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vendredi 19 novembre 2010

5 billions de tenge pour financer des projets dans le secteur du gaz et du pétrole au Kazakhstan

Astana, le 19 novembre 2010 – Dans le cadre du programme d’Etat du kazakhstan pour développer le secteur du gaz et du pétrole entre 2010 et 2014, plus de 5 mille milliards de tenge (34 milliards de dollars US) seront consacrés au financement de projets d’investissement, a annoncé le Vice Ministre du Pétrole et du Gaz du Kazakhstan aset Magauov, lors d’une conférence du ministère tenue hier 18 novembre à Atyrau.

« 2,7 mille milliards de tenge (18,3 milliards de dollars) seront apportés par des fonds propres des investisseurs, le reste provenant de fonds empruntés. Plus de 100 milliards de tenge (680 millions de dollars) proviendront du budget de l’Etat », a déclaré Monsieur Magauov.

Les principaux projets du programme comprennent une unité pilote de production à kashagan, la construction du grand pipeline gazier Beineu-Shymkent, l’extension du CPC, la construction d’une usine de production d’hydrocarbures aromatiques et une installation de conversion profonde à la raffinerie d’Atyrau. Par ailleurs, des projets sont en route pour lancer une unité de production de bitumes routiers à Aktau, pour construire une usine de gaz chimiques dans le district d’Atyrau et pour moderniser les raffineries de Shymkent et de Pavlodar.

A l’achèvement du programme en 2014, la production pétrolière représentera au moins 85 millions de tonnes par an. Selon le Ministère, elle atteindra probablement 130 millions de tonnes annuelles à l’horizon 2020.

Communiqué de www.kazakhstanlive.com

Poutine veut lancer l'Espace économique commun en 2012

SAINT-PETERSBOURG, 19 novembre - RIA Novosti
Le premier ministre russe Vladimir Poutine s'est dit satisfait du début du fonctionnement de l'Union douanière de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan, vendredi à Saint-Pétersbourg, et a espéré le lancement de l'Espace économique commun (EEC) dès 2012.

Intervenant lors d'une réunion du Conseil interétatique de la Communauté économique eurasiatique (CEEA), M.Poutine a indiqué que l'Union douanière constituait un projet clé au sein de la communauté.

"Son lancement a déjà procuré des bénéfices concrets à certaines entreprises et à des industries entières en accélérant le processus de redressement économique après la crise", a relevé le chef du gouvernement russe.

"Suivant la logique de l'intégration, le prochain objectif consiste à mettre en place un Espace économique commun avec la libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des personnes, avec une politique macroéconomique commune. L'EEC devrait fonctionner à plein régime en 2012 déjà", a souligné le premier ministre.

La Communauté économique eurasiatique regroupe à ce jour la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

La remise du Nobel de la Paix reportée?


Liu Xiaobo

C'est ce qu'a indiqué l'Institut Nobel ce vendredi. Les règles de l'Institut stipulent que le prix doit être remis au bénéficiaire ou à l'un de ses parents proches.

L'attribution du prix du Nobel de la Paix du 10 décembre prochain à Oslo va probablement être reportée, selon le Washington Post. La raison? Le dissident Liu Xiaobo est actuellement en prison et sa famille est empêchée de quitter la Chine pour assister à l'évènement en son nom, ont indiqué l'Institut Nobel et les partisans du dissident.

La cérémonie de la remise des Nobels aura bien lieu le 10 décembre comme prévu. Seule l'attribution de la médaille et du Prix de la Paix, avec un chèque de 1,4 millions de dollars à la clé, pourrait être retardée. En effet, les règles de l'Institut Nobel stipulent que le prix, y compris l'argent, doivent être remis au bénéficiaire ou à l'un de ses parents proches.

Appel au boycott de la Chine

Les proches de Liu Xiaobo espèrent néanmoins obtenir une déclaration de Liu ou de sa femme, Liu Xia, pour en lire des passages lors de la cérémonie. Yang Jianli, un dissident de longue date, maintenant basé à Harvard, a déclaré qu'il est difficile de savoir si cela pourrait être réalisable. Une autre option serait de lire des écrits passés de Liu Xiaobo, a-t-il indiqué.

Jeudi, six pays ont déclaré qu'ils ne seraient pas présents à la cérémonie: la Chine, mais aussi la Russie, Cuba, le Maroc, le Kazakhstan et l'Irak. Cela fait suite à l'injonction de la Chine de boycotter l'évènement. Néanmoins, 36 autres pays devraient assister, ont indiqué les responsables de l'Institut Nobel.

