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mercredi 11 mai 2011

Le Kazakhstan 1er producteur mondial d'uranium

La World Nuclear Association (WNA) a publié fin avril une série de chiffres à jour donnant une photographie exacte des producteurs d'uranium dans le monde. La WNA, qui rassemble environ 200 membres liés à la production d'uranium et à celle d'électricité d'origine nucléaire, estime que ceux-ci sont à l'origine de 85% de l'énergie d'origine nucléaire dans le monde. Hors États-Unis, ses membres produisent même 95% de l'électricité d'origine nucléaire dans le monde.

Première information, le Kazakhstan a été le premier producteur mondial d'uranium (33,17%) en 2010. Il conforte même sa place puisque sa production a augmenté de 27% l'année dernière pour atteindre 17 803 tonnes d'uranium (tU). Le pays est devenu numéro un mondial en 2008 en dépassant le Canada. En 2010, les autres grands pays producteurs ont été le Canada (18,23%), l'Australie (10,99%), la Namibie (8,37%), le Niger (7,82%), la Russie (6,63%), l'Ouzbékistan (4,47%), et les Etats-Unis (2,98%). Au niveau des ressources connues, en 2007, l'Australie arrive de loin en tête (22,72%), devant le Kazakhstan (14,93%), la Russie (9,98%), l'Afrique du Sud (7,95%), le Canada (7,73%), et les Etats-Unis (6,25%).

En production d'uranium par compagnie, le numéro un mondial est le canadien Cameco (16,32%), suivi du français Areva (15,50%), du kazakhstanais KazAtomProm (15,12%), de l'anglo-australien Rio Tinto (11,72%), et du russe ARMZ (8,03%). Areva pourrait retrouver son premier rang mondial en 2013 et surtout 2014 avec l'entrée en production (mi-2013) de la mine namibienne de Trekkopje (3 000 tU par an à pleine capacité) et celle (fin 2013) d'Imouraren au Niger (5 000 tU par an à pleine capacité – Areva : 66,65% du capital).

En Namibie, la partie sera plus serrée car des opérateurs australiens (Extract Resources, Bannerman Resources) et canadien (Forsys) ont aussi des projets d'ouverture de mines autour de 2012, tandis que les deux mines qui existent déjà (Rossing, détenue au deux tiers par Rio Tinto, et Langer Heinrich) ont prévu d'accroître leur production. Au total, en 2014, c'est entre 11 400 tU et 12 215 tU qui vont venir s'ajouter à la production actuelle (5 500 tU).

Sur www.lemoci.com le 11 mai 2011

Rapport sur l'accord France/Kazakhstan de coopération militaire

Jean Besson a été rapporteur à la Commission des Affaires étrangères et de la défense de la convention portant sur la coopération militaire entre la France et le Kazakhstan.

Après avoir constitué un ferme soutien de la communauté des États indépendants (CEI), le Président du Kazakhstan, Nursultan Nazarbaïev, tout en maintenant des rapports étroits avec la Russie, a entrepris de diversifier ses appuis. Son pays a ainsi conclu un mémorandum de coopération militaire avec les États-Unis, le 14 février 1994, puis des accords dans ce domaine avec la Grande-Bretagne, en 2000, l'Allemagne, en 2001 et la France, en 2009, pour s'en tenir aux seuls pays occidentaux.

Cette volonté de se différencier de ceux de ses voisins issus, comme lui, de l'empire soviétique, comme le Kirghizistan, l'Ouzbékistan et le Turkménistan, traduit l'aspiration du Président Nazarbaïev à voir son pays considéré comme une puissance en devenir.

Ce dessein politique s'appuie sur la position-clé du Kazakhstan, situé au cœur de l'Asie centrale, avec une imposante superficie de 2,725 millions de km² et de considérables ressources naturelles : uranium (2ème producteur mondial en 2009, après le Canada), zinc, argent et bauxite (10ème producteur mondial), cuivre, fer et phosphates (12ème rang mondial), et des réserves de gaz et de pétrole considérables dont l'ampleur exacte reste à évaluer.

Peuplé de 16 millions d'habitants, le Kazakhstan recherche l'appui de pays émergents et développés pour se doter des cadres indispensables à la gestion de ses immenses ressources.

La France dispose d'atouts spécifiques en ce domaine.

Les forces armées kazakhes comptent un total de 30 000 hommes, dont 20 000 relèvent des forces terrestres, pour l'essentiel déployées dans l'est et le sud du pays.

Les forces navales kazakhes comptent 3 000 hommes en comptant les gardes-côtes. Bien que le littoral kazakhstanais soit plus long que ceux des autres pays riverains de la Caspienne, ces forces n'ont que des moyens limités.

