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lundi 18 octobre 2010

Microsoft offre ses licences pour combattre la censure dans 12 pays

Après la Russie, Microsoft a décidé d'offrir les licences de ses logiciels aux organisations non gouvernementales et aux petits médias indépendants de 12 autres pays dans lesquels leur activité est étroitement contrôlée par l'Etat. Le soupçon de piratage y était parfois soulevé pour justifier la saisie des ordinateurs.

Le mois dernier, Microsoft avait dû réagir vite après la publication d'un article du New York Times qui rapportait que la filiale russe du géant informatique apportait son aide aux autorités à des fins de censure. Le journal expliquait qu'à plusieurs reprises, des ONG ou des médias indépendants russes opposés au régime s'étaient vus confisquer leurs ordinateurs, au prétexte fallacieux qu'ils étaient soupçonnés d'avoir contrefait le système d'exploitation Windows ou la suite Microsoft Office.

La firme de Redmond avait prétendu découvrir la situation (alors que d'autres articles plus discrets l'avaient déjà révélé dans le passé), et immédiatement annoncé son intention de faciliter l'octroi de licences gratuites aux associations et petits éditeurs de presse. Elle avait également lancé son "Programme d'Assistance Juridique aux ONG", pour les aider à prouver la légalité de l'utilisation de leurs logiciels.

L'affaire aurait pu en rester là, une fois le feu médiatique éteint, mais Microsoft a souhaité aller plus loin. Le New York Times rapporte ainsi que Microsoft prévoit d'étendre le même programme à 12 pays et plus de 500 000 ONG et médias indépendants. Il s'agit de 8 anciennes républiques soviétiques (Arménie, Azerbaïdjan, Bélarus, Kazakhstan, Kirghizistan, Tadjikistan, Turkménistan, Ouzbékistan), de la Chine, de la Malaisie et du Vietnam.

Un arrière-goût de lutte contre le communisme de la part de la société fondée par Bill Gates. Lequel en 2005 avait dit des promoteurs de logiciels libres et autres arts libres qu'ils étaient de "nouvelles sortes de communistes des jours modernes qui veulent se débarasser pour divers prétextes des incitations faites aux musiciens, aux réalisateurs de films et aux créateurs de logiciels".

Aujourd'hui, même si l'idée de protéger la liberté d'expression des opposants politiques reste sans doute la première motivation de Microsoft, la firme fait d'une pierre deux coups. En offrant les licences de manière rétroactive et automatique, la firme dispense les organisations de devoir s'orienter vers les offres de logiciels libres, gratuits, qui pourrait les attirer. Elle lutte ainsi contre les deux formes de communisme détestées par Bill Gates.

Sur http://www.numerama.com/ le 18 octobre 2010

ONU : Sport et dialogues entre les civilisations

LE SPORT AU SERVICE DE LA PAIX ET DU DÉVELOPPEMENT

Rapport du Secrétaire général sur le sport au service de la paix et du développement (
A/65/270)

Mme BYRGANYM AITIMOVA (Kazakhstan) a déclaré qu'il était extrêmement urgent de mettre en œuvre le Plan d'action pour le développement du sport, grâce à une intensification du dialogue, de la coordination et des échanges d'idées. Elle a estimé que le Groupe de travail international pour le sport avait un rôle « décisif » à jouer en la matière. Il doit fournir un appui consultatif et technique aux États Membres afin d'assurer une intégration systématique du thème « le sport au service du développement et de la paix » dans les activités locales, nationales et régionales, a-t-elle précisé.

Mme Aitimova a ensuite indiqué que le Kazakhstan avait pris des mesures spéciales dont l'adoption en 2008 d'une loi qui protège le droit de tous les Kazakhs d'avoir accès à l'éducation physique et au sport. Elle a rappelé que son pays accueillerait Aziada 2011, les septième Jeux asiatiques d'hiver. La représentante a également indiqué que, l'an dernier, son pays avait ratifié la Convention internationale contre le dopage dans le sport, et qu'il s'apprête à signer la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocole facultatif.

Mme Aitimova a ensuite fait savoir que son pays avait adopté diverses mesures destinées à créer un environnement juridique favorable à la création et au fonctionnement d'ONG qui cherchent à unir les communautés par le sport. Elle a également estimé que le sport avait un rôle important à jouer auprès des jeunes, notamment en ce qui concerne la naissance « d'idéaux patriotiques positifs ». Pour la représentante kazakhe, le sport serait également un moyen efficace d'accélérer la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement.


PROGRAMME MONDIAL POUR LE DIALOGUE ENTRE LES CIVILISATIONS

Rapport du Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture sur la Décennie internationale de la promotion d'une culture de la paix et de la non-violence au profit des enfants du monde (2001-2010) (A/65/299)

Mme BYRGANYM AITIMOVA (Kazakhstan) a rappelé qu'après l'initiative du Président kazakh, l'UNESCO avait lancé la célébration de l'Année internationale pour le rapprochement des cultures. Elle a également indiqué que son gouvernement avait organisé une importante série de conférences internationales dans le domaine de la tolérance interculturelle. Elle a évoqué l'organisation, depuis 2003, dans son pays, d'un Forum trisannuel sur le dialogue interconfessionnel regroupant des leaders religieux traditionnels. Mme Aitimova a annoncé que la tolérance serait le thème principal de la présidence kazakh de l'Organisation de la Conférence islamique en 2011.