Sur www.lexpress.fr le 19 novembre 2010

Les Etats-Unis félicitent le Kazakhstan pour l'achèvement d'un programme sur les combustibles nucléaires usés

Les Etats-Unis ont annoncé jeudi que le Kazakhstan avait achevé avec succès un programme sur les combustibles nucléaires usés, en le qualifant de contribution importante à la sécurité et la non-prolifération nucléaire globales.

Le Kazakhstan a fermé de façon sécurisée cette semaine son réacteur BN-350 de production de plutonium situé à Aktau (ouest), et environ 100 tonnes de combustibles nucléaires usés ont été collectées et transportées dans une nouvelle installation de stockage située dans l'est du pays, a déclaré le porte-parole du Département d'Etat américain Mark Toner lors d'une conférence de presse.

Qualifiant l'événement d'"historique", M. Toner a indiqué : "Le Kazakhstan sous la direction du président Nursultan Nazarbayev a contribué de manière importante à la sécurité et à la non-prolifération nucléaires globales".

Les Etats-Unis s'étaient joints au programme sur le combustible usé du réacteur BN-350.

Sur http://french.peopledaily.com.cn le 19 novembre 2010
Source: xinhua

Cavalier seul en Asie Centrale

Nicolas Ducret (Diplômé 2006) raconte son aventure extraordinaire à cheval entre le Kazakhstan et l'Afghanistan

Lorsqu'il obtient son diplôme de l'ESC Dijon en 2006, cela fait déjà un an et demi que Nicolas Ducret est en apprentissage chez Deloitte, et c'est tout naturellement qu'il est embauché par le célèbre cabinet d'audit en sortant de l'école. Mais Nicolas a depuis quelques temps une idée en tête : partir en Orient pour une aventure magistrale à travers l'Asie Centrale, qu'il souhaite parcourir à cheval...

Le jeune homme est coutumier du fait : déjà en 2002, juste avant d'intégrer l'ESC Dijon, il a réalisé un tour du monde à vélo en compagnie d'un ami - un périple de 18 000 km et 26 pays. Cette fois, il veut mêler à son nouveau projet sa passion pour le cheval, qu'il monte depuis l'âge de 6 ans, et son intérêt pour les pays de l'Est.

« J'adore la littérature équine, les histoires de cavaliers russes. Lorsque j'étais à l'ESC Dijon, j'ai passé un semestre d'étude à Saint Petersbourg : c'est sans conteste cette opportunité qui a conditionné la suite des événements, puisque j'y ai appris le russe et je me suis spécialisé dans les questions géopolitiques de la Russie et de l'Asie Centrale. »

Il quitte donc son emploi, et en mai 2007, c'est le départ pour le Kazakhstan. Pendant sept mois, Nicolas et ses deux montures traversent 3 300 km de territoires immenses, quasi sauvages, des zones marquées par de nombreuses influences tout au long de l'histoire, passant par le Kirghizstan et le Tadjikistan, jusqu'en Afghanistan.

« En voyage, je revis ! J'aime cet engagement plein dans une aventure, cette impossibilité de reculer quand on est lancé. J'ai rencontré des peuples on ne peut plus accueillants et attachants, des gens parfois étonnés par le drôle de visiteur qu'ils rencontraient, mais toujours très hospitaliers. »

« Mon expérience à l'ESC Dijon m'a été très utile à bien des égards dans mon entreprise. J'étais en option Management de Business Unit, ce qui m'a vraiment donné les clefs pour lancer un projet de A à Z et le mener à bien. En amont, il a fallu trouver des sponsors, prendre des contacts, activer des réseaux. Au retour, il s'est agit de faire la promotion de mon expédition et de vendre le projet de livre que je m'apprêtais à écrire. »

Cavalier des Steppes (Transboréal) paraît ainsi en mars 2010. Au-delà du récit du voyage, l'ouvrage propose un éclairage géopolitique des espaces traversés. Nicolas Ducret a d'ailleurs poursuivi des études de géopolitique à son retour et s'apprête aujourd'hui à mettre en pratique son expertise au sein d'un emploi de négoce de matières premières sur ces zones qu'il connait particulièrement bien. En attendant de repartir pour de nouvelles aventures plus sauvages ?

Retrouvez tout concernant l'expédition de Nicolas Ducret sur www.cavalensteppe.com.

