog.lefigaro.fr

    De la Charte de Paris au sommet de l'OSCE à Astana

    Astana, le 28 octobre 2010 – Le président du Kazakhstan Noursoultan Nazarbaiev, accompagné de Kanat Saudabayev, ministre des Affaires Etrangères kazakh et président en exercice de l’OSCE, étaient ce matin les hôtes d’honneur de la cérémonie organisée au Quai d’Orsay pour commémorer le 20ème anniversaire de la Charte de Paris pour une nouvelle Europe, un des documents fondateurs de l’OSCE.

    Entourant le Président Nazarbaiev et Monsieur Bernard Kouchner, les trois pères fondateurs de l’organisation présents, messieurs Valéry Giscard d’Estaing, Hans –Dietrich Genscher et Roland Dumas, ont tous souligné l’importance pour l’avenir de l’OSCE du Sommet des chefs d’Etat qui se tiendra à Astana les 1er et 2 décembre prochain sous l’impulsion de la présidence kazakhe.

    La Charte a été adoptée à Paris le 21 novembre 1990, à l’issue d’un Sommet réunissant la plupart des gouvernements européens, ainsi que ceux du canada, des Etats-Unis et de l’Union soviétique. Elle a été établie sur la base des Accords d’Helsinki, puis amendée en 1999 par la Charte pour la Sécurité Européenne. Ensemble, ces deux documents constituent les fondations de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), présidée en 2010 par le Kazakhstan.

    Ouvrant la réunion, Monsieur Bernard Kouchner a rappelé l’actualité brûlante des principes énoncés il y a 20 dans la Charte, et a souligné que c’est à l’initiative du Kazakhstan, soutenu dès l’origine par la France, que le Sommet, le premier de l’OSCE depuis 11 ans, pourra ce tenir dans un mois. « Je ne doute pas, Monsieur le Président Nazarbaiev, que sous votre direction le Sommet lancera un nouveau processus vers la réalisation de la vision de la Charte de Paris. », a déclaré le Ministre français des Affaires Etrangères

    Prenant à son tour la parole, le Président Giscard d’Estaing a résumé le long processus ayant abouti depuis les Accords d’Helsinki en 1975 à l’OSCE d’aujourd’hui. Il a par ailleurs évoqué l’engagement personnel reconnu du Président Nazarbaiev dans le dialogue interconfessionnel, et s’est réjoui de « l’enthousiasme avec lequel le Kazakhstan assume l’importante responsabilité d’être le premier pays d’Eurasie à présider l’OSCE », souhaitant un plein succès à l’organisation du Sommet.

    Concluant la réunion, le Président Nazarbaiev a tenu à remercier toutes les personnalités présentes, et en particulier les signataires de la Charte, pour avoir choisi de célébrer cet anniversaire alors qu’il est à Paris, et en prélude au Sommet d’Astana. Il a évoqué la Charte comme signifiant la fin de la division entre l’Est et l’Ouest et l’amorce d’une nouvelle philosophie politique des relations internationales pour le XXIème siècle, engagée dans la défense universelle des droits humains tout en jetant les bases légales de la sécurité en Europe et dans le reste du monde: Le Président Nazarbaiev également parlé de la concorde interethnique et interreligieuse régnant au Kazakhstan comme d’un exemple pour le règlement des conflits internationaux, du terrorisme et du trafic de drogue dans le monde. « Notre présidence de l’OSCE se bas sur la tolérance, et nous nous situons dans la continuité du processus de Corfou », a-t-il déclaré. « Un des plus grands défis de cette année a été la crise au Kirghizistan. Nous avons réagi sans délai en envoyant rapidement nos représentants à Bichkek, et avons aidé à stopper l’escalade de la situation. Nous nous sommes ensuite assuré que les élections récentes se déroulent dans le plein respect de la légalité. Nous avons également proposé que tous s’associent pour définir un plan de développement économique du pays. Nous avons ainsi proposé la tenue d’une Conférence des Donateurs à Almaty en 2011 pour traiter les problèmes de chômage massif et de tensions ethniques au Kirghizistan. La question sera aussi à l’ordre du jour du Sommet de l’OSCE à Astana, en parallèle de l’analyse des structures de l’Organisation elle-même. » revenant sur l’anniversaire de la Charte de Paris, le Président a déclaré que le Kazakhstan adhérait à l’ensemble de ses principes. « Nous sommes un jeune pays et une jeune démocratie, et nous espérons que le Sommet d’Astana donnera un nouvel essor au rôle de l’OSCE dans le monde. Nous sommes fiers et remercions les Chefs d’Etat membres de l’Organisation de la confiance qu’ils accordent à notre pays. Nous faisons tout pour qu’il y soit répondu aux enjeux majeurs de ce monde nouveau, à travers la construction d’un système de sécurité indivisible qui s’étend de Vancouver à Vladivostok », a conclu le Président.

    Communiqué de http://www.kazakhstanlive.com/ du 28 octobre 2010

    La France et le Kazakhstan signent pour deux milliards d’euros de contrats

    La France et le Kazakhstan ont signé pour deux milliards d’euros de contrats à l’occasion de la visite du président Noursoultan Nazarbaïev.Deux accords portent sur la construction d’une usine d’assemblage de combustible nucléaire par Areva et l’acquisition pour 300 millions d’euros d’hélicoptères construits par une filiale d’EADS.

    Mais le principal contrat porte sur l’assemblage et la fourniture aux chemins de fer kazakhs de 295 locomotives électriques frêt et passagers par Alstom pour 800 millions d’euros.

    Ces signatures concrétisent le traité de partenariat stratégique paraphé par Nicolas Sarkozy lors de son déplacement à Astana il y a un an.

    Sur http://fr.euronews.net le 27 octobre 2010

    France-Kazakhstan: signature de contrats pour plus de 2 milliards d'euros

    PARIS — La France et le Kazakhstan ont signé mercredi des contrats pour "plus de 2 milliards d'euros", portant notamment sur la vente par Paris à Astana de 295 locomotives et 45 hélicoptères EC 145 dans le cadre d'un partenariat stratégique entre les deux pays, a indiqué la présidence française.

    Les contrats ont été signés à l'issue d'un déjeuner de travail entre le président français Nicolas Sarkozy et son homologue kazakh Noursoultan Nazarbaïev dédié à "l'approfondissement du partenariat stratégique" des deux pays notamment dans le cadre de la préparation du sommet de l'Organisation pour la sécurité et la coopération (OSCE) en décembre à Astana et de la présidence française du G20 qui démarre mi-novembre pour un an.

