Vous êtes à la recherche de personnels pour des postes au Kazakhstan?

Eurokaz peut vous aider en publiant votre annonce sur le site de son portail
Eurokaz News, section "
Offre d'emploi"

jeudi 4 novembre 2010

Le Kazakhstan, leader mondial d'amélioration du climat des affaires (BM)

ALMATY, 4 novembre - RIA Novosti
Le Kazakhstan a fait le plus de progrès au monde pour améliorer le climat des affaires, selon le rapport "Doing Business 2011: agir pour les entrepreneurs" rédigé par la Banque mondiale (BM) et la Société financière internationale (SFI).

Le Kazakhstan a amélioré ses lois réglementant la création des entreprises, l'obtention des permis de construction, la protection des droits et des intérêts des investisseurs et les échanges commerciaux internationaux. Ces efforts permettent au Kazakhstan de progresser de 15 places au classement des 183 pays les plus propices aux activités commerciales, pour se retrouver au 59e rang.

Le Singapour est leader du classement depuis cinq ans. Viennent ensuite Hong Kong, la Nouvelle Zélande, le Royaume Uni et les Etats-Unis. En général, les pays à revenu élevé et membres de l'Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) offrent les meilleures conditions pour les entrepreneurs. Les pays d'Afrique situés au sud du Sahara et ceux d'Asie du Sud facilitent le moins la pratique des affaires.

Le rapport Doing Business analyse les normes qui s'appliquent aux entreprises d'un pays au cours de leur cycle de vie, notamment leur phase de démarrage et exploitation, leurs échanges commerciaux transfrontaliers, le paiement de leurs impôts et taxes et leur fermeture. Toutefois, il ne tient pas compte de certains aspects importants du climat des affaires importants. Il ne mesure pas la sécurité, la stabilité macroéconomique, le niveau de corruption, la solidité des systèmes financiers ni le niveau de compétences de la main-d'œuvre.

Sarkozy va-t-il encore annoncer des contrats fictifs avec les chinois ?

Dans un grand élan d'humilité, Nicolas Sarkozy en début d'année s'enthousiasmait : "Depuis 2007, la France a signé chaque année deux fois plus de grands contrats à l'export que durant les dix années précédentes. Deux fois plus !"

Or, le seul constat que l'on peut faire c'est qu'il est le président des contrats fictifs : Libye, Brésil, Kazakhstan, et dernièrement Russie. Souvenez-vous, à plusieurs reprises, Nicolas Sarkozy nous a annoncé comme acquis des contrats qui n'étaient en fait que de simples accords de principe pouvant facilement être remis en cause. Or, malgré ces annonces faites en grand pompe, certains contrats n'ont toujours pas été signés. Faut-il se dire que l'annonce du contrat est plus importante que le contrat lui-même ?

L'exemple libyen est le plus emblématique. Petit retour en arrière, décembre 2007, Mouammar Kadhafi, le dirigeant libyen, est reçu avec tous les honneurs par Nicolas Sarkozy. Cela suscite la colère des militants des Droits de l'homme, et le tacle de Rama Yade. Le président dégaine alors l'argument économique pour justifier les fastes de la réception.

Un chiffre de 10 milliards de contrat est annoncé. Une partie de la presse salue et s'extasie devant ce chiffre astronomique, notamment le JDD et Le Figaro. Par contre Libération s'interrogent sur la réalité de ces contrats soi-disant signés. Le contrat le plus emblématique est celui de la vente de 14 avions Rafale. Or le contrat de vente de ces ces avions à la Libye n'a toujours pas été signé aujourd'hui.

Même chose en juin 2008, Sarkozy s'était fendu d'un communiqué triomphant pour annoncer l'ouverture de négociations avec les Emirats Arabes Unis pour la vente d'avions Rafale. En 2009 rien n'aboutit. Le ministre de la Défense, Hervé Morin indique alors le 15 juin 2010 que les négociations étaient "en cours de finalisation". A près de cinq mois après, on attend toujours...