La composante aérienne dispose d'un effectif de 6 000 hommes. Le Kazakhstan dispose d'une aviation de combat équipée de moyens aériens d'origine soviétique ou russe, soit diversifiés et récents (40 Mig 29, 24 SU-27, 28 Mig 31), soit plus anciens (Mig 27 et SU-25).

L'acquisition d'avions américains d'occasion (six C-130 Hercules) est à l'étude, et la création d'une entreprise conjointe avec Eurocopter pourrait déboucher sur l'acquisition de 45 hélicoptères français.

Fortes d'environ 7 000 hommes, les unités de défense antiaérienne sont regroupées autour des centres de décision politiques et économiques, et sont incluses dans la permanence opérationnelle de la défense aérienne intégrée de la CEI. Leur modernisation par des acquisitions de matériel russe (systèmes sol-air S-300PMU-2 et S-400) a été annoncée. Le réseau de défense aérienne, très performant, fait l'objet d'une réflexion pour sa rénovation à partir de 2015. Des sociétés françaises, comme Thales et Sagem, pourraient y participer.

L'établissement des relations diplomatiques entre la France et le Kazakhstan, au lendemain de l'indépendance, en 1992, a ouvert la voie à une relation bilatérale dont la densité s'est récemment renforcée.

Le plus important des textes déjà signés est le partenariat stratégique de 2008. Vous trouverez le texte en annexe de mon rapport.

Outre l'accord en matière de coopération militaire, trois autres textes, ne nécessitant pas de ratification parlementaire, ont été conclus le 6 octobre 2009. Ce sont :

- un accord relatif à la coopération en matière d'armement ;

- un accord relatif au transit de matériel militaire et de personnel par le territoire de la République du Kazakhstan en rapport avec la participation des forces armées françaises aux efforts de stabilisation de l'Afghanistan ;

- un accord relatif aux conditions d'emploi d'un satellite optique de résolution métrique.

Leur entrée en vigueur est conditionnée à la ratification de l'accord en matière de coopération militaire.

Des actions de coopération en ce domaine ont déjà été entreprises par notre pays depuis la création d'un poste d'attaché de défense en 2002, fondées sur l'accompagnement de la réforme et de la modernisation des forces armées.

Articulée autour d'un plan de coopération bilatéral signé annuellement et accompagnée d'activités ponctuelles hors plan, elle porte sur quatre principaux axes :

- formation et spécialisation des élites (IHEDN, École de guerre) et des officiers subalternes (cours des lieutenants et capitaines d'infanterie, transmissions et génie ou stages spécifiques (commando, plongeur démineur, parachutisme) ;

- visites et missions de conseil, visant une rentabilité dans le domaine du soutien à l'exportation ;

- activités à caractère opérationnel, dont les transmissions et le parachutisme, et exercices apportant une plus-value en matière d'entrainement et améliorant la connaissance mutuelle entre armées ;

- soutien à l'exportation avec des visites et exercices et démonstrations impliquant les armées en France et au Kazakhstan.

Le plan de coopération signé le 13 décembre 2010 prévoit une ouverture sur la coopération aéronautique, la poursuite de l'enseignement du français et celle de la coopération dans le domaine des transmissions, des forces spéciales et de la marine.

Les atouts du Kazakhstan suscitent une certaine émulation entre les différents pays sollicités par le Président Nazarbaïev pour coopérer avec son pays.

C'est ainsi qu'outre les pays occidentaux précédemment évoqués, le Kazakhstan aurait conclu des accords de coopération militaire avec la Russie, en 1998, le Kirghizstan, en 2000, l'Azerbaïdjan, en 2004, le Tadjikistan, en 2000, la Biélorussie, en 1999, et l'Ukraine, en 1997.

L'Inde et la Turquie apportent également leur aide en matière de formation des personnels.

L'ensemble de ces éléments a conduit Jean Besson à recommander au sénat d'adopter le présent accord, déjà approuvé par l'Assemblée nationale, et à suggérer que son examen en séance publique se fasse sous forme simplifiée.

Sur www.newspress.fr le 11 mai 2011

Communiqué de presse faisant suite au 4ème Forum économique d'Astana, qui a eu lieu les 3 et 4 mai 2011

ALMATY, Kazakhstan, May 11, 2011 /PRNewswire/ -- Les 3 et 4 mai 2011, le 4ème Forum économique d'Astana a eu lieu au Palais de l'Indépendance, sur la rive gauche de la ville d'Astana. Le forum a été ouvert par le Président de la République du Kazakhstan, Nursultan Nazarbayev.

Les sujets les plus urgents en terme de développement mondial à l'ordre du jour du forum étaient les suivants : perspectives de réforme du système monétaire international, sécurité alimentaire et énergie alternative, communication entre le gouvernement et le secteur privé, développement du tourisme et intégration régionale.