    Selon l'Elysée, la France va fournir au Kazakhstan 295 locomotives électriques. Le constructeur ferroviaire français Alstom et son partenaire russe Transmashholding (TMH) ont chiffré à 1,3 milliard d'euros le contrat signé avec les chemins de fer kazakhs, Kazakhstan Temir Zholy (KTZ). L'Elysée a pour sa part évalué ce contrat à 1,6 milliard d'euros. Cet accord porte sur la livraison par les deux partenaires et EKZ - une société commune qu'ils ont fondée avec KTZ - de 200 locomotives doubles de fret et de 95 locomotives passagers susceptibles de rouler à 200 km/h, a précisé Alstom dans un communiqué, précisant que sa part est estimée à 800 millions d'euros. Les deux types de locomotives sont conçus pour fonctionner sous des températures descendant jusqu?à -50°C, a précisé Alstom. Alstom a conclu en 2009 une alliance avec Transmashholding, le premier constructeur ferroviaire russe. Il doit en prendre 25% du capital plus une action de son nouveau partenaire et l'aider à se moderniser. Les deux partenaires entendent se développer sur le "marché 1520" de l'ex-URSS (où l'écartement des voies est de 1520 mm, plus que dans la plupart des autres pays).

    Paris et Astana ont également passé un "accord d'entente mutuelle pour l'acquisition de 45 hélicoptères EC 145 par le ministère kazakh à la joint-venture entre Eurocopter/EADS et Kazakhstan Engineering". Ce contrat atteint 300 millions d'euros, selon l'Elysée. Par ailleurs, Astrium, la division espace du groupe européen EADS, a remporté un contrat auprès du Kazakhstan portant sur la construction d'un centre d?Assemblage, d'intégration et de test (AIT) de satellites à Astana. Le montant de l'accord est selon l'Elysée de 100 millions d'euros. Une porte-parole d'Astrium a indiqué à l'AFP que celui-ci était plutôt "de l'ordre de 80 millions d'euros". Astrium a signé ce contrat mercredi à Paris avec la société nationale JSC Kazakhstan Gharysh Sapary (KGS), responsable du développement du programme spatial du Kazakhstan.

    Autres contrats signés mercredi: un accord entre Areva et Kazatomprom, relatif à la construction d'une usine d'assemblage de combustible nucléaire au Kazakhstan, ainsi que l'accord entre le gouvernement français et le gouvernement kazakh pour le développement des utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire. Le riche sous-sol du Kazakhstan aiguise les appétits. Dans le secteur stratégique de l'énergie, ce pays d'Asie centrale assure par exemple 13% de la production mondiale d'uranium et détient 17% des réserves.

    En octobre 2009, le président français avait effectué une visite officielle de quelques heures au Kazakhstan pour sceller par une série d'accords de coopération et de contrats commerciaux le nouveau partenariat lancé par Paris. Les groupes français Total et GDF-Suez avaient annoncé leur participation à l'exploitation du champ gazier russo-kazakh de Khvalinskoye, en mer Caspienne, opéré en partenariat avec le Russe Loukoïl et le Kazakh Kazmunaigaz.

    Dépêche AFP du 27 octobre 2010

    La Caisse des dépôts signe un accord avec le fonds souverain du Kazakhstan

    La Caisse des dépôts (CDC) et le fonds souverain du Kazakhstan ont signé un accord de coopération dans différents domaines, allant des infrastructures aux PME, ont annoncé les deux parties mercredi dans un communiqué commun.

    Cet accord a été conclu par Augustin de Romanet, directeur général de la CDC et par Kairat Kelimbetov, président du fonds souverain Samruk-Kazyna, à l'occasion de la visite en France du président de la République du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaïev.

    La future coopération portera sur des domaines très variés, tels que les infrastructures, le financement des PME, les villes durables et l'investissement à long terme.

    Le fonds souverain kazakh gère les actifs industriels et s'occupe des principaux investissements effectués par ce vaste pays d'Asie centrale riche en hydrocarbures. Fondé en 2008, il investit en priorité dans l'énergie, la métallurgie, la chimie et les infrastructures.

    Le président français Nicolas Sarkozy recevait mercredi à l'Elysée le président kazakh pour "l'approfondissement du partenariat stratégique" des deux pays, une rencontre qui sera aussi l'occasion de signer des accords et des contrats, avait annoncé mardi l'Elysée.

    Sur www.cbanque.com le 27 octobre 2010

    Célébration du 20e anniversaire de la Charte de Paris (28 octobre 2010)

    A l’occasion du 20e anniversaire de la signature de la Charte de Paris posant les bases de la future Organisation sur la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes, recevra Noursoultan Nazarbaev, président de la République du Kazakhstan, pays assurant actuellement la présidence de l’OSCE.

    La célébration se tiendra le jeudi 28 octobre 2010 de 8h45 à 11h en présence de nombreuses personnalités internationales. Elle réunira Bernard Kouchner, les présidents Giscard d’Estaing et Nazarbaev et les ministres des Affaires étrangères qui ont participé à l’élaboration de la Charte en 1990, Roland Dumas, Hans-Dietrich Genscher et Marc Perrin de Brichambaut, secrétaire général de l’OSCE.

    Héritière de la Charte de la Paris, de l’Acte final d’Helsinki et de la CSCE, l’OSCE est un instrument privilégié de négociations, de prévention des conflits et gestion de crise en Europe continentale.

    Cette célébration, à un mois du Sommet de l’OSCE à Astana (1er et 2 décembre), onze ans après celui d’Istanbul en 1999, sera l’occasion de rappeler les principes fondamentaux qui guident l’action de l’OSCE, ses activités de prévention et de gestion des conflits, son rôle dans la garantie et la promotion de la démocratie et de l’Etat de droit ainsi que ses missions plus récentes en réponse aux nouvelles menaces transnationales.

    === La Charte de Paris ===

    La Charte de Paris pour une nouvelle Europe a été signée à Paris le 21 novembre 1990 par 34 chefs d’État et de Gouvernement dont François Mitterrand, Margaret Thatcher, George Bush, Helmut Kohl, Jacques Delors pour la CEE, Tadeusz Mazowiecki, Vaclav Havel et Mikhaïl Gorbatchev.

    Cette Charte prend acte du changement historique intervenu dans la configuration politique européenne depuis l’acte final d’Helsinki de 1975, fondateur de la CSCE et marque la transition historique de la CSCE, en tant qu’instrument de la détente, vers l’OSCE, enceinte de coopération euro-atlantique et eurasiatique.

    Les signataires déclarent en préambule que l’ère de la confrontation en Europe est révolue, et que les relations européennes seront désormais fondées sur le respect, la coopération et les relations amicales.

    Elle consacre la démocratie comme "seul système de gouvernement" des nations européennes et nord-américaines et le lien consubstantiel entre la démocratie, les droits de l’homme et l’État de droit et pose la liberté économique, la justice sociale et la sauvegarde de l’environnement comme éléments indispensables à la prospérité.

    Sur www.diplomatie.gouv.fr le 27 octobre 2010

    mercredi 27 octobre 2010

    Le président Sarkozy confirme sa participation au sommet de l'OSCE à Astana


    Photo daylife

    Astana, le 27 octobre 2010 – Lors de sa rencontre aujourd’hui à l’Elysée avec le Président kazakh Noursoultan Nazarbaiev, le Président Nicolas Sarkozy a confirmé sa participation au Sommet de l’OSCE qui se tiendra à Astana, la capitale du Kazakhstan les 1er et 2 décembre prochains.