Rebelote, en septembre 2009, Nicolas Sarkozy en visite officielle au Brésil, fait une annonce choc : la signature d'un "contrat historique" de 36 Rafale (soit 5 milliards d'euros). A écouter le président il ne restait plus qu'à rédiger en détail les contrats. Six mois plus tard pourtant, France Info commence à s'inquiéter. On ne voit toujours rien de signé. Mais, au cours d'une conférence de presse en avril dernier, Sarkozy se dit "confiant" : "les choses progressent" a-t-il déclaré. Hélas trois mois plus tard, en juillet 2010, Les Echos ne peuvent que constater le gel des négociations : "tout semble suspendu aux élections présidentielles du 3 octobre".

En octobre 2009, c'est à dire un mois après son voyage au Brésil censé s'être conclu par la vente de 36 Rafale, Nicolas Sarkozy effectue un voyage officiel au Kazakhstan. A l'issue de ce voyage, La Tribune évoque "de gros contrats signés" pour Total, GDF Suez, EDF, Areva.
Parmi ces contrats, il y a la construction d'un oléoduc, concernant celui-ci Sarkozy ne donne pas de chiffres mais avance celui du montant du contrat : deux milliards d'euros. Pourtant, là encore, la France n'a pas signé de contrat pour cet oléoduc mais un simple protocole d'accord ouvrant des "négociations exclusives" pendant un an avec le Kazakhstan.

Parlons maintenant de la vente des navires Mistral à la Russie. Une vente que Sarkozy avait pourtant présentée comme acquise aux ouvriers des chantiers de Saint-Nazaire. Or, comme à son habitude Nicolas Sarkozy a parlé trop vite. Car le vendredi 20 août, un fâcheux revirement de situation est intervenu. La Russie a annoncé qu'elle lançait en fait un appel d'offres international pour deux navires de guerre de cette classe. Cette décision met ainsi fin aux négociations exclusives avec la .

Que faut-il penser alors des annonces faites dans la presse, concernant les nombreuses signatures de contrats commerciaux prévues avec le président chinois Hu Jintao, qui effectue de jeudi à samedi sa deuxième visite d'État en France, après celle de janvier 2004.
Selon Le Parisien, aujourd'hui à 17 heures, le premier entretien entre Nicolas Sarkozy et Hu Jintao, à l'Élysée sera suivi d'une cérémonie de signature de contrats, notamment dans l'aéronautique (Airbus) et le nucléaire civil (Areva).

Va-t-on encore vers des désillusions ? On est tellement échaudé par toutes ces annonces tonitruantes faites par Nicolas Sarkozy sur ces mirobolants contrats commerciaux qui devaient relancer notre économie, et qui n'ont jamais été concrétisés...

En conclusion on peut dire que sans nul doute notre Président détient le record des annonces de contrats... non signés.
Sur www.lepost.fr le 4 novembre 2010

USA/corruption: amendes de 236 M USD pour 7 sociétés dont Shell, Transocean

NEW YORK - Les autorités américaines ont annoncé jeudi que sept sociétés du secteur pétrolier et logistique avaient accepté de payer un total d'environ 236 millions de dollars pour solder des poursuites au civil et au pénal liées à des accusations de corruption à la douane de pays tiers.

Le plus durement touché est le transporteur suisse Panalpina, qui va s'acquitter d'une amende pénale de 70,56 millions de dollars infligée par le ministère de la Justice, et verser plus de 11 millions de dollars pour solder des poursuites au civil des autorités boursières (SEC).

"Panalpina est accusé d'avoir versé des pots-de-vins à des agents des douanes dans le monde entre 2002 et 2007, au nom de ses clients", a indiqué la SEC dans un communiqué.

Ces faits de corruption se seraient produits "dans au moins sept pays" pour y faciliter l'importation de certains produits, a précisé le ministère de la Justice, citant le Nigeria, l'Angola, le Brésil, la Russie, le Kazakhstan, l'Azerbaïdjan et le Turkménistan.

Le 4 novembre 2010 sur www.romandie.com