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mercredi 10 novembre 2010

Les Indo-Européens, une conférence de Jean Cévaër

Samedi 13 novembre, à 18 h 30, l'association Eclat propose une conférence sur les Indo-Européens, à l'hôtel Ibis de Pornichet. Jean Cévaër, vice-président de l'Institut Culturel de Bretagne, évoquera l'histoire des Indo-Européens.

Il y a peut-être sept millénaires, des populations se sont regroupées au mésolithique dans les steppes, aujourd'hui le Kazakhstan. Puis, elles se sont dispersées dans trois directions principales : l'Est, le Sud et l'Ouest. Leur progression vers l'Est semble avoir été limitée. Les migrations vers le sud ont donné naissance à de grands empires, de la vallée de l'Indus à la Mésopotamie, avec la dénomination globale d'Aryens, donnée à plusieurs de ces peuples. Vers l'Ouest, dans l'Europe actuelle où ils seraient arrivés il y a six mille ans, les Indo-Européens sont donnés comme les ancêtres de la majorité des peuples européens connus aujourd'hui.

Les Celtes, qui ont constitué la pointe avancée des migrations indo-européennes se sont finalement arrêtés aux rivages de l'océan où subsistent aujourd'hui les dernières populations celtiques. Bretons, Irlandais, Cambriens, Gaéliques d'Écosse et quelques autres, représentent sans doute les derniers vestiges explicites de la conquête de notre continent par les Indo-Européens.

Face à tant d'hypothèses évoquées, il y aura beaucoup de questions à poser à Jean Cévaër.

Entrée 5 euros, gratuite pour les adhérents.

Le 10 novembre 2010 sur www.pornichet-infos.fr

ONU : Le Kazakhstan, élu membre de la nouvelle entité "ONU - Femmes"

Conseil économique et social
Reprise de la session de fond de 2010
50e séance – matin

Le Conseil économique et social (ECOSOC) a élu ce matin les 41 membres du Conseil d'administration de la toute nouvelle entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation de la femme, « ONU-Femmes ».

Ont été élus pour un mandat de deux ans les 17 pays suivants: Argentine, Bangladesh, Brésil, Côte d'Ivoire, El Salvador, Estonie, Fédération de Russie, France, Inde, Italie, Jamahiriya arabe libyenne, Malaisie, Lesotho, Pakistan, République-Unie de Tanzanie, République démocratique du Congo (RDC) et Timor-Leste.

Ont été élus pour un mandat de trois ans les 24 pays dont les noms suivent: Angola, Arabie saoudite, Cap-Vert, Chine, Congo, Danemark, Espagne, États-Unis, Éthiopie, Grenade, Hongrie, Indonésie, Japon, Kazakhstan, Luxembourg, Mexique, Nigéria, Norvège, Pérou, République dominicaine, République de Corée, Ukraine, Suède et Royaume-Uni.

Le mandat des 41 membres élus du Conseil d'administration d'ONU-Femmes prend effet à la date de leur élection et s'achèvera le 31 décembre de l'année au cours de laquelle ce mandat arrivera à expiration.

Le 2 juillet 2010, l'Assemblée générale des Nations Unies avait voté à l'unanimité la création d'« ONU-Femmes », afin d'accélérer les progrès dans les politiques et actions lancées en réponse aux besoins des femmes et des filles à travers le monde. Cette décision s'inscrivait aussi dans le cadre de l'agenda de la réforme de l'ONU, qui vise à regrouper les ressources et les mandats des différentes agences pour en accentuer l'impact.

Les modalités de l'élection des membres du Conseil d'administration d'ONU-Femmes avaient été décidées par le Conseil économique et social le 25 octobre dernier (ECOSOC/6451). Les sièges sont répartis entre les cinq grands groupes régionaux auxquels appartiennent les États Membres, tandis qu'une sixième catégorie regroupe les pays bailleurs de fonds.

Dans la mesure où le nombre de candidats était égal à celui des sièges à pourvoir, les 10 pays suivants ont été élus par acclamation, au nom du Groupe des États d'Afrique qui était parvenu à un consensus sur les candidatures à présenter: Angola, Cap-Vert, Congo, Éthiopie, Lesotho, Jamahiriya arabe libyenne, Nigéria, République démocratique du Congo (RDC) et République-Unie de Tanzanie.

Il en a été de même pour le Groupe des États d'Europe occidentale et autres États, où le nombre de pays dont les candidatures étaient soumises à l'ECOSOC correspondait à celui des sièges à pourvoir: Danemark, France, Italie, Luxembourg, Suède.

C'est également par acclamation que les six pays contributeurs de fonds qui siégeront au Conseil d'administration ont été élus. Il s'agit de l'Espagne, des États-Unis, de la Norvège et du Royaume-Uni qui ont été désignés pour pourvoir les quatre sièges attribués aux pays choisis parmi les 10 principaux donateurs d'ONU-Femmes; et de l'Arabie saoudite et du Mexique, élus pour occuper les sièges réservés à deux pays en développement non-membres du Comité d'aide au développement de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), et qui fournissent des contributions de base volontaires à ONU-Femmes*.

Il a fallu en revanche procéder à une élection à bulletins secrets pour départager les candidats des Groupes des États d'Asie, des États d'Europe orientale, et des États d'Amérique latine et des Caraïbes, qui étaient plus nombreux que le nombre de sièges à pourvoir.