    Le Président Sarkozy a reçu le Président Nazarbaiev à déjeuner au Palais de l’Elysée, avant la signature de trois importants contrats commerciaux entre la France et le Kazakhstan. Le montant total des accords signés aujourd’hui est de plus de deux milliards d’euros. Le contrat le plus important concerne la fourniture et l’assemblage par Alstom de locomotives de passagers et de fret, dans le cadre d’un partenariat avec Kazakhstan Temir Zholy (KTZ) et la société russe Transmashholding, pour un montant de 1,6 milliard d’euros. Les deux autres accords conclus portent sur la construction par Areva d’une usine de production de combustible nucléaire au Kazakhstan et sur l’acquisition par le Ministère de la Défense kazakh de 45 hélicoptères EC145 construits par Eurocopter, filiale d’EADS, pour 300 millions d’euros.

    Les entretiens entre les deux présidents ont été centrés sur le renforcement du partenariat stratégique entre la France et le Kazakhstan, ainsi que sur la poursuite du dialogue politique en vue du Sommet d’Astana et de la future présidence du G20 et du G8 par la France. Ce matin, le Président Nazarbaiev s’est adressé aux membres du Medef réunis à l’hôtel Ritz, pour leur détailler ses plans de développement économique et demander aux dirigeants des grandes entreprises aussi bien qu’à ceux des PME de prendre une part active à la réalisation de l’immense potentiel du Kazakhstan.

    « C’est un jour important pour les relations franco-kazakhes », a déclaré Anne-Marie Idrac, Secrétaire d’Etat pour le Commerce Extérieur, lors de cette réunion du Medef. « Les échanges commerciaux entre nos pays ont continué de croître malgré la crise (financière mondiale). Le Kazakhstan est le premier partenaire de la France en Asie centrale. Nous soutenons activement la diversification économique du pays, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de la pharmacie, de la parapharmacie, de l’énergie, du développement durable… La France est le cinquième plus important investisseur au Kazakhstan. »

    Après sa réunion à l’Elysée, Le Président Nazarbaiev a rencontré le Premier Ministre François Fillon à l’Hôtel Matignon, pour évoquer les relations bilatérales. Le premier jour de la visite s'achèvera par un dîner de gala en l'honneur du Président Nazarbaiev, marqué par la présence de représentants éminents des milieux politiques, intellectuels, culturels et économiques, ainsi que des médias.

    Demain jeudi 28 octobre, le Président Nazarbaiev participera à la Conférence commémorative consacrée au 20ème Anniversaire de la Charte de Paris pour une nouvelle Europe accueillie au Quai d’Orsay par le Ministre des Affaires Etrangères et Européennes de la République Française Bernard Kouchner. Il y sera accompagné par le Président en exercice de l’OSCE, le Ministre des Affaires Etrangères et Secrétaire d’Etat du Kazakhstan Kanat Saudabayev.

    Communiqué de presse de www.kazakhstanlive.com du 27 octobre 2010

    EADS : Astrium renforce ses liens avec le Kazakhstan

    Astrium, la branche satellites d'EADS, a signé un nouveau contrat dans le cadre de son partenariat avec JSC Kazakhstan Gharysh Sapary (KGS), responsable du développement du programme spatial du Kazakhstan. L'accord porte sur la construction d'un centre d'assemblage, d'intégration et de test de satellites à Astana, la capitale du pays. En vertu de ce contrat, Astrium fournira les divers équipements d'essai (mécaniques, radiométriques, thermiques et acoustiques) qui seront installés au nouveau Centre AIT. Astrium épaulera également KGS dans la construction de cette infrastructure, en supervisant l'intégration des bancs de test. Le centre sera intégré à la "Cité de l'Espace" en cours d'édification à Astana.
    Sur http://bourse.challenges.fr/ le 27 octobre 2010.

    Le Kazakh Nazarbaïev à Paris, une visite sous le signe des accords commerciaux

    Le président kazakh Noursoultan Kazarbaïev rencontrera Nicolas Sarkozy ce mercredi 27 octobre 2010 à Paris. Au programme des discussions figureront les différents partenariats économiques prévus dans les domaines de l'énergie, de la sécurité et des transports.

    Partenaire stratégique de la France, le Kazakhstan le devient un peu plus à chaque rencontre entre Nicolas Sarkozy et Noursoultan Nazarbaïev. Même si, cette fois, les espoirs de contrat entre Paris et Astana sont un peu déçus.

    Un milliard et demi d'euros de contrats seront signés et l'espoir, côté français, réside surtout dans la progression que les négociations en cours feront grâce à la rencontre des deux chefs d'Etat, même si celle-ci se résumera à un déjeuner de travail ce mercredi 27 octobre 2010.

    C'est dans le domaine de la défense que le caractère stratégique du partenariat franco-kazakh est le plus évident, Astana souhaitant contenir les prétentions du grand-frère russe en traitant avec Paris.

    EADS Astrium devrait finaliser l'accord pour la construction de deux satellites d'observation de la terre. Même chose pour Eurocopter qui envisage d'assembler sur place, au Kazakhstan, quarante-cinq hélicoptères par an.

    Pour ce qui est de l'énergie, la visite de l'autoritaire président kazakh ne devrait finalement pas donner lieu à signature, Areva et Total poursuivant de complexes discussions.

    La bonne nouvelle vient d'Alstom, qui va construire des locomotives au Kazakhstan. Les cinquante premières devraient être fabriquées sur le site de Belfort, en France.

    Avec notre correspondant à Astana, Régis Genté
    Sur http://www.rfi.fr/ le 27 octobre 2010

    Un vice-Premier ministre chinois appelle à approfondir la coopération agricole au sein de l'Organisation de coopération de Shanghai

    Le vice-Premier ministre chinois Hui Liangyu a appelé mardi à Beijing à renforcer la coopération agricole régionale entre les pays-membres de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS). M. Hui a fait cette remarque lors de la cérémonie d'ouverture de la première réunion des ministres de l'Agriculture de l'OCS.

    Il a appelé les pays membres de l'OCS à renforcer l'édification du mécanisme de coopération agricole et à approfondir la coopération pragmatique dans les technologies, la formation, le commerce et les investissements dans le domaine agricole.

    La réunion des ministres de l'Agriculture de l'OCS s'est tenue en conformité avec la proposition du Premier ministre chinois Wen Jiabao à l'occasion de la 8ème conférence des Premiers ministres de l'OCS. Créée en 2001, l'OCS regroupe six pays-membres, à savoir la Chine, la Russie, le Kirghizstan, le Kazakhstan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan.

    Sur http://french.china.org.cn/ le 27 octobre 2010

    Le Kazakhstan, pays regorgeant de richesses en matières premières, courtisé par l'Elysée

    Nicolas Sarkozy reçoit aujourd'hui le président kazakh. Au menu : pétrole, uranium et transfert de technologies. Rencontre avec le directeur du holding orchestrant les coopérations avec Total, Areva, Alstom...

