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mardi 12 octobre 2010

La France chute derrière le Kazakhstan dans l'égalité hommes/femmes

La France a dégringolé à la 46e place du classement mondial établi par le World economic forum des pays ayant la plus grande égalité entre les hommes et les femmes dans une étude publiée mardi. Le revenu moyen des Françaises correspond à 64 % de celui de leurs compatriotes mâles
C'est la honte. La France est juste derrière la Russie, mais aussi le Kazakhstan, les Philippines, l'Espagne, le Sri Lanka, la Lettonie, les Etats-Unis, le Mozambique, la Mongolie... On ne peut pas citer ici tous les pays offrant une plus grande égalité entre les hommes et les femmes que l'Hexagone puisqu'il y en a 45 selon le classement établi par le World economic forum... La France dégringole en effet de la 18ème place l'année dernière pour revenir quasiment à son score de 2007. Une trajectoire d'autant plus préoccupante que sept pays européens figurent, eux, parmi les dix pays les mieux notés.

Etabli par des chercheurs américains pour le compte de l'organisation basée à Genève, le rapport se fonde sur quatre critères : l'éducation, la santé, l'insertion dans la vie économique et dans la vie politique. Ce sont les deux dernières catégories qui posent problème.

En effet, la chute de la France s'explique s'abord par la baisse du nombre de femmes ayant occupé des postes ministériels au cours des 12 derniers mois. "En 2008 et 2009, au début du gouvernement Sarkozy, il y a eu une augmentation très médiatisée du nombre de femmes ministres, explique le rapport. Mais au cours des 12 derniers mois, deux de ces femmes sont parties alors même que le gouvernement s'est élargi, d'où la chute en proportion de la part féminine". Une tendance que ne suffit pas à contrebalancer la très légère progression du nombre de femmes au Parlement.

Gros écarts de salaires

Dans le monde de l'entreprise, ce n'est guère plus réjouissant. La France tombe à la 60e place pour la participation à la vie économique et les "opportunités" offertes aux femmes. Elle est même quasiment en fin de classement en terme d'égalité de salaires puisqu'elle se place en 127ème position sur 134... En effet, le revenu moyen des Françaises correspond à 64 % de celui de leurs compatriotes mâles. De plus, les Françaises sont encore largement sous représentées parmi les hauts cadres. L'Assemblée nationale a déjà voté une loi à ce sujet, mais le Sénat a reporté l'examen d'un texte dans ce sens en vue d'un futur examen conjoint avec les députés. Dans l'attente de l'adoption d'une loi, le Medef et l'Association française des entreprises privées ont recommandé en avril aux entreprises cotées d'atteindre un pourcentage d'au moins 20% de femmes dans leurs conseils d'administration dans un délai de trois ans et d'au moins 40% dans un délai de six ans. En 2010 environ 15% de femmes siègent aux Conseils d'administration des sociétés du CAC 40.

Heureusement, en matière de différence d'accès à la santé et à l'éducation entre hommes et femmes, les Françaises n'ont pas de quoi se plaindre: l'Hexagone est au premier rang mondial - à égalité avec beaucoup d'autres pays - sur ces deux critères.

Les pays nordiques en tête

Les Etats-Unis sont mieux placés que la France, gagnant pour leur part 12 places. Ils passent ainsi de la 31ème place en 2009 à la 19ème cette année. On notera aussi la présence du Lesotho à la 8ème place. Mais les champions sont sans surprise les pays nordiques, qui "restent un modèle dans l'élimination des inégalités entre les sexes", a souligné dans un communiqué le fondateur du Wef, Klaus Schwab, estimant que "les faibles écarts entre hommes et femmes sont directement corrélés avec une forte compétitivité économique" dans ces pays.

L'Islande, la Norvège, la Finlande et la Suède se partagent ainsi la tête du classement annuel de l'organisation sur les inégalités entre les sexes qui a passé en revue la situation dans 134 pays. Le rapport étudie plus particulièrement la manière dont ces pays répartissent leurs ressources et opportunités entre hommes et femmes.

Par Laura Raim sur www.lexpansion.com le 12 octobre 2010

Les nouveaux pays émergents stars de la croissance

Après avoir essuyé une violente crise, le commerce mondial repart doucement grâce au dynamisme des pays émergents, aujourd'hui les principaux relais de croissance. Mais derrière le quatuor habituel des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine), d'autres pays font leur entrée sur la scène du commerce mondial et constituent désormais de sérieuses opportunités pour les investisseurs et les exportateurs. Une récente étude de la banque HSBC jette un coup de projecteur sur les stars montantes du monde émergent.

« L'Afrique, par son manque d'intégration dans le système financier mondial, a été relativement épargnée par la crise financière », notent les analystes d'HSBC qui misent sur l'actuel essor de trois pays, à commencer par l'Afrique du Sud. Ce pays bénéficie de confortables revenus miniers et la Coupe du monde 2010 lui a permis de développer ses infrastructures. Le Ghana et l'Ethiopie ont également les faveurs de cette étude qui souligne la place grandissante dans ces deux pays d'une génération d'entrepreneurs jeunes et connectés au reste du monde.

En Asie, c'est le Vietnam qui retient l'attention. En particulier son secteur du textile et des chaussures qui fait de plus en plus concurrence à la Chine et à la Turquie. En outre, selon les analystes d'HSBC, les pays d'Europe de l'Est et de la CEI, qui ont des relations de longue date avec le pays, sont appelés à y développer fortement le secteur des machines-outils et des équipements miniers.

Enfin, un autre pays asiatique affiche des perspectives prometteuses : le Kazakhstan. Entre janvier et avril 2010, son commerce a augmenté en volume de 23,36 %, soit trois fois plus que celui de l'Union européenne. Amélioration des infrastructures, expansion des réseaux de distribution, accélération de la demande en biens de consommation… Ce pays d'Asie centrale devrait multiplier ses opportunités d'affaires d'ici cinq à dix ans.

Sophie Creusillet sur www.lemoci.com le 12 octobre 2010

L'Afghanistan a produit 7.000 tonnes d'opium en 2009

ASTRAKHAN, 12 octobre - RIA Novosti

Environ 7.000 tonnes d'opium ont été produites l'année dernière dans les laboratoires afghans, ce qui représente environ 90% de la production mondiale, a annoncé mardi à Astrakhan (Volga) le détecteur du Service russe de contrôle de stupéfiants (FSKN), Viktor Ivanov.

"Pour les cinq pays riverains de la mer Caspienne (Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Russie et Turkménistan, ndlr), la production excessive d'opium en Afghanistan est un grave facteur d'instabilité dans la région", a-t-il déclaré lors d'une réunion consacrée à la lutte contre le trafic de drogue dans la région.

En outre, les laboratoires afghans ont produit l'année passée un volume record de haschisch - environ 3.500 tonnes, a ajouté le responsable russe.

Selon M.Ivanov, seule la consolidation des efforts des organismes régionaux est capable de battre en brèche la menace grandissante liée aux stupéfiants. Plus tôt dans la journée le directeur du FSKN avait proposé de créer un groupe des Cinq (pays caspiens, ndlr) pour la lutte anti-drogue. Il est temps de passer de l'idéologie visant à mettre en place un "cordon" antidrogue autour de l'Afghanistan à celle qui met l'accent sur les régions dépourvues de transit de stupéfiants, a conclu le responsable.

Bakou accueillera le sommet de la Caspienne en novembre

BAKOU, 12 octobre - RIA Novosti

Le sommet des chefs d'Etat des pays riverains de la mer Caspienne (Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Russie, Turkménistan) se tiendra le 18 novembre à Bakou, a déclaré mardi le vice-ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères Khalaf Khalafov. Selon lui, une réunion des vice-ministres des Affaires étrangères des Etats caspiens se déroulera à Téhéran la veille du sommet.

Le thème principal du sommet de Bakou sera l'étude de la Convention sur la détermination du statut juridique de la mer Caspienne sera au menu du sommet de Bakou. Le statut de la mer Caspienne a été réglé par deux accords de 1921 et 1940 entre l'Union soviétique et l'Iran. Les négociations sur la détermination du nouveau statut juridique se poursuivent actuellement.

Les pays riverains de la mer Caspienne (Azerbaïdjan, Iran, Kazakhstan, Russie, Turkménistan), l'une des régions du monde les plus riches en pétrole et en gaz, n'arrivent pas à s'entendre sur les coordonnées de la ligne médiane divisant le fond de la mer Caspienne en secteurs nationaux.

L'Azerbaïdjan, le Kazakhstan et le Turkménistan ont signé des accords bilatéraux qui régissent la délimitation de la partie Nord de la mer Caspienne et insistent sur le partage de la mer selon la ligne médiane. De son côté, l'Iran propose que la mer soit répartie en cinq parts égales, soit 20% pour chaque État riverain.