Union douanière: la Russie approuve un accord macroéconomique

MOSCOU, 18 novembre - RIA Novosti

Le gouvernement russe a approuvé jeudi le projet d'accord sur la coordination des politiques macroéconomiques entre la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan, avant de soumettre le document au chef de l'Etat pour signature, rapporte le service de presse du gouvernement.

Selon ce document, à partir de 2013, les pays de l'Union douanière (Russie, Biélorussie et Kazakhstan) discuteront et coordonneront régulièrement les principaux paramètres de leurs politiques macroéconomique et budgétaire.

Pour un développement durable de leurs économies, Moscou, Minsk et Astana s'engagent à faire en sorte que leurs déficits budgétaires ne dépassent pas 3% du produit intérieur brut (PIB), que le volume de leur dette publique ne dépasse pas 50% du PIB et que le taux d'inflation le plus important des trois Etats ne dépasse pas le taux le plus faible de 5%.

Par ailleurs, dans leurs prévisions, ces trois pays entendent concerter les prix du baril de Brent et les cours de leurs monnaies nationales par rapport au dollar et à l'euro.

"En cas de circonstances exceptionnelles, les parties peuvent assouplir de façon concertée les indicateurs macroéconomiques déterminant la stabilité du développement économique", lit-on dans le projet.

Le philosophe Ahmadinejad et les pragmatistes du Kremlin

Par Dmitri Babitch, RIA Novosti, le 19 novembre 2010

Le statut de la mer Caspienne discuté au sommet actuel des Etats caspiens à Bakou est l'un des problèmes les plus complexes du XXIe siècle, directement lié à l'avenir économique de la Russie. De plus, la rencontre entre les présidents de Russie et d'Iran dans la capitale de l'Azerbaïdjan devrait permettre de clarifier les relations entre la Russie et l'Iran qui sont actuellement confuses. L'interruption des contacts entre Moscou et Téhéran a été provoquée par le refus de la Russie de fournir à l'Iran des missiles antiaériens S-300, après que l'Iran eut refusé de coopérer avec les organisations internationales, chargées de vérifier le caractère pacifique de son programme nucléaire.

L'incertitude du statut de la mer Caspienne est le principal obstacle au projet soutenu par l'Occident de gazoduc Nabucco, destiné à acheminer le gaz en provenance du Turkménistan et d'autres pays asiatiques en Europe, en contournant le territoire russe. Cette incertitude est due à la position de l'Iran qui a méthodiquement bloqué les projets précédents de partage de la mer Caspienne. Au final, le statut de la mer Caspienne est toujours réglementé par les accords irano-soviétiques de 1921 et de 1940. Les pays de la région sont conscients de la nécessité de leur révision depuis 1991-1992, lorsque quatre nouveaux '' utilisateurs '' de la mer Caspienne indépendants sont apparus après l'effondrement de l'URSS : la Russie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan et le Turkménistan.

Il s'avère que la position de l'Iran est à la fois profitable et préjudiciable à la Russie : d'une part, jusque-là l'Iran exigeait une part disproportionnée de la mer Caspienne, d'autre part, l'inflexibilité de l'Iran empêche la construction du pipeline '' transcaspien '' tant voulu par les Etats-Unis (dans le cadre du projet Nabucco), qui acheminerait le pétrole en provenance d'Asie centrale en Europe, en contournant la Russie.

Au cours des derniers jours, la Russie a reçu des signaux contradictoires des autorités iraniennes. Les membres du parlement iranien menaçaient de déposer une plainte contre la Russie pour la non-fourniture à l'Iran des missiles S-300 promis. D'autre part, ils tentaient de réduire la gravité de cet échec en parlant de la création de leur propre version du S-300, en se servant des S-200 déjà fournis.

Dans l'ensemble, le comportement de Téhéran pourrait s'expliquer de la manière suivante. L'Iran est désappointé par l'adhésion de la Russie aux sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU, et les autorités iraniennes voudraient certainement '' remettre la Russie à sa place '' et l'accuser de '' trahison '', comme a déjà tenté de le faire en septembre le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Mais dans les conditions de l'isolement international presque complet, alors que l'Iran est frappé par les sanctions économiques de l'ONU, les insultes à l'égard de la Russie sont un luxe que Téhéran ne peut se permettre. Qui seront ses partenaires dans l'arène internationale? Le mouvement Hezbollah au Liban, incapable de remporter les élections parlementaires dans un pays aussi petit? Les groupuscules chiites en Irak, dont il est exclu qu'il puisse devenir un allié, étant donné qu'il a été en conflit pendant de nombreuses années avec l'Iran il n'y pas si longtemps? C'est peu pour une grande puissance, comme se proclame l'Iran. Ainsi, l'Iran est contraint de faire bonne impression en public en tentant de convaincre les observateurs indépendants qu'il a suffisamment de temps et de forces en réserve, qu'il a de nombreux alliés dans la région, et que tout n'est pas perdu avec la Russie.