    Le « déjeuner de travail » aujourd'hui à l'Elysée du président du Kazakhstan s'annonce fructueux. A la tête depuis vingt ans d'un régime autoritaire dans ce pays qui, au coeur de l'échiquier asiatique, regorge de matières premières, Noursoultan Nazarbaïev vient notamment parler pétrole et uranium. « Il y a une forte volonté politique de la part de la France », a confié aux « Echos » Kairat Kelimbetov, le directeur de Samruk Kazyna. Pesant 75 milliards de dollars, ce holding regroupe la plupart des entreprises publiques du Kazakhstan. Notamment les sociétés qui, lors du voyage l'an dernier de Nicolas Sarkozy dans la capitale kazakhe, avaient signé des accords avec Total, Areva, Alstom... « Une visite efficace. Depuis, ces bonnes relations politiques servent de support amical pour renforcer la coopération avec nos entreprises », assure Kairat Kelimbetov.

    Résultat : un menu chargé pour la rencontre présidentielle aujourd'hui. Avec notamment un potentiel futur accord entre Total et Kazmunaigaz, la société d'Etat avec laquelle le groupe français est déjà associé dans le champ gazier russo-kazakh de Khvalinskoye, mais, surtout, au sein d'un large consortium international, pour le développement de Kashagan, l'un des champs pétroliers les plus prometteurs au monde. « Kazmunaigaz va renforcer son partenariat avec Total. Ils négocient actuellement une nouvelle coopération pour créer un joint-venture pour le développement d'un autre gisement », assure Kairat Kelimbetov. Vinci doit aussi profiter de cette coopération : sa filiale Spiecapag dirige un consortium qui a déjà signé un protocole d'accord pour la construction d'un oléoduc entre le champs de Kashagan et le littoral de la mer Caspienne. Prochaine étape : l'accord sur le financement du projet.

    Diversification

    La rencontre présidentielle devrait également confirmer la coopération entre Areva et Kazatomprom, la société publique en charge de l'exploitation de l'uranium (le Kazakhstan posséderait un quart des réserves planétaires). Objectif : la création d'une coentreprise pour la construction d'une usine de fabrication de combustible. « La production devrait commencer en 2014, en partie pour l'exportation vers la Chine. Cette coopération nous apporte des technologies », se réjouit Kairat Kelimbetov. « Dans l'uranium, où nous travaillons avec les Français, les Canadiens, les Américains, les Japonais, les Chinois et les Russes, nous voulons de nouvelles coopérations. Mais à la condition qu'il y ait transfert de technologies. »

    Car, désormais courtisé par le monde occidental mais aussi par la Chine, le Kazakhstan veut poser ses conditions. Sur le front politique, malgré les critiques des ONG, il a gagné en respectabilité grâce à la présidence cette année de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. Sur le front économique, il veut profiter de son sous-sol pour s'en servir de tremplin à la diversification. « Contrairement à la Russie, qui veut se lancer dans de nouvelles industries, le Kazakhstan cherche à se diversifier à l'intérieur des industries où il est déjà spécialisé. C'est sans doute plus efficace... », affirme un analyste moscovite. « Au-delà du pétrole et de l'uranium, nous voulons créer des ponts technologiques entre l'Europe et le Kazakhstan », explique pour sa part Kairat Kelimbetov. « La France devrait être le premier pays avec qui nous allons créer un joint-venture pour orchestrer ces transferts. » Des liens existent déjà avec Thales et EADS. Alstom, qui a signé un accord pour la fourniture de locomotives, doit pour sa part construire une usine à Astana, la nouvelle capitale. Une ville en plein essor à l'image des ambitions du Kazakhstan.

    Ecrit par BENJAMIN QUÉNELLE, Correspondant à Moscou
    Publié sur http://www.lesechos.fr/ le 27 octobre 2010

    mardi 26 octobre 2010

    Sarkozy reçoit mercredi son homologue kazakh: accords et contrats en vue

    PARIS - Nicolas Sarkozy reçoit mercredi midi à l'Elysée le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev pour "l'approfondissement du partenariat stratégique" des deux pays, une rencontre qui sera aussi l'occasion de signer des accords et des contrats, a annoncé mardi l'Elysée.

    "Le déjeuner sera suivi d'une cérémonie de signature d'accords et de contrats", indique la présidence de la République dans un communiqué, sans plus de précisions.

    L'entretien entre les deux présidents, ajoute le communiqué, "sera consacré à l'approfondissement du partenariat stratégique et au développement du dialogue politique" bilatéral, notamment dans le cadre de la préparation du sommet de l'OSCE à Astana -la capitale kazakhe- et de la présidence française du G20 qui démarre à la mi-novembre pour un an.

    Le riche sous-sol du Kazakhstan aiguise les appétits. Dans le secteur stratégique de l'énergie, ce pays d'Asie centrale assure par exemple 13% de la production mondiale d'uranium et en détient 17% des réserves.

    En octobre 2009, le président français avait effectué une visite officielle de quelques heures au Kazakhstan pour sceller avec une série d'accords de coopération et de contrats commerciaux le nouveau partenariat lancé par Paris.

    Les groupes français Total et GDF-Suez avaient annoncé leur participation à l'exploitation du champ gazier russo-kazakh de Khvalinskoye, en mer Caspienne, opéré en partenariat avec le Russe Loukoïl et le Kazakh Kazmunaigaz.
    Sur www.romandie.com le 26 octobre 2010

    GNL pour l'Ukraine: le fournisseur connu d'ici la fin de la semaine

    KIEV, 26 octobre - RIA Novosti

    L'Ukraine choisira son fournisseur de gaz naturel liquéfié (GNL) d'ici la fin de la semaine, a annoncé mardi Vladislav Kaskiv, chef du groupe de travail chargé de concevoir les projets nationaux.
    "Le fournisseur de gaz liquéfié sera choisi d'ici la fin de la semaine", a-t-il déclaré dans un communiqué du groupe de travail.
    La construction d'un terminal GNL sur le littoral de la mer Noire figure parmi les dix projets nationaux de l'Ukraine. Selon le gouvernement, les travaux débuteront en 2011 et demanderont 12 à 18 mois. Le site sera en mesure d'accueillir 10 milliards de m3 de gaz par an.
    Kiev s'efforce de diminuer sa dépendance vis-à-vis des importations gazières russes. A cet effet, l'Ukraine a invité le Kazakhstan à s'associer à la construction du terminal destiné au stockage de gaz liquéfié en vue de sa réexpédition aux consommateurs.
    En septembre 2010, le premier vice-premier ministre ukrainien Andreï Kliouïev a pourtant fait savoir que Kiev et Astana avaient suspendu provisoirement ce projet en raison de la crise économique mondiale.

    Accord de base Kazakhstan-UE: les pourparlers vont bientôt commencer

    BRUXELLES, 26 octobre - RIA Novosti

    Les négociations sur un nouvel accord de base de partenariat et de coopération entre le Kazakhstan et l'UE seront entamées au cours de ces prochains mois, a déclaré mercredi le président de la Commission européenne José Manuel Barroso.
    "Nous sommes persuadés que les pourparlers seront entamés d'ici fin 2010-début 2011", a déclaré M. Barroso à l'issue d'un entretien avec le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev, en visite officielle de deux jours en Belgique.
    Selon le président de la Commission européenne, l'UE soutient l'adhésion du Kazakhstan à l'Organisation mondiale du Commerce (OMC). Les négociations commerciales entre Astana et Bruxelles se sont également déroulées lundi dans le cadre de la visite de M. Nazarbaïev.
    "De notre côté, nous espérons achever les discussions bilatérales sur l'adhésion du Kazakhstan à l'OMC le plus vite possible", a estimé M. Barroso.