Le Président du Kazakhstan est convaincu que le monde a besoin d'une nouvelle monnaie de réserve.

M. Nursultan Nazarbayev a évoqué le besoin d'actions sans précédent devant être déployées sur le marché des devises. En conséquence, M. Nazarbayev a suggéré l'établissement d'une feuille de route et la proposition des recommandations respectives aux participants au forum, qui seraient présentées lors de leur prochaine réunion du 23 mai 2012.

Le Forum économique d'Astana a rassemblé d'éminents scientifiques, des économistes et des politiciens. Parmi eux figuraient notamment les lauréats du prix Nobel suivants :

Sir James Alexander Mirrlees, Robert Alexander Mundell, John Forbes Nash, Yisrael Robert John Aumann, Finn Erling Kydland et Roger David Kornberg.

Citons également la participation de Taleb Rifai, Secrétaire général de l'Organisation du tourisme mondial des Nations unies ; Jan Kubis, Vice-Secrétaire général de l'ONU, Secrétaire exécutif de la Commission sociale et économique des Nations unies pour l'Asie et le Pacifique ( UNESCAP ) et ancien Secrétaire général de l'OSCE ; Jorge Quiroga, ex-Président de la Bolivie et membre du Club de Madrid ; Jacques Diouf, Directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (<< UNFAO >>) ainsi que Thierry Mariani, le Secrétaire d'État français aux Transports.

Comme le veut la tradition, le forum a été conclu par une Lettre ouverte s'adressant aux dirigeants des états-membres du G20. Cette dernière donne des recommandations en termes de réhabilitation et de développement de l'économie mondiale.

Le 4 mai 2011, dans le cadre du Forum économique d'Astana, un Forum sur l'investissement a également eu lieu, avec la participation de Karim Massimov, le Premier ministre kazakh.

De plus, parallèlement au 4ème Forum économique d'Astana, le 6ème Congrès de l'innovation sur l'intégration des systèmes novateurs nationaux a également eu lieu.

Le 6ème Congrès de l'innovation du Forum économique d'Astana s'est conclu par la signature de plusieurs mémorandums et accords significatifs entre les institutions participantes.

En outre, lors du 4ème Forum économique d'Astana, une déclaration sur l'établissement du CLUB D'ASTANA DES LAURÉATS DU PRIX NOBEL a été faite. Ce dernier comprend 7 lauréats principalement économistes.

Contacts : Melle Bermet Turduniyazova, press@eamedia.org,
Melle Aygerim Argancheyeva : aygerim_a@eamedia.org, +7-727-250-65-04

Publié sur www.boursereflex.com le 11 mai 2011

Ouverture d'une liaison ferroviaire pour le fret entre la ville chinoise de Chongqing et Anvers

Une nouvelle ligne de fret ferroviaire reliant Chongqing, centre économique dans le sud-ouest de la Chine, et le port belge d'Anvers a été récemment mise en service, permettant de raccourcir de moitié la durée du transport de fret entre la Chine et l'Europe, a annoncé mardi Huang Qifan, maire de Chongqing.


Cette ligne ferroviaire de 11 179 km de long et traversant le Kazakhstan, la Russie, la Biélorussie, la Pologne et l'Allemagne, a été utilisée pour la première fois le 19 mars. Le transport de fret ferroviaire entre Chongqing et Anvers prend 16 jours, soit la moitié de la durée du transport maritime, a précisé Huang Qifan.


Le transport ferroviaire est également plus sûr et moins cher que le transport maritime qui domine depuis longtemps le transport de fret entre la Chine et les pays européens.


Cette ligne ferroviaire complète la ligne Eurasian Land Bridge de 10 800 km de long dans le nord et sera principalement utilisée pour assurer les liaisons entre le centre manufacturier du Delta des Perles de Chine et les zones industrielles du sud-ouest du pays d'un côté, et l'Europe de l'autre.

Sur http://french.china.org.cn le 11 mai 2011

Stocks mondiaux de blé en 2011-2012 prévus en légère baisse, hausse en maïs

Les stocks mondiaux de blé à la fin de la campagne 2011-2012 pourraient s'établir à moins de 181,3 millions de tonnes (Mt), en baisse d'environ 1 Mt par rapport à la campagne actuelle, selon le rapport mensuel sur l'offre et la demande mondiales, publié mercredi par le ministère de l'Agriculture américain (USDA). Les stocks de maïs progresseraient, quant à eux, de 7 Mt, à 129,1 Mt.

L'USDA prévoit une production mondiale de blé de 669,6 Mt en 2011, en hausse de 21,4 Mt par rapport à l'an dernier. Les récoltes sont toutefois prévues en baisse aux Etats-Unis, à 55,6 Mt en 2011, contre 60,1 Mt en 2010. Ce recul concernerait notamment le blé d'hiver HRW (hard red winter), dans les Etats touchés par la sécheresse (Colorado, Kansas, Oklahoma,Texas).

