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La crise économique a peu refroidi l'enthousiasme des Kazakhs pour les mariages somptueux. On peut s'émerveiller de tout le faste déployé et se demander comment tout cela est possible.
Si vous avez déjà visité Almaty, il y a des chances que vous ayiez été pris dans la circulation au milieu de deux ou trois cortèges de mariage klaxonnant. Cet été, il a souvent été ressenti que ces heureux mariages ont engendré des embouteillages au détriment de ceux qui ne participent pas aux célébrations.
Les mariages ont induit des goulets d'étranglement qui ont prévalu cette année, et en regardant la splendeur des cortèges de mariage alignés devant l'office central d'enregistrement civil d'Almaty chaque week-end, on pouvait penser que la crise était effectivement sortie d'Almaty.
Cette année, la collection typique en matière d'organisation de mariage à Almaty n'a pas eu seulement en vedette Hummers et autres limousines. C'est une célébration de deux jours avec plus de 100 invités, complétée de vêtements de designer de l'Ouest, un tamada (Maître des Toasts), des musiciens, des danseurs, des feux d'artifice et même des colombes blanches libérées lors de la cérémonie. Tout additionné, c'est au bas mot 8000 $ de dépense.
Ce qui est important, c'est que ces jeunes mariés ne sont pas seulement de nouveaux riches qui ont du cash à brûler. Ce sont des couples à revenu relativement moyens qui, avec leur famille font des emprunts massifs pour payer la facture. Les banques kazakhes devaient survivre grâce à l'aide de l'Etat, en consolidant leurs bilans et en refusant les prêts hypothécaires, mais il semble que les directeurs de banque sont prêt à dire «je le veux» en octroyant des prêts pour les mariages.
Si vous avez déjà visité Almaty, il y a des chances que vous ayiez été pris dans la circulation au milieu de deux ou trois cortèges de mariage klaxonnant. Cet été, il a souvent été ressenti que ces heureux mariages ont engendré des embouteillages au détriment de ceux qui ne participent pas aux célébrations.
Les mariages ont induit des goulets d'étranglement qui ont prévalu cette année, et en regardant la splendeur des cortèges de mariage alignés devant l'office central d'enregistrement civil d'Almaty chaque week-end, on pouvait penser que la crise était effectivement sortie d'Almaty.
Cette année, la collection typique en matière d'organisation de mariage à Almaty n'a pas eu seulement en vedette Hummers et autres limousines. C'est une célébration de deux jours avec plus de 100 invités, complétée de vêtements de designer de l'Ouest, un tamada (Maître des Toasts), des musiciens, des danseurs, des feux d'artifice et même des colombes blanches libérées lors de la cérémonie. Tout additionné, c'est au bas mot 8000 $ de dépense.
Ce qui est important, c'est que ces jeunes mariés ne sont pas seulement de nouveaux riches qui ont du cash à brûler. Ce sont des couples à revenu relativement moyens qui, avec leur famille font des emprunts massifs pour payer la facture. Les banques kazakhes devaient survivre grâce à l'aide de l'Etat, en consolidant leurs bilans et en refusant les prêts hypothécaires, mais il semble que les directeurs de banque sont prêt à dire «je le veux» en octroyant des prêts pour les mariages.
Posté le 10 Septembre 2009 sur crisiscrunch.pbndc.com par Yekaterina Syrtsova, Associate Account Manager, La société PBN, Almaty
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