    Alcatel-Lucent : lance un pilote LTE au Kazakhstan.

    (CercleFinance.com) - Alcatel-Lucent a annoncé qu'elle s'associait au Kazakhstan avec KaR-Tel LLP, filiale de l'opérateur télécoms VimpelCom, afin de devenir son unique fournisseur d'équipements pour le lancement du premier pilote LTE opérationnel dans la bande des 700 MHz sur l'ex-territoire soviétique.
    Le nouveau réseau LTE couvrira les quartiers du centre d'Amalty, la capitale économique du Kazakhstan.
    Ce réseau fait suite au succès des premiers essais de la solution LTE à Astana et Almaty avec KaR-Tel au printemps 2010, et s'inscrit dans le cadre du programme stratégique de développement du Kazakhstan jusqu'à 2030 visant à améliorer l'accès du grand public à l'Internet.
    Vimpelcom et Alcatel-Lucent travaillent à présent sur une gamme de services mobiles haut débit avancés qu'ils pourront proposer grâce au débit de données plus élevé et à la latence plus faible qu'offre la technologie LTE. Opérant dans une bande de fréquence plus faible (700 MHz), le nouveau réseau permet à l'opérateur de garantir une couverture maximale plus efficace.
    Dans ce projet clés en main, l'équipementier télécoms fournira ses stations de base LTE, son coeur de réseau paquet amélioré et ses équipements de backhaul IP/MPLS ainsi que des services de planification, de conception, d'intégration et d'optimisation du réseau.
    Sur www.boursorama.com le 25 octobre 2010

    La Belgique et le Kazakhstan vont collaborer dans la recherche nucléaire

    LUXEMBOURG - La Belgique et le Kazakhstan vont collaborer dans la recherche sur les applications pacifiques et le développement durable de l'énergie nucléaire, selon un communiqué publié lundi par le centre belge d'étude de l'énergie nucléaire (SCK-CEN).

    Le SCK-CEN a signé lundi à Bruxelles un accord en ce sens avec le Centre National Nucléaire kazakh et le groupe kazakh d'énergie Kazatomprom, en marge d'une visite en Belgique du président kazakh Noursoultan Nazarbaïev.

    Le Kazakhstan assure 13% de la production d'uranium dans le monde et en détient 17% des réserves mondiales.

    Un accord similaire avait déjà été signé au début du mois avec la Chine. C'est dans les deux cas une première étape vers l'entrée dans un consortium international de recherche sur le nucléaire, baptisé Myrrha.
    Sur www.romandie.com le 25 octobre 2010

    Inauguration De la Statue de Mustapha Tchokaï à Nogent sur Marne


    Jeudi 28 octobre 2010 à 11h00, aura lieu l'inauguration de la statue de Moustapha Tchokaï au square de la fontaine à Nogent sur Marne.

    De nombreuses personnalités sont attendues, dont Mr Mukhtar Kul-Mukhammed, ministre kazakh de la culture, son excellence Mr l'ambassadeur Nurlan Danenov, Mr Philippe Mariani, député et président du groupe d'amitié franco-kazakh de l'assemblée nationale, Mr Jacques Martin, maire de Nogent sur Marne, Mr l'adjoint au maire de Kyzyl Orda et Mr Alain Maitre, directeur du musée de Nogent sur Marne.

    Cet évènement est organisé par Mr Mursal-Nabi Tuyakbayev, conseiller de l'ambassadeur du Kazakhstan à Paris et l'association Moustapha Tchokaï dont l'objet est d'étudier la vie et les idéaux de Mustafa Tchokaï, l’un des plus importants hommes d’Ëtat et de réflexion kazakhs du début du XXe siècle. Il contribue également à la présentation aux français et européens de la langue, de la culture, de la musique, de la littérature, de l’histoire et des coutumes des autochtones de l’Asie centrale et notamment des Kazakhs.

    Association Moustapha Tchokaï : maison des associations, 5-9, rue Anquetil, 94130 Nogent-sur-Marne.

    Nouvel accord en vue entre la France et le Kazakhstan ?


    Alors que compte-tenu du développement de l'énergie nucléaire, l'uranium pourrait être le pétrole du 21eme siècle, Nicolas Sarkozy reçoit mercredi à l'Elysée Noursoultan Nazarbaïev, le le président du Kazakhstan, pays doté d'importants gisements de cette matière première très convoitée.

    S'il est question de "l'approfondissement du partenariat stratégique" entre les des deux pays, la Présidence annonce d'ores et déjà que la signature d'accords et de contrats est également à l'ordre du jour.

    Si l'on en croit un communiqué de l'Elysée, l'entrevue entre les deux présidents "sera consacré à l'approfondissement du partenariat stratégique et au développement du dialogue politique" bilatéral.

    Objectifs affichés : les préparations du sommet de l'OSCE à Astana -la capitale kazakhe- et de la présidence française du G20, laquelle démarre à la mi-novembre pour un an.

    Rappelons à toutes fins utiles que l'ampleur des ressources énergétiques attire actuellement toutes les convoitises. Il est vrai que le pays assure 13% de la production mondiale d'uranium et en détient 17% des réserves.
    Précisons que durant le premier semestre 2010, le Kazakhstan a augmenté sa production d'uranium à 4.060 tonnes, ce qui correspond à une hausse de 63% en valeur glissante annuelle. Le revenu total au premier semestre 2010 a augmenté de 19% pour atteindre près de 233 millions d'euros, soit une croissance de 25% sur douze mois.

    En octobre 2009, les groupes français Total et GDF-Suez avaient annoncé leur participation à l'exploitation du champ gazier russo-kazakh de Khvalinskoye, en mer Caspienne, opéré en partenariat avec le Russe Loukoïl et le Kazakh Kazmunaigaz.

    Sources : AFP, Ria Novosti
    Sur http://www.leblogfinance.com/ le 26 octobre 2010

    lundi 25 octobre 2010

    ONU : Armes chimes, armes bactériologiques et régime juridique de l'espace

    La Fédération de Russie a présenté un projet de résolution qui prévoit la constitution d’un groupe d’experts gouvernementaux qui sera chargé de mener une étude, dès 2012, sur les mesures de transparence et de confiance relatives aux activités spatiales. Malgré les désaccords entre son pays, la Chine et les États-Unis sur un projet de résolution trilatéral, les trois États sont d’accord sur l’essentiel, à savoir l’établissement d’un groupe d’experts gouvernementaux, a souligné le représentant russe. La Chine et le Kazakhstan ont marqué leur appui à ce projet de résolution.