A Bakou, ainsi qu'avant la venue dans la capitale azerbaïdjanaise, M.Ahmadinejad a déjà fait plusieurs déclarations concernant les thèmes ci-dessus avec la tournure philosophique qui lui est propre. En s'adressant à la population perse de l'Azerbaïdjan, il a déclaré que le courage et l'esprit combatif était la véritable bombe nucléaire de l'Iran. Avant la visite, en critiquant la décision de '' certains pays '' (c'est-à-dire de la Russie) de ne pas lui fournir les missiles, Mahmoud Ahmadinejad parlait déjà de cette '' bombe spirituelle '', qui décimerait les ennemis non désignés '' directement dans leurs palais. '' En ce qui concerne la participation de l'Azerbaïdjan au projet Nabucco, le président iranien s'est limité à déclarer que l'Europe avait plus besoin du gaz iranien que l'Iran des marchés européens, et que pour cette raison l'Iran n'était pas pressé.

Toutes ces déclarations, qui rappellent la rhétorique d'antan de Jirinovsky, au sujet de son ''arme supersonique'' et du ''fonds pétrolier'' ont peu de chance d'impressionner les pragmatistes du Kremlin. La création d'une véritable zone de coopération en mer Caspienne sera le seul sujet de discussion sérieuse à Bakou.

Il existe déjà certaines prémisses pour cette zone. Au cours des dernières années, les relations entre l'Iran et l'Azerbaïdjan, auparavant complexes, s'amélioraient. Toutefois, le litige entre le Turkménistan et l'Azerbaïdjan concernant le partage de certains gisements en mer Caspienne n'a toujours pas été réglé. Mais il a été décidé que les navires devaient naviguer en mer Caspienne sous les pavillons des Etats riverains. D'autres mesures ont également été mises en œuvre afin d'empêcher les ''étrangers'' de pénétrer dans la région. Quant au projet de pipeline transcaspien, certainement élaboré dans des pays fort éloignés de la mer Caspienne, ses perspectives paraissent improbables : un pays clé, tel que le Kazakhstan, a déjà reconnu que ce projet était sans avenir. Dans ces conditions, il est temps d'oublier la non-fourniture des missiles S-300 en Iran. D'autant plus qu'Ahmadinejad, selon ses propres mots, a un substitut en tout point identique à l'original.

Ce texte n'engage pas la responsabilité de RIA Novosti

Moscou, Astana et Minsk signent un accord sur la politique macroéconomique commune

SAINT-PETERSBOURG, 19 novembre - RIA Novosti

La Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan ont signé vendredi à Saint-Pétersbourg un accord de politique macroéconomique commune au sein de leur Union douanière.

Moscou, Minsk et Astana s'engagent à maintenir les déficits budgétaires nationaux à moins de 3% du PIB, la dette publique à moins de 50% du PIB à partir de 2013, en vertu l'accord signé par les premiers ministres des trois pays.

Les membres de l'Union douanière ont également signé un accord sur des principes et des règles uniques en matière de concurrence, de coopération dans la lutte contre les migrations clandestines, et concernant le statut juridique des travailleurs migrants et de leurs familles. Ils ont en outre conclu un accord sur l'accès aux services des monopoles naturels dans le secteur énergétique, sur la formation des prix et la politique tarifaire dans ce domaine.

Les documents signés vendredi à Saint-Pétersbourg permettent de former l'Espace économique unique russo-biélorusso-kazakh.

L'Union douanière réunissant la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan a été lancée le 6 juillet dernier avec l'entrée en vigueur d'un Code douanier unique sur le territoire de ces pays. A partir du 1er juillet 2011, il est prévu de déplacer tout le contrôle douanier aux frontières extérieures de l'Union. Le 1er janvier 2012, les trois pays doivent former un espace économique unique caractérisé par des règles communes régissant l'activité de leurs milieux d'affaires.