Un net rebond de la production est prévu dans les pays de la mer Noire : Russie à 53 Mt en 2011 contre 41,5 Mt en 2010, Ukraine à 19 Mt contre 16,8 Mt, Kazakhstan à 19 Mt contre 9,7 Mt. Elle est également prévue en hausse par rapport à l'an dernier, en Inde, au Maghreb, au Canada et dans l'Union européenne (138,6 Mt prévu pour 2011 contre 135,8 Mt en 2010).

Les échanges mondiaux seraient en hausse de 2 % en 2011-2012 avec des exportations prévues à 127,3 Mt. La concurrence entre l'UE et les pays de la mer Noire sera plus importante, prévoit l'USDA. Le Canada serait également plus présent à l'exportation.

La consommation mondiale de blé serait en croissance de 1 %, à plus de 670 Mt.

Pour le maïs, l'USDA prévoit une production mondiale de près de 868 Mt en 2011-2012, en hausse de plus de 6 % par rapport à la campagne actuelle. La récolte américaine augmenterait de plus de 8 %, à 343 Mt et les stocks aux Etats-Unis progresseraient de plus de 4 Mt, à 22,8 Mt.

Sur www.lafranceagricole.fr le 11 mai 2011

Transition vers une économie verte du Kazakhstan

La Commission du développement durable (CDD), qui a ouvert sa session le 2 mai dernier, a entamé aujourd'hui, son débat ministériel au cours duquel l'accent a été mis sur la manière d'assurer le succès de la transition vers une « économie verte ».
« La coopération internationale est essentielle en la matière », a estimé le Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, M. Sha Zukang. Il a mis le doigt sur le « défi énorme » que représente une telle transition car il s'agit en effet de faire en sorte que « la consommation des ressources mondiales et son impact sur l'environnement restent dans des limites acceptables ».

Lui emboîtant le pas, l'Ambassadeur de la Suisse pour l'environnement a jugé « fondamental » que le Cadre décennal de programmation concernant les modes de consommation et de production durables devienne opérationnel dès la fin de cette session.
Le Président de la Commission et Ministre de l'environnement et des forêts de la Roumanie, a indiqué que « les négociations de cette semaine et demie ont été intenses et caractérisées par une coopération positive et une bonne ambiance ». En dépit de quelques divergences, il a assuré que des solutions « réalistes et ambitieuses » ne sont pas loin, s'agissant notamment de l'apport de ressources aux pays en développement ». Les 10 ans à venir, a insisté le Président, seront critiques pour le développement durable » au vu des catastrophes naturelles qui secouent le monde.
Le Cadre décennal de programmation concernant les modes de consommation et de production durables représente le principal enjeu de cette session, ont déclaré plusieurs ministres, car « il offre l'occasion de créer une vision commune et une action durable dans l'exploitation des ressources naturelles », a affirmé le Ministre de l'environnement de l'Irlande. Son homologue du Mexique a préconisé un Cadre « robuste » en prévision de la Conférence sur le développement durable dite « Rio+20 », qui, selon plusieurs, doit réaffirmer le principe de responsabilité commune mais différenciée.
Depuis sa création au lendemain de la première conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement, en juin 1992 à Rio, la Commission du développement durable (CDD) se réunit annuellement pour en assurer le suivi.
Au chapitre des progrès, le Japon a annoncé la signature aujourd'hui même du Protocole de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation. Le Kazakhstan a fait état du « choix stratégique » de son pays de fermer des centrales nucléaires et d'accorder la priorité à la sûreté nucléaire.
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M. YERLAN NIGMATULLIN, Président de la Commission parlementaire sur l'environnement du Kazakhstan, s'est félicité de l'esprit qui préside aux négociations en cours. Au plan national, il a fait état du choix stratégique de son pays de fermer des centrales nucléaires et d'accorder la priorité à la politique de sûreté nucléaire. Il a rappelé l'appel de son pays pour l'adoption d'une Déclaration universelle en vue d'un monde exempt du nucléaire. Le Plan stratégique national du développement, a-t-il dit ensuite, prévoit au moins 25% de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Il a énuméré une série de mesures visant la sauvegarde de l'environnement et la transition vers une économie verte, assorties d'un échéancier national et local, notamment en ce qui concerne la réadaptation des ressources énergétiques, l'amélioration des ressources renouvelables et le recyclage des déchets. Il a fait état du projet de « Pont vert » à Astana et a appelé la communauté internationale à appuyer cette initiative, à participer à la prochaine Conférence européenne des Ministres de l'environnement et à adhérer au programme d'économie verte.
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Communiqué de l'ONU sur www.un.org du 11 mai 2011