    M. ISRAIL U. TILEGEN (Kazakhstan) a estimé que, dans un monde de plus en plus dépendant des technologies spatiales, la sécurité de l’espace extra-atmosphérique doit demeurer au centre des préoccupations de la Conférence du désarmement (CD), dont les travaux doivent être revitalisés au cours de l’année à venir, a-t-il ajouté. Il a fait remarquer que plus de 130 pays ont des programmes spatiaux complexes –ou en élaborent–, utilisant les atouts de l’espace pour leur propre défense. Les États Membres doivent donc s’assurer que ces systèmes d’armes de défense ne minent pas la structure existante des accords de limitation des armements, en particulier, dans le domaine des missiles nucléaires, a-t-il estimé. Le Kazakhstan n’a pas l’intention de développer des armes spatiales ou d’en déployer dans l’espace extra-atmosphérique, a affirmé son représentant, rappelant que son pays accueille l’un des plus grands cosmodromes, celui de Baïkonour, et développe activement un programme spatial civil national. Il a également ajouté que son gouvernement avait rejoint le Code de conduite international contre la prolifération des missiles balistiques, en juillet 2005, et s’attèle activement à rejoindre le Régime de contrôle de la technologie des missiles (RCTM). Il a souligné que sa délégation soutenait le projet de résolution relatif à la transparence et aux mesures de confiance dans les activités liées à l’espace extra-atmosphérique, ainsi qu’un instrument universel visant à prévenir la militarisation de l’espace extra-atmosphérique.

    Sur www.un.org le 25 octobre 2010
    Rapport complet

    Le président kazakh assistera au sommet de l'OTAN


    BRUXELLES, 25 octobre - RIA Novosti

    Le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev a annoncé lundi à Bruxelles qu'il assisterait au sommet de l'OTAN programmé à Lisbonne pour novembre, à l'issue d'entretiens avec le secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen.

    "Nous jugeons très important que le Kazakhstan participe au sommet de l'OTAN à Lisbonne" où seront présents les chefs d'Etat et de gouvernement des pays partenaires de l'Alliance, a indiqué le président Nazarbaïev, en visite officielle de deux jours en Belgique.

    Les relations entre le Kazakhstan et l'OTAN évoluent très bien dans le cadre du programme Partenariat pour la paix et ont de bonnes perspectives, a estimé M.Nazarbaïev. Astana souhaite notamment coopérer avec l'Alliance dans le maintien de la sécurité et la modernisation et le rééquipement de ses forces armées.

    M.Rasmussen a remercié le Kazakhstan pour avoir mis des convois ferroviaires et des avions de transport à la disposition de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité en Afghanistan (ISAF). Il a également salué les efforts déployés par le Kazakhstan en tant que président de l'OSCE.

    M.Nazarbaïev a invité M.Rasmussen à participer au sommet de l'OSCE programmé pour les 1er-2 décembre prochains à Astana.

    Le président kazakh plaide pour un partenariat avancé avec l'UE


    BRUXELLES, 25 octobre - RIA Novosti

    Le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev, en visite officielle de deux jours à Bruxelles, a demandé lundi à l'Union européenne d'accélérer les négociations sur la conclusion d'un accord de partenariat avancé entre le Kazakhstan et l'UE.

    "J'ai demandé d'accélérer les négociations sur la conclusion d'un nouvel accord entre le Kazakhstan et l'Union européenne", a-t-il déclaré aux journalistes à l'issue d'un entretien avec le président du Conseil européen Herman Van Rompuy. D'après le leader kazakh, il s'agit d'un "accord prévoyant un partenariat avancé" entre Astana et Bruxelles.

    Les deux parties ont également examiné la coopération bilatérale dans le cadre du programme kazakh "La voie vers l'Europe".

    M. Nazarbaïev a affirmé avoir évoqué avec M. Van Rompuy "un large éventail de questions relatives à la sécurité en Asie centrale, les problèmes de l'Afghanistan et du Kirghizstan et le programme nucléaire iranien".

    "Nous avons constaté une coïncidence de vues sur toutes ces questions", a souligné le président kazakh, "Astana considère ses relations avec l'UE comme stratégiques", a-t-il conclu.

    ASTANA, 25 octobre - RIA Novosti

    Une coentreprise franco-kazakhe d'assemblage d'hélicoptères Eurocopter sera créée à Astana, capitale du Kazakhstan, a annoncé lundi le premier ministre kazakh Karim Massimov.

    "Nous avons convenu de créer une coentreprise d'assemblage d'hélicoptères au Kazakhstan, à Astana", a déclaré le chef du gouvernement devant les députés. Et d'ajouter qu'il s'agissait d'excellents hélicoptères.

    "Ce sera une production hautement technologique, et les premières commandes sont déjà prévues dans le projet de budget. Les appareils seront achetées à cette future coentreprise", a souligné M.Massimov.

    Selon le premier ministre, il est prévu d'équiper les régions kazakhes en "hôpitaux volants". Le chef du gouvernement n'a cependant donné plus de détails ni sur le montant du budget ni sur la capacité de la future coentreprise. Il n'a pas non plus précisé les délais de sa mise en service.

    Gazoduc Transcaspien: critères écologiques rigoureux

    MOSCOU, 25 octobre - RIA Novosti

    Les pays riverains de la mer Caspienne appliqueront les critères écologiques les plus rigoureux envers le projet de gazoduc Transcaspien, a estimé lundi devant les journalistes à Moscou Anatoli Ianovski, vice-ministre russe de l'Energie.

    "Les pays bordant la mer Caspienne produiront les critères écologiques les plus rigoureux envers le projet (de pose du gazoduc)", a-t-il déclaré, en expliquant que l'écologie était extrêmement fragile dans cette partie du monde.

    Le projet en question prévoit la pose d'un gazoduc sur le fond de la Caspienne pour transporter le gaz turkmène vers l'Azerbaïdjan. Sa réalisation implique l'approbation de tous les pays de la région.

    L'élaboration du projet a commencé dans les années 1990, mais en 2000, les travaux ont été suspendus, les parties n'ayant pas surmonté leurs divergences. En 2007, le Kazakhstan, l'un des fournisseurs potentiels clé du futur gazoduc, a déclaré que le projet était sans perspective.

    A part l'absence des volumes nécessaires pour remplir le gazoduc Transcaspien, le statut juridique indéfini de la mer Caspienne entrave la mise en œuvre du projet.

    L'Azerbaïdjan, le Kazakhstan et le Turkménistan insistent sur le partage de la Caspienne selon la ligne médiane, alors que l'Iran propose que la mer soit répartie en cinq parts égales entre les pays riverains, soit 20% pour chaque Etat.

    Gaz: négociations en cours sur une coopération FPEG-USA


    MOSCOU, 25 octobre - RIA Novosti

    Le Forum des pays exportateurs de gaz mène des négociations sur la coopération avec les Etats-Unis, a annoncé lundi aux journalistes à Moscou Leonid Bokhanovski, secrétaire général du FPEG."