Résultats du vote

Pays

Voix obtenues
(54 votants, le nombre de pays membres de l'ECOSOC)

États d'Asie(54 bulletins valides, majorité requise 28)

Bangladesh

54

Chine

53

Indonésie

53

Japon

53

République de Corée

53

Inde

52

Kazakhstan

52

Malaisie

52

Pakistan

50

Timor-Leste

36

République islamique d'Iran

19


États d'Europe orientale(53 bulletins valides, majorité requise 27)

Fédération de Russie

46

Ukraine

43

Estonie

42

Hongrie

38


Albanie

35

États d'Amérique latine et des Caraïbes(54 bulletins valides, majorité requise 28)

Brésil

48

Argentine

47

Pérou

47

République dominicaine

44

El Salvador

40

Grenade

39


Saint-Vincent-et-les Grenadines

38


Parallèlement à cette élection, le Conseil économique et social a choisi comme thème du débat thématique du segment de haut niveau de sa session de fond de 2011, la question intitulée: « Les tendances et défis actuels aux niveaux mondial et national et leur impact sur l'éducation ».

Enfin, l'ECOSOC a recommandé** à l'Assemblée générale de se prononcer sur la question de l'augmentation du nombre des membres du Comité exécutif du Programme du Haut-Commissaire pour les réfugiés, dont la composition passerait de 84 à 85 États.

Cette demande émanait de la délégation de la République du Congo, dont le représentant a expliqué que l'adhésion de son pays au Comité exécutif s'avère utile dans la recherche de solutions adéquates, globales et durables relatives aux personnes réfugiées, déplacées internes ou apatrides dans la région des Grands Lacs en général et en République du Congo en particulier.

La prochaine séance plénière de l'ECOSOC sera annoncée dans le Journal des Nations Unies.

* La répartition des sièges entre pays contributeurs a été décidée par l'Assemblée générale dans sa résolution A/RES/64/289
** E/2010/L.41

Caspienne: une organisation économique doit voir le jour

MOSCOU, 10 novembre - RIA Novosti

Seule la coordination des pays limitrophes de la mer Caspienne (Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Russie, Turkménistan) au sein d'une organisation de coopération économique est capable de contribuer à son développement, estiment les experts internationaux réunis mercredi à Moscou lors d'un forum consacré aux problèmes de la région.

"La majorités des problèmes de la région caspienne peuvent être résolus au format à cinq, ce qui nécessite l'existence de certaines structures, par exemple de l'Organisation de la coopération économique de la Caspienne (OCEC). C'est le seul projet discuté à présent", a annoncé Sergueï Mikheïev, le directeur de l'Institut de coopération caspienne. La création de cette organisation permettra aux pays riverains de mettre au point un mécanisme efficace de prévention des incidents militaires et de lutte contre le terrorisme, la drogue et la prolifération des armes, estiment les experts.

Autrefois, le statut de la mer Caspienne était réglé par deux accords de 1921 et 1940 entre l'Union soviétique et l'Iran. Les négociations sur la détermination de son nouveau statut juridique se poursuivent actuellement. L'Azerbaïdjan, le Kazakhstan et le Turkménistan insistent sur le partage de la Caspienne selon la ligne médiane, alors que l'Iran propose que la mer soit répartie en cinq parts égales entre les pays riverains, soit 20% pour chaque Etat.

Par ailleurs, les pays de cette région extrêmement riche en pétrole et en gaz n'arrivent pas à s'entendre sur les coordonnées de la ligne médiane divisant le fond de la mer Caspienne en secteurs nationaux.

Nursultan Nazarbayev ravi des avancements en matière de règlement du conflit de Haut-Karabakh

Bakou. Latchine Sultanova – APA. Pendant sa présidence à l'OSCE, le Kazakhstan a fait des efforts en matière de règlement des conflits au Caucase du Sud et à Transnistrie, a indiqué le président kazakh Nursultan Nazarbayev, dans son entretien à Euronews.
M.Nazarbayev s'est déclaré ravis de noter les avancements en matière de règlement du conflit de Haut-Karabakh dans le cadre du Groupe de Minsk de l'OSCE : « les experts ont visité le Haut-Karabakh en octobre pour comprendre la situation humanitaire sur place, pour la première fois depuis 5 ans » a-t-il indiqué. Le Président de la République du Kazakhstan a salué la déclaration commune de ses homologues azerbaïdjanais, russe et arménien à Astrakhan, sur l'échange des prisonniers militaires et des dépouilles.

Les efforts du Kazakhstan sont orientés vers l'établissment de la confiance entre les parties en litige, afin d'aider les gens qui souffrent du conflit, toujours selon M.Nazarbayev.
Sur http://fr.apa.az le 10 novembre 2010

Jia Qinglin en visite au Kazakhstan

Jia Qingling, président du Comité national de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), China's top political adviser, Jia Qinglin, a entamé une visite officielle de trois jours au Kazakhstan. A son arrivée à Astana, capitale kazakh, M. Jia a été acceuilli par le président de la chambre basse du parlement kazakh.

M. Jia a salué le développement sain et rapide des relations entre la Chine le Kazakhstan, qui sont marquées par la confiance politique mutuelle et le soutien mutuel sur des problèmes concernant les intérêts fondamentaux des deux pays. Il a proposé que les deux parties à renforcer la coopération économique et les contacts entre peuples. Il a aussi insisté sur la nécessité de consolider la coopération sécuritaire entre les deux pays au sein de l'Organisation de coopération de Shanghai (SCO) et dans la lutte contre le terrorisme, le séparatisme et l'extrémisme.

Sur http://french.cri.cn le 10 novembre 2010