Sur www.un.org le 18 octobre 2010
Rapport complet

ONU : Examen des difficultés auxquelles font face les pays sans littoral

La Deuxième Commission était également saisie aujourd'hui du rapport du Secrétaire général sur l'application du Programme d'action d'Almaty, qui désigne une série de partenariats conçus pour répondre aux besoins particuliers des pays en développement sans littoral et créer un nouveau cadre mondial pour la coopération en matière de transport en transit entre les pays en développement sans littoral et leurs voisins ayant un débouché sur la mer.

L'examen conjoint de la situation particulière des pays sans littoral et des pays les moins avancés est d'autant plus pertinent que 17 des 49 PMA, comme l'Ouganda ou le Népal, appartiennent aux deux catégories. Étant donné les difficultés inhérentes à leur situation géographique, unanimement soulignées par les 30 orateurs qui ont pris la parole aujourd'hui, ces pays enclavés se trouvent pénalisés sur la voie du développement, une situation que n'a fait qu'aggraver la crise économique et financière de 2008.

Visant à intégrer pleinement les pays en développement sans littoral à l'économie mondiale, le Programme d'Almaty s'efforce de forger des partenariats afin de contribuer à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) dans ces pays et d'élargir leur participation, qui stagne actuellement à 1%, des échanges internationaux, au commerce mondial.

La majorité des délégations qui se sont exprimées ont plaidé en faveur d'un renforcement de ces partenariats, de l'augmentation de l'aide publique au développement et de l'investissement direct étranger -en particulier dans le domaine de l'amélioration des infrastructures- et de la conclusion réussie des négociations commerciales du Cycle de Doha.

L'accent devrait être mis sur les liens entre l'aide pour le commerce et la réalisation des priorités définies par le Programme d'Almaty, notamment le développement de l'infrastructure de commerce et de transport des pays enclavés et la mise en œuvre des mesures de facilitation du commerce.

La prochaine séance de la Deuxième Commission se tiendra mercredi, le 20 octobre à 10 heures. Elle sera consacrée à l'examen du point de l'ordre du jour de la Commission ayant trait à la question « Mondialisation et interdépendance ».

GROUPE DE PAYS EN SITUATION PARTICULIÈRE

- Quatrième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (A/65/80-E/2010/77)

- Mesures spécifiques répondant aux besoins et problèmes particuliers des pays en développement sans littoral: résultats de la Conférence ministérielle internationale des pays en développement sans littoral et de transit, des pays donateurs et des organismes internationaux de financement et de développement sur la coopération en matière de transport en transit

Rapport du Secrétaire général sur l'application du Programme d'action d'Almaty (A/65/215)

Le Programme d'action d'Almaty désigne une série de partenariats conçus pour répondre aux besoins particuliers des pays en développement sans littoral et créer un nouveau cadre mondial pour la coopération en matière de transport en transit entre les pays en développement sans littoral. Étant donné les difficultés inhérentes à leur situation géographique, qui est caractérisée par l'absence d'accès direct au commerce maritime, les pays en développement sans littoral se trouvent pénalisés sur la voie du développement. Les difficultés qu'ils rencontrent sont aggravées par leur éloignement des principaux marchés internationaux, de fastidieuses procédures de transit, l'insuffisance de l'infrastructure de transport et les aléas liés au fait que ces pays sont tributaires de la stabilité politique, de l'infrastructure et de la qualité des institutions de leurs voisins, pays de transit riverains de la mer, relève le Secrétaire général.

Le Programme d'Almaty, qui a pour objectif premier de forger des partenariats afin de résoudre les difficultés particulières des pays en développement sans littoral, contribue directement à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement dans ce groupe de pays vulnérables. Constatant le lien direct qui existe entre transports, commerce international et croissance économique, le Programme d'Almaty vise à intégrer mieux et plus pleinement les pays en développement sans littoral à l'économie mondiale. À cet effet, tous les partenaires potentiels du Programme d'Almaty doivent mettre en œuvre des actions spécifiques dans les cinq secteurs prioritaires que sont: les problèmes fondamentaux liés aux politiques en matière de transit; la création d'infrastructures et leur entretien; le commerce international et la facilitation des échanges; les mesures de soutien internationales et la mise en œuvre des recommandations contenues dans le Programme et l'examen de l'application de ces recommandations, souligne le rapport.

La communauté internationale devrait prendre en compte les soucis et besoins de développement qui sont propres aux pays en développement sans littoral pour les aider, par un appui financier accru, prompt et durable, à accélérer leurs progrès vers la réalisation des Objectifs du Millénaire et renforcer leur capacité d'atténuer les effets des changements climatiques et s'y adapter, note le Secrétaire général. La Commission économique pour l'Afrique, la Commission de l'Union africaine, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et le Bureau du Haut-Représentant pour les PMA, les pays en développement sans littoral et les petits États insulaires en développement devraient aider davantage à élaborer et à conclure un accord intergouvernemental portant sur le projet de construction de la route transafricaine. Des indicateurs standards généralement acceptés devraient être mis au point pour contrôler les couloirs commerciaux reliant aux ports de haute mer les pays en développement sans littoral et suivre leurs progrès quant à la logistique et aux pratiques de facilitation du commerce.

Les pays en développement sans littoral ont tout intérêt à faire valoir les liens entre l'aide pour le commerce et la réalisation des priorités du Programme d'Almaty, notamment le développement de l'infrastructure du commerce et des transports et la mise en œuvre des mesures de facilitation du commerce. Pour ce faire, remarque M. Ban Ki-moon, ils devraient mieux maîtriser l'Initiative « Aide pour le commerce » en introduisant celle-ci dans leurs stratégies nationales et régionales de développement.

Les pays donateurs et les organismes internationaux de financement et de soutien au développement sont invités à verser des contributions volontaires au Fonds d'affectation spéciale créé pour faciliter la mise en œuvre des résultats et le suivi de la Conférence ministérielle internationale des pays en développement sans littoral et de transit, des pays donateurs et des organismes internationaux de financement et de développement sur la coopération en matière de transport en transit, qui a eu lieu à Almaty au Kazakhstan, conclut le Secrétaire général dans ce rapport.

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M. ALMAT IGENBAYEV (Kazakhstan) a indiqué que son pays s'est engagé dans la mise en œuvre du Programme d'action d'Almaty, relatif à la situation des pays en développement sans littoral, et adopté en 2003. À ce propos, a-t-il souligné, le Kazakhstan a mis en place des activités ciblées pour le développement de ses activités commerciales et celui de ses infrastructures de transport. Les principales priorités du système de transport du Kazakhstan, a-t-il noté, sont orientées vers l'intégration des systèmes de transport dans le réseau de transit eurasiatique. Prenant en compte sa situation géographique avantageuse, le Kazakhstan, a indiqué M. Igenbayev, voudrait remettre au goût du jour l'usage de l'historique « route de la soie », et servir de transit entre les continents européen et asiatique. Invitant les Nations Unies à attacher une attention particulière à l'Asie centrale, il a rappelé que les pays de cette région regorgent d'énormes potentialités dans les domaines de l'énergie, des transports et du transit.

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Sur www.un.org le 18 octobre 2010
Rapport complet

Appel d'offres - Kazakhstan : projet de réforme de l'administration fiscale (JERP)

Réf. Ubifrance C0900455B

Le projet aura 4 composantes :

-développement des institutions, pour moderniser et restructurer l'administration centrale et les bureaux sur le terrain, retoucher le cadre juridique et réglementaire, former les cadres..., budget : 4,85 millions US$;

-développement opérationnel, avec introduction d'un système automatisé de gestion du risque, l'amélioration des capacités d'identification des risques, le renforcement des capacités d'audit (et notamment des grands comptes) ou de détection de l'évasion fiscale, la modernisation du système d'enregistrement de la TVA...,14,78 millions US$;

-développement de l'infrastructure informatique, pour 27,6 millions US$, avec la conception et la mise en place d'un système intégré de gestion de l'impôt, du stockage des données, d'un centre d'appels, le développement de l'architecture des réseaux données et voix, un système automatisé de gestion du risque...

-mise en oeuvre du projet, avec, pour 4,2 millions US$, la formation des personnels locaux, le recrutement d'un expert en passation des marchés...

Agence exécutrice : Ministère des finances, Tax Committee. Tél.: 00 7172 71 80 02, e-mail : info@mgd.kz.
Date d'approbation : Le 16 février 2010.
Financement : Banque mondiale
Autre financement : locales.
Coût total : 56,7 millions US$
Durée de réalisation prévue : Non précisée

3 appels d'offres internationaux pour la fourniture des équipements informatiques : le système de gestion du risque, estimé à 320 000 US$, les équipement de stockage des données, 900 000 US$ (prévus mi-2010, ils n'ont pas encore été lancés), les équipements du call center, 450 000 US$, début 2011. Ils seront repris sur PROAO.

3 recrutements de consultants internationaux en QCBS, le plus important (550 000 US$) étant pour concevoir les procédures d'audit, en 2012.
Contactez le responsable projet, Munawer Sultan Khwaja, mkhwaja@worldbank.org.

HYPERLINK "http://web.worldbank.org/external/projects/main?pagePK=64283627&piPK=73230&theSitePK=40941&menuPK=228424&Projectid=P116696%22%20%5Ct%20%22_blank" LIEN DIRECT VERS LES DOCUMENTS LIES AU PROJET

Langue : Anglaise
Nombre de pages : 87
Contact UBIFRANCE : Hervé Jevardat
Tél. : 01.40.73.38.63
Fax : 01.40.73.37.67
e-mail : http://herve.jevardat@ubifrance.fr/

Projets internationnaux - Base PROAO Ubifrance