    Le FPEG retient l'attention de tous les acteurs du marché gazier, tant en Europe et Asie qu'en Amérique. Quant aux Etats-Unis, des négociations sont menées actuellement", a déclaré M.Bokhanovski dans le cadre de la Semaine énergétique internationale qui se tient dans la capitale russe.

    Le Forum des pays exportateurs de gaz a été institué en 2001 à Téhéran. A la septième rencontre ministérielle en décembre 2008 à Moscou, le FPEG a été transformé en organisation internationale informelle. Son siège est à Doha (Qatar). Il réunit actuellement 11 pays membres (Algérie, Bolivie, Venezuela, Egypte, Iran, Qatar, Libye, Nigeria, Russie, Trinidad et Tobago, Guinée équatoriale), et trois pays observateurs (Kazakhstan, Pays-Bas, Norvège).

    M.Bokhanovski a été élu secrétaire général du Forum à la 9e rencontre ministérielle en décembre 2009.

    Exposition "Kazakhstan : Hommes, bêtes et dieux des steppes"


    Du 29 octobre 2010 au 31 janvier 2011 aura lieu l'exposition "Kazakhstan : Hommes, bêtes et dieux des steppes", au Musée Guimet, Galerie Panthéon Bouddhique, 19 avenue d'Iena à Paris 16ème.
    Cette exposition de grande qualité sera inaugurée le 31 octobre prochain.

    dimanche 24 octobre 2010

    Entrevue du Premier ministre Jean-Claude Juncker avec le président du Kazakhstan


    Le Premier ministre Jean-Claude Juncker a eu une entrevue avec Noursoultan Nazarbaïev, président du Kazakhstan, à Bruxelles, le 24 octobre 2010.

    La délégation luxembourgeoise a été reçue par le président, accompagné de Kanat Saudabaïev, ministre des Affaires étrangères du Kazakhstan et président en exercice de l’OSCE, au château Val Duchesse, pour une réunion suivie d’un dîner de travail.

    Les entretiens ont notamment porté sur le renforcement des relations bilatérales, les questions d’actualité économiques et financières, les relations entre le Kazakhstan et l’Union européenne ainsi que la présidence en exercice de l’OSCE, actuellement assurée par le Kazakhstan.

    La situation régionale en Asie centrale ainsi que d’autres questions d’actualité internationale ont également été abordées.
    Sur www.gouvernement.lu le 24 octobre 2010

    vendredi 22 octobre 2010

    Lancement d'une chambre de commerce Suisse-Kazakhstan

    Lucerne (awp/ats) - La Chambre de commerce Suisse-Kazakhstan a été lancée vendredi à Lucerne. L'organisme répond au potentiel croissant offert par la république d'Asie centrale dans les échanges commerciaux entre les deux pays.

    Le lancement est intervenu en présence de l'ambassadeur du Kazakhstan en Suisse, de représentants de l'Osec (Office suisse d'expansion commerciale) et d'associations faîtières de plusieurs secteurs, selon un communiqué diffusé vendredi.

    Le Kazakhstan n'est pas uniquement un important fournisseur de matières premières pour l'Europe de l'Ouest, explique la chambre de commerce. Le pays devient de plus en plus un débouché pour divers biens et services ainsi que pour le transfert de savoir-faire.

    L'organisme doit notamment servir de soutien aux petites et moyennes entreprises (PME). Il sera présidé par l'entrepreneur lucernois André von Moos.

    Sur www.romandie.com le 22 octobre 2010

    Succès dans la lutte antiterroriste


    En 2009, 99 tentatives d'attentats ont été déjouées sur le territoire des pays membres de l'Organisation de Coopération de Shanghai (OCS, alias Groupe de Shanghai), rapporte le site de la radio russe Golos Rossii.

    L'OCS réunit la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan. "Dans le cadre de notre organisation, une structure régionale antiterroriste a été créée à Tachkent et elle fonctionne avec succès", souligne Kanat Saudabaev, ministre des Affaires étrangères du Kazakhstan.

    jeudi 21 octobre 2010

    L'Inra et le CNRS exposent sur la biodiversité

    L'Institut national de la recherche agronomique, l'Inra, et le Centre de recherche scientifique, le CNRS, organisent l'exposition « Biodiversités » qui se tient du 20 au 31 octobre prochains dans les jardins du Trocadéro à Paris. Dans ce cadre, l'Inra propose un atelier pour découvrir toutes les variétés de blés existantes et comprendre leur importance. A l'aide du CD-Rom « Le pouvoir de Minus », le public découvrira le monde secret des microbes qui permettre de produire des aliments et des médicaments, détruire la pollution, assainir l'eau et même aider la police... Une série de conférences et des films seront également présentés.
    Programme complet de l'exposition, des animations, des conférences et des projections de films : www.cnrs.fr/expobiodiversites .
    Eurokaz signale en particulier la projection les jeudis 21 et 28 octobre 12h30 de ce film :

    L'origine de la pomme. Aux confins du Kazakhstan, aurait-on retrouvé le Jardin d'Eden, et le lieu de l'origine de notre pomme cultivée ?

    mercredi 20 octobre 2010

    Vietnam, Kazakhastan, Afrique du sud : stars montantes du commerce mondial

    Dans son dernier rapport sur l'évolution du commercial international publié ce mois-ci (Mapping the World's Trade Connections), HSBC met en exergue les « étoiles montantes » du business mondial parmi les pays émergents.

    Le Vietnam serait l'une des nations à suivre. Les experts pointent notamment le développement d'une industrie du textile et de la chaussure capable de concurrencer la Chine et la Turquie dans ces métiers. En Europe centrale, la Pologne et la république Tchèque décollent dans les échanges internationaux, mais c'est le Kazakhstan qui serait le pays le plus prometteur. Les analystes prévoient une croissance rapide des exportations de ses matières premières (pétrole, gaz...), mais aussi une forte augmentation de la consommation intérieure dans un pays où se multiplient également les projets d'infrastructures et de réseaux de distribution.

    En Afrique, le Ghana et même l'Ethiopie, où les chinois investissent massivement dans l'agriculture, seraient sur la bonne voie, selon la banque internationale. Mais, pas de surprise, l'Afrique du sud va rester la star économique. Profitant des revenus de son secteur minier et dopé par la récente Coupe du monde de football, la nation arc-en-ciel a bien traversé la crise et devrait devenir la porte d'entrée privilégiée du continent pour les pays émergents de la zone Asie.

    Et la France ? Selon le rapport d'HSBC, elle a accru ses échanges avec les économies émergentes de 14,7 % depuis un an. La progression atteint 33,5 % pour la Chine et même 42 % pour les pays du CIS (ex-URSS). Les exportations vers les pays d'Afrique sub-sahariennes ont également augmenté très rapidement depuis le début 2010, même si les chiffres en valeur restent faibles.

    Bruno Askenazi sur http://entrepreneur.lesechos.fr le 20 octobre 2010

    Le Kazakhstan accuse de fraude fiscale un consortium énergétique occidental

    ASTANA - Le fisc du Kazakhstan a annoncé mercredi avoir mis au jour d'importantes fraudes fiscales au sein du consortium mené par l'italien ENI et le britannique BG, chargé de l'exploitation du gisement gazier et pétrolier de Karatchaganak, a rapporté Interfax-Kazakhstan.

    "Les principales questions se posant au sujet de Karatchaganak concernent la formation des prix pour l'achat de marchandises (entre les partenaires du projet), la TVA, l'impôt sur les sociétés, la restitution de frais", a indiqué le chef du fisc Kazakh, Daoulet Ergojine.

    Il a précisé que "la somme était importante", sans la préciser. Les autorités du Kazakhstan réclament déjà 187 milliards de tenge (1,27 milliard de dollars) au consortium, accusé d'avoir gonflé ses coûts de production du pétrole.

    Selon des analystes, Astana a recours à ce type de poursuites afin de forcer le consortium à vendre une part dans Karatchaganak à l'Etat kazakh. Le Kazakhstan avait d'ailleurs annoncé en juin avoir fait une offre pour acheter 10% du projet d'exploitation du gisement gazier et pétrolier.

    Selon l'accord de partage de production du champ signé en 1997, BG et ENI possèdent chacun une part de 32,5% dans le projet, tandis que l'américain Chevron détient 20% et le russe Loukoïl 15%.

    D'autres grands consortiums pétroliers ont eu des déboires avec le fisc ou la justice du Kazakhstan. Le consortium en charge du gigantesque champ pétrolier de Kashagan (ouest) avait ainsi dû céder en 2007 une part supplémentaire dans le projet à l'entreprise d'Etat Kazmunaigas.

    La justice kazakhe a aussi lancé des poursuites pour fraudes contre la coentreprise TengizChevroil (TCO), contrôlée à 50% par l'américain Chevron et qui exploite un vaste gisement pétrolier dans l'ouest du pays.

    Le Kazakhstan a adopté à l'automne 2007 une loi lui permettant d'annuler ou de modifier tout contrat avec des investisseurs sur l'exploitation de matières premières si les intérêts économiques ou la sécurité nationale étaient en péril.

    Sur www.romandie.com le 20 octobre 2010

    Un corridor de transport pourrait relier l'Asie centrale et le Golfe (président ouzbek)

    ACHKHABAD, 20 octobre - RIA Novosti
    Un corridor de transport Ouzbékistan-Turkménistan-Iran-Oman-Qatar pourrait voir le jour, a déclaré mardi le président ouzbek Islam Karimov, en visite officielle au Turkménistan.

    "Nous avons évoqué la création de ce corridor avec le président turkmène et sommes d'accord pour affirmer que ce projet pourrait ouvrir des perspectives pour nos deux pays afin d'accéder au marché mondial", a annoncé M. Karimov.

    Le président turkmène Gourbangouly Berdymoukhammedov a accepté de participer au projet.

    Actuellement, le Turkménistan est engagé dans la création d'un autre corridor de transport, intitulé "Nord-Sud". Il s'agit d'un chemin de fer Kazakhstan-Turkménistan-Iran.

    Les douanes chinoises vont faciliter les activités commerciales au Xinjiang

    Les Douanes d'Urumqi s'efforcent actuellement de rendre les déclarations en douane plus efficaces afin de contribuer à faire de la Région Autonome Ouighour du Xinjiang, dans le Nord-Ouest de la Chine, un corridor pour le commerce extérieur de la Chine avec les pays de l'Asie Centrale et du Sud, a déclaré son Directeur lors d'un entretien avec le China Daily.

    « Faciliter les déclarations en douane fera que les produits chinois pourront atteindre les marchés étrangers d'une manière plus pratique et plus régulière », a dit Wang Zhixiong. « Cela permettra aussi de réduire les coûts commerciaux et d'accélérer le transit des produits ». Au Xinjiang, les Douanes d'Urumqi s'occupent de 17 ports terrestres de 1re catégorie et de 12 de 2e catégorie, le nombre le plus élevé de Chine.

    Depuis 2006, elles ont établi des contacts avec 19 de leurs homologues dans des villes comme Tianjin, Xi'an et Beijing pour simplifier les procédures de déclarations en douane pour les biens importés et exportés passant par des zones placées sous leur administration, a précisé M. Wang. Depuis lors, beaucoup de temps a été épargné pour les déclarations en douane, a t-il ajouté.

    Des procédures de déclarations en douane plus efficaces ont également été mises en place pour faciliter les importations en gros de ressources, qui représentent la majorité des biens importés via des ports terrestres au Xinjiang.

    S'agissant du pétrole brut et du gaz naturel importés par pipelines depuis le Kazakhstan et d'autres pays d'Asie Centrale, les Douanes d'Urumqi ont introduit des procédures spéciales destinées à faciliter leur déclaration, comme un traitement des demandes 24 heures sur 24, un statut prioritaire et une déclaration sur base mensuelle.

    De plus, les Douanes ont lancé une procédure de déclaration en douane basée sur le risque depuis le 15 juillet dernier. S'agissant de facteurs comme les catégories de biens, les prix, les permis de faire du commerce et les associés, les biens à faible risque seront déclarés en douane automatiquement sur ordinateur, ce qui aura pour conséquence que la déclaration en douane sera plus efficace.

    Dans six mesures dévoilées en 2008 pour stimuler l'économie du Xinjiang, les Douanes avaient promis de contribuer à la construction de zones de contrôle spéciales comme le Centre International de Coopération Frontalière Chine-Kazakhstan de Khorgos, qui est situé à la frontière entre la Chine et le Kazakhstan, près de la ville de Khorgos en Chine. Les Douanes d'Urumqi ont aussi aidé le Xinjiang en faisant des recherches pour l'ouverure de davantage de ports terrestres dans les zones frontalières avec le Tadjikistan, la Russie, le Kazakhstan et le Kyrgyzistan.

    Le commerce extérieur du Xinjiang a augmenté de 15,3% à 11,3 milliards de Dollars US pour les trois premiers trimestres se terminant le 30 septembre, par rapport à l'année précédente, d'après des chiffres officiels. Quant aux revenus en provenance des droits de douane, ils ont atteint un chiffre record lors de la même période, en augmentation de 62,7% à 8,61 milliards de Dollars US, dépassant d'ores et déjà le montant total pour 2009.

    Source: le Quotidien du Peuple en ligne
    Publié le 20 octobre 2010 sur http://french.peopledaily.com.cn

    Cinq centrales nucléaires à venir

    Le Kazakhstan, qui dispose de 15 % des réserves mondiales d'uranium naturel, envisage de construire cinq centrales nucléaires dans les prochaines années. Et les candidats prêts à fournir les technologies clé en main ne manquent pas. "Un consortium de compagnies japonaises, dont Japan Atomic Power Company, Toshiba et Marubeni, a récemment conclu un accord avec Astana sur la construction de la première centrale atomique kazakhe", informe le webzine centrasiatique Centrasia.ru.
    Par ailleurs, la Grande Bretagne a consenti à vendre à Astana ses réacteurs de capacité installée moyenne : de 220, 540 et 700 MW. Enfin, un mémorandum kazakho-indien sur la construction de réacteurs à eau pressurisé de conception indienne a été